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L'IMPÉRATRICE NUE ou LA GRANDE FRAUDE MÉDICALEkatherine, Mardi, Janvier 11, 2005 - 17:09
Katherine
Cet écrit de Hans RUESCH est la suite logique de son sensationnel "Expérimentation animale - Honte et échecs de la médecine". Il expose comment, avec l'aide des agences de presse et par la vénalité des mass-médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre "soins médicaux" et "santé" sur un même pied d'égalité, alors qu'en réalité il s'agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C'est ainsi qu'en un an, 1,5 million d'Américains ont dû être hospitalisés par suite de l'administration de médicaments qui auraient dû les "guérir" d'une chose ou d'une autre. L'expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l'alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l'un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Ce livre fournit les preuves de ce qui est avancé et, de plus, expose au grand jour des faits que nombre d'individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais. Plusieurs extraits autorisés. L'IMPÉRATRICE NUE TROIS EXTRAITS AUTORISÉS TESTS DE BRÛLURE SUR LES CHIENS. Les chiens ont été "tondus" du cou jusqu'à la base de la queue. Les chercheurs ont procédé en appliquant des compresses imbibées de kérosène qu'on a enflammées et laissé brûler pendant 60 secondes pour ensuite étouffer le feu avec une serviette mouillée. Après 30 secondes, la température de surface était passée à 100 C, pour monter à 180-200 C au moment d'éteindre. On a brûlé ensuite l'autre côté de la même façon. Puis on laisse l'animal mourir au bout de ces souffrances, parfois même sans analgésiques pour diminuer les douleurs. Premier extrait, page 169 La maison Rockefeller ... Au fil des années, un vrai flot de biographies et d'histoires sur la Famille et sur la Maison fut publié par les éditeurs les plus respectables de New York. Elles présentaient cependant toutes, une particularité qui en disait long, mais qui ne sautait aux yeux que du lecteur attentif. Il était redevenu possible d'évoquer, sans courir de risques, les traits de caractère les moins plaisants et les premières activités illégales du Fondateur - mais pas de dire quoi que ce soit pouvant ternir l'image lumineuse de ses successeurs encore en vie ou pouvant menacer, d'une façon ou d'une autre, les intérêts financiers de la Maison. Même certains des passages les plus accablants du livre d'Ida Tarbell firent leur réapparition - comme dans l'ouvrage, apparemment critique, du Professeur Lundberg : The Rich and The Super Rich (1968) et dans celui de Peter Collier et David Horowitz : The Rockefellers (1976). Lundberg, historien formé à l'Université de Columbia, devenu ensuite membre de l'Université de New York, faisait également partie de l'Establishment Rockefeller et pouvait impunément révéler, ainsi que Collier et Horowitz, bon nombre de tortueux procédés commerciaux malhonnêtes utilisés dans le passé par la Famille. Il leur était même possible de fournir, dans leurs divers "exposés courageux et impitoyables", les preuves que les "bonnes oeuvres" de Rockefeller étaient pour la plupart des moyens d'évasion fiscale et, qu'en réalité, elles étaient très lucratives, rapportant beaucoup plus d'argent aux donateurs que ceux-ci semblaient en avoir donné. Tous ces "exposés courageux et impitoyables", publiés par des éditeurs prestigieux, oublient tous cependant de mentionner un fait d'importance capitale. Quelle est cette omission ? Les auteurs mentionnent toutes les multiples et diverses entreprises industrielles et commerciales du Cartel Rockefeller, sauf une. Ils se souviennent du pétrole et de ses dérivés, du charbon, du gaz naturel, de l'électricité, des chemins de fer, des autos, de l'acier, du caoutchouc, de l'immobilier, des arts, de l'édition, de la radio et de la TV. Mais une activité - des plus rentables - est systématiquement omise, même dans les écrits qui, en apparence, attaquent les Rockefeller le plus violemment. C'est précisément celle qui a toujours le plus tenu à coeur aux Rockefeller, depuis qu'"Old Bill", le papa de Senior, avait commencé à ratisser la campagne américaine vendant de l'huile de serpent et des flacons de pétrole aux paysans crédules en leur faisant croire qu'il s'agissait d'un remède contre le cancer et contre les maladies : cette activité oubliée par tous, c'est la production de médicaments. Citer la participation de Rockefeller dans 200 firmes produisant des médicaments aurait signifié que l'on révélait les motifs ayant présidé à la fondation, en premier lieu, du General Education Board, ensuite, des autres "Fondations charitables" du même genre dans le monde entier, largesses qui constituaient les instruments les plus efficaces pour augmenter les bénéfices de la Maison et son pouvoir en imposant à une population innocente et sans défense la Nouvelle Religion, une croyance dogmatique dans les pouvoirs miraculeux de l'actuelle médecine officielle, ce qui conduit à une consommation sans cesse accrue de médicaments nocifs, entraînant de nouvelles thérapeutiques toujours plus onéreuses et plus préjudiciables. Ces livres contenaient-ils cette révélation qui n'aurait dû apparaître ? Ou, du moins, qu'ils n'auraient pas été longtemps assez disponibles sur le marché ? Deuxième extrait, page 186 Les expériences atroces faites sur les animaux. Exemples d'expériences de routine, tacitement acceptées par l'ensemble de la communauté des