La grève étudiante des dernières semaines, m'a amenée à suivre de plus près les gros médias québécois et canadiens, puis, à les surveiller après avoir trouvé plusieurs cas de désinformation et de manipulation frauduleuse de l'information. De cette surveillance sont nés plusieurs articles sur ZOMBIE (Désinformation dans les médias à propos de la grève étudiante : Comment faire mentir les chiffres par David Côté et Sylvie Brunet, Très clair biais en faveur du gouvernement dans la couverture médiatique récente de la grève étudiante par David Côté, Le club des privilégiés - à propos du système français réponse à l'éditorial de Katia Gagnon, par Benoit Viaud) mais aussi plusieurs courriels qui ont été envoyés aux médias fautifs et aux autres médias corporatifs et indépendants. Un petit problème récurent cependant : les médias fautifs font fi de ces courriels de plainte. Non seulement ils ne rectifient pas leurs tirs, mais ils ne répondent tout simplement pas. De là est montée une grande frustration : Comment faisons-nous pour nous faire entendre en tant que simple citoyen, et, à tout le moins, comment réussir à faire respecter les normes de base de l'éthique journalistique : présenter des faits véridiques et ne mas manipuler frauduleusement l'information.

La grève étudiante des dernières semaines, m'a amenée à suivre de plus près les gros médias québécois et canadiens, puis, à les surveiller après avoir trouvé plusieurs cas de désinformation et de manipulation frauduleuse de l'information. De cette surveillance sont nés plusieurs articles sur ZOMBIE (Désinformation dans les médias à propos de la grève étudiante : Comment faire mentir les chiffres par David Côté et Sylvie Brunet, Très clair biais en faveur du gouvernement dans la couverture médiatique récente de la grève étudiante par David Côté, Le club des privilégiés - à propos du système français réponse à l'éditorial de Katia Gagnon, par Benoit Viaud) mais aussi plusieurs courriels qui ont été envoyés aux médias fautifs et aux autres médias corporatifs et indépendants. Un petit problème récurent cependant : les médias fautifs font fi de ces courriels de plainte. Non seulement ils ne rectifient pas leurs tirs, mais ils ne répondent tout simplement pas. De là est montée une grande frustration : Comment faisons-nous pour nous faire entendre en tant que simple citoyen, et, à tout le moins, comment réussir à faire respecter les normes de base de l'éthique journalistique : présenter des faits véridiques et ne mas manipuler frauduleusement l'information.

J'ai donc commencé une petite recherche pour trouver des organismes qui pourraient protéger les citoyens québécois et canadiens contre ces frauduleuses pratiques supposément journalistiques. Nous avons entendu parler régulièrement, ces derniers mois, du CRTC, en rapport avec CHOI FM et Jean-François Fillion. Mais de quoi s'agit-il au juste ? Existe-t-il d'autres organismes semblables, pour la presse écrite ou encore pour les informations présentées sur internet ? Voici donc le résultat de ces recherches, avec la description des 3 organismes principaux trouvés, leurs buts et la façon de les rejoindre et de procéder afin de porter plainte. De façon générale, les plaintes se font de façon écrite et non anonyme. Il faut aussi s'assurer de noter les détails tels que date et/ou heure de diffusion, etc.

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