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"Pétrole entre pourritures" : LA CONNEXION CANADIENNEAnonyme, Vendredi, Août 26, 2005 - 17:40
Bureau des affaires louches
Saviez-vous que le nom de plusieurs entreprises et personnalités canadiennes a été associé au scandale Pétrole contre nourriture de l'ONU ? Ce dossier du Bureau des affaires louches nous permet de comprendre comment des gens comme Maurice Strong et Louise Fréchette et la multinationale Power Corporation sont impliqués dans l'affaire. Par le Bureau des Affaires Louches * Vous avez sans doute déjà entendu parler du scandale du programme Pétrole contre Nourriture de l’ONU. Mais saviez-vous que le nom de plusieurs entreprises et personnalités canadiennes a été associé à l’affaire ? · L’influent businessman canadien MAURICE STRONG, mentor réputé du premier ministre Paul Martin Jr., a récemment perdu son poste de conseiller spécial auprès du secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, à cause de sa possible implication dans le scandale. Faut-il s’en étonner ? Après tout, depuis des décennies le Canada a énormément investi dans les Nations Unies pour donner du prestige à son image de marque sur la scène internationale. D’ailleurs, plusieurs ont peut-être déjà oublié que Paul Martin Jr. avait lui-même accepté un poste à l’ONU, en juillet 2003, quelques mois à peine avant d’accéder au poste de premier ministre canadien. (1) M. Martin Jr. s’était alors retrouvé à la tête de la Commission sur le développement et le secteur privé, une initiative onusienne consacrée à promouvoir le développement économique dans le Tiers-Monde, dit-on. Maintenant que l’ONU est plongé un incroyable pétrin, l’engagement pro-onusien du Canada pourrait bien se retourner contre lui. Quand tombe le masque de l’hypocrisie humanitaro-onusienne Crée par le Conseil de sécurité de l’ONU, le programme Pétrole contre nourriture exista de 1997 à 2003, jusqu’à la chute de Saddam Hussein. Durant ces sept années, 248 compagnies de 61 pays différents achetèrent 3.4 milliards barils de pétrole brut irakien. On sait aujourd’hui que ce programme de 64 milliards$ a servi, non pas à apaiser les souffrances du peuple irakien, mais plutôt à enrichir les dirigeants irakiens ainsi que des hommes d’affaires, des bureaucrates onusiens et des politiciens de dizaines et dizaines de pays différents. C’est la presse irakienne qui avait lancé l’affaire en publiant, en janvier 2004, une liste de 270 personnalités qui auraient reçu du régime de Saddam Hussein des “coupons |
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