chercheurs et par les soi-disant Organisations s'occupant de la Santé. Des expériences faites sur des dauphins dont l'intelligence pourrait surpasser, peut-être, celle de l'homme, provoquèrent une frustration et une angoisse telles, que les animaux se suicidèrent. Rien qu'aux États-Unis, près de 90 millions d'animaux sont, chaque année, torturés à mort ; 34 millions par l'industrie pharmaceutique américaine qui est également responsable de la mort de plusieurs dizaines de milliers d'êtres humains, conséquence directe de ces expériences «alibi». Lorsqu'au cours d'expériences au Huntington Research Center anglais, on a versé du shampooing dans les yeux des lapins, la douleur a été si intense que ces animaux, ordinairement silencieux, se sont mis à hurler. Parmi les firmes qui ont admis pratiquer ces méthodes, on note : Revlon, Wella, Elizabeth Arden, Fabergé, Gillette, Coty, Germaine Monteil, Helena Rubinstein, Johnson et Johnson et bien d'autres. Yardley prétend avoir mis un terme à cette pratique depuis quelques années. Afin d'étudier les effets de la douleur, des chiens et des chats ont été placés sur des plaques chauffantes chauffées ; les animaux dansaient et essayaient de souffler sur leurs pattes brûlées. Lors de tests de toxicité habituels bien que non fiables, on a fait avaler de force à des chiens beagles divers produits ; lorsque ces chiens sont morts, après des jours d'agonie, on a constaté que leur sang avait pris une couleur brun chocolat. Différentes sortes d'animaux furent immobilisés dans des camisoles de force ou dans des appareils semblables à des étaux, jusqu'à la paralysie ou la folie. Des singes, immobilisés dans des appareils de contention, ont été soumis à des secousses électriques données à intervalles réguliers, durant 23 jours, jusqu'à ce que le dernier meure d'ulcères à l'estomac. On a percé des trous à la base des dents de certains chiens afin de voir comment ils réagiraient à la douleur au moment de manger. Répétant continuellement ce genre d'expériences, déjà pratiquées dans d'autres pays, des chercheurs ont cousu les paupières de chatons, afin d'étudier le comportement de ces animaux, plongés dans une obscurité complète et permanente. Des rats furent jetés dans une citerne pour voir combien de temps s'écoulerait avant qu'ils se noient. Certains moururent immédiatement, se laissant couler «de désespoir». D'autres ont nagé durant près de 60 heures avant de se noyer. Des animaux ont été placés dans des tambours Noble-Collip et on les a secoués pour étudier les effets de l'insomnie. Certains sont restés en vie 30 jours, projetés dans tous les sens, avant de mourir. Alors que la Presse Mondiale fait en général preuve de beaucoup de répugnance lorsqu'il s'agit d'exposer la vérité sur la vivisection, un journal au moins, le Toronto Sun (Canada), s'est ces dernières années, violemment et à plusieurs reprises, attaqué - sous des titres audacieux - au sujet. Peter Worthington écrit dans un article intitulé «Scientific Sadism in Labos» (Sadisme scientifique dans les laboratoires) «Les secrets les plus jalousement gardés au Canada et aux États-Unis n'ont aucun rapport avec les espions, les taux d'intérêts pratiqués par les banques ou avec les piscines des premiers ministres, mais cachent ce qui est pratiqué en fait de recherches sur les animaux dans les diverses Universités, les Laboratoires ou dans les Centres d'expériences. » Worthington poursuit en décrivant des atrocités telles que des chiens secoués à mort dans des cylindres rotatifs, des ours polaires nourris de pétrole brut, des guenons immobilisées sur des «chevalets de viol» et inséminées afin que, plus tard, elles maltraitent éventuellement leurs petits, les démembrant, leur fracassant le crâne à coups de dents, leur écrasant la face sur le béton, cela pour démontrer que des humains maltraités au cours de leur vies sont susceptibles de maltraiter plus tard leurs propres enfants. Et, quand tout est fini, les sadiques recommencent leurs expériences. Comme d'habitude, et prétextant la prévention de la douleur et de la souffrance, de nouvelles méthodes causant douleur et souffrance, à une échelle sans précédent, sont mises au point par des personnes au cerveau malade, c'est tout à fait évident, mais protégés par des législateurs tout aussi évidemment incapables de légiférer de façon civilisée. Troisième extrait, page 123 Les expériences atroces faites sur les foetus. Dans son livre "Honte et échecs de la médecine" l'auteur a déjà exposé des cas de chercheurs américains et anglais ayant acheté dans les hôpitaux des foetus fraîchement avortés, afin d'avoir des sujets humains vivants pour leurs expériences. Cette pratique n'a fait que s'étendre depuis lors, malgré la désapprobation exprimée par les milieux officiels. La nouvelle a filtré à présent que des fonds octroyés par le gouvernement américain ont financé de nombreuses expériences pratiquées sur des foetus humains vivants achetés dans des hôpitaux finlandais. Pourquoi la Finlande ? Parce que, dans ce pays, l'avortement légal est autorisé jusqu'à cinq mois, et à cet âge de nombreux foetus sont vivants et peuvent grandir dans des couveuses en attendant d'être vendus comme matériel de recherches. Comme de coutume, seuls les médias qui se donnent pour tâche de faire connaître la honteuse vérité, plutôt que de la cacher, ont dénoncé l'affaire. L'un deux, le Globe de Greenwich (Connecticut) du 19 août 1980, a fait paraître un article intitulé "Des bébés avortés