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le complot pour prendre le pouvoir superposé en Francekabin, Jeudi, Mars 31, 2005 - 04:40
kabin
En vivant en France, j'ai eu une idée d'écritre une version française, le massacre au palais royal au Népal, pour faire comprendre comment rellement passer le 1 join 2001. C'est une version française du massacre au palais royal au Népal, pour faire comprendre aux français, comment rellement cela s'est passé. Le récit d’un complot d’état au Népal, superposé en France Le Président du parlement souhaite devenir Président de la République. Etant donné la troisième place dans la hiérarchie républicaine qui confère, il faut éliminer deux personnes : le Président de la République et le Président du Sénat, sur un choix stratégique avec ou sans complot. Un jour le Président de la République convia tous les corps d’état pour un grand banquet à l’Elisée. Ce jour le Président du parlement est en voyage au sud de la France. En sachant que son poste l’oblige à être présent au banquet, il prétexte un rendez-vous très important au bord du lac Léman à Evian les bains, pour justifier son absence. Dans la pièce principale, tout d’un coup apparaît le Président du Sénat, habillé en treillis militaire, tenant une mitrailleuse automatique à la main et tirant sur les personnes à éliminer. En fait ce n’est pas le Président du Sénat. C’est un sosie, un vrai tireur professionnel. Entre temps le Président du Sénat a été emmené dans le jardin de l’Elisée pour être éliminé. Après le massacre, ils font croire que ce dernier s’est suicidé ... mystère ! Le corps avait été retrouvé criblé de balles. Immédiatement le Premier Ministre qui est en charge pour gouverner le pays, a été séquestré pendant cinq heures par les milices militaires pour lui faire dire ce que voulait le comploteur : le Président du parlement. Le lendemain, le Président du parlement rentre à Paris et le gouvernement annonce que le Président du Sénat a un différent avec le Président de la République et par vengeance, il a massacré le Président de la République et toute sa famille après quoi, il a retourné l’arme contre lui-même. L’annonce indiquait que le protagoniste est encore en vie et proclamé Président de la République comme le protocole républicain le stipule. On a annoncé le décès après trois jours de Présidence. Le Président du parlement devient Président de la République et une fois le pouvoir prit, il devient dictateur en instaurant un parti unique dans le pays. Le droit de l’homme et les droits fondamentaux sont alors tous abolis. Le Président du Sénat, innocent homme, tombe dans un complot tendu par le Président du parlement avec la bénédiction de l’armée. Moralement, c’est impossible à oublier, le sort réservé au Président du Sénat, de se faire tuer pour rien, en même temps de porter un fardeau être bourreau de toute cette histoire. Ainsi c’est passé la vraie, la réelle histoire du prince Dipendra du Népal. La version officielle sur le massacre au palais est autre. Même s’il est tronqué, comme on dit, on n’a pas le droit de commenter une décision de justice. Quelle justice ? Un avatar de dieu qui est au-dessus de tout même de la constitution. Le Premier Ministre élu de l’époque M. KOIRALA a lu le communiqué écrit du palais en tournant le dos aux népalais, ses électeurs. Maintenant il attend son dernier jour comme un chien enragé. A l’époque s’il avait dit vouloir rester neutre et d’aller laver eux-mêmes leurs linges sales du palais, le pays ne serait pas aujourd’hui aussi éclaboussé de salissure. Et il en serait devenu un Héros national. Comme on dit, si le ridicule tuait, le palais du roi, serait jonché de cadavres aujourd’hui. C’est une crise que vit actuellement le Népal. Une crise à plusieurs branches avec un tronc d’arbre pourri. Ce sont des crises comme économique, politique et moral. Ce n’est pas du moral que je veux parler d’ici, de celui qui n’a pas de travail et en se levant, il refuserait même de regarder son propre visage dans le miroir parce qu’il se sent inutile et redevable envers la société. Je veux parler du Moral avec un M majuscule, du Moral spirituel, du Moral d’Etat ou du moral tout court. Celui qui nous gouverne, qui est par-dessus tout, tout puissant sans se soucier de ses sujets et pouvant regarder sans scrupule son propre visage dans le miroir. Comment voulez-vous que le tronc d’arbre pourri donne de bons fruits ? C’est encore pire que ce qui s’est passé à Katmandou. La caricature du récit superposé dans l’histoire politique française n’est qu’une partie d’une histoire vécue. Dans cette situation, en France, est ce que les français resteraient les bras croisés ? Si non pourquoi il y a 215 ans au paravent vous avez coupé la tête de votre Roi et de sa famille ? Pour répondre : Cercle de réflexions pour la sauvegarde de la démocratie |
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