Voici un article paru dans l'Hebdo régional de Beauce, à la suite d'une conférence organisée, non seulement par les cellules du Parti québécois et du Bloc québécois du CÉGEP, comme le mentionne le journal, mais aussi par le Mouvement de liberation nationale du Quebec de Chaudière-Appalaches.

 
Voici un article paru dans l'Hebdo régional de Beauce, a la suite d'une conférence organisée, non seulement par les cellules du Parti québécois et du Bloc québécois du cégep, comme le mentionne le journal, mais aussi par le Mouvement de libération nationale du Québec de Chaudière-Appalaches. Ça ne fait pas de surprise de voir Falardeau aux cotés du MLNQ, ça s'est fait a plusieurs occasions, mais il est déplorable que Falardeau commence (???) à adopter leur politique on ne peut plus douteuse. Non seulement il est pret à se battre avec n'importe qui pour la libération (sic) du Québec (ce qui implique les riches, les fachos, etc???) mais il commence à prendre les positions anti-immigration des groupes qu'il cotoîe...

Pour ceux qui ne connaîtraient pas le MLNQ, une partie leur est dédié dans ce texte, Retour vers le passé : Portrait de l’extrême droite au Québec,au http://nefac.net/node/1258.

Voici l'article
tiré de http://www.hebdosquebecor.com/her/04012005/her_04012005_A21.shtml

«J’ai hâte que vous descendiez dans la rue pour autre chose» - Pierre Falardeau aux étudiants.
Par "Jacques Légaré

«Une chance qu’il y a vous autres au Québec pour brasser des affaires», a lancé Pierre Falardeau aux étudiants du Cégep Beauce-Appalaches, en ajoutant toutefois qu’il aimerait aussi les voir manifester pour autre chose. «Quand est-ce que vous allez descendre dans la rue pour votre pays?». demande-t-il.

Le cinéaste était l’invité des cellules du Parti québécois et du Bloc québécois du cégep, le jeudi 31 mars dernier. Il y était dans le cadre d’une tournée de promotion du livre de Pierre-Luc Bégin Québec libre, entretien poliitque avec Pierre Falardeau. D’entrée de jeu, il a ce-pendant refusé de jouer le jeu du «penseur» politique, affirmant être «juste un petit militant comme les autres». Sa conférence était surtout constituée de questions du public (environ 150 personnes).

Indépendance d’abord
Pierre Falardeau y a soutenu que le combat pour l’indépendance doit passer avant les enjeux sociaux. Il se dit même prêt à faire des alliances avec des gens dont il ne partage pas les vues sur d’autres sujets. «Je suis prêt à me battre avec n’importe qui qui veut se battre», dit-il.

Selon lui, tous les peuples qui ont survécu et survivront dans l’histoire ont créé leur propre pays. En ce qui concerne le Québec, «il ne nous reste plus beaucoup de temps», estime-t-il, faisant allusion au poids grandissant de l’immigration.

Fidèle à son personnage, il a par ailleurs distribué avec générosité les épithètes colorées (mongols, trous du c..., agents de la GRC, etc.). Il faut dire que la salle avait été bien réchauffée en visionnant son court métrage Le temps des bouffons, où il traite de tous les noms les gens du Beaver Club de Montréal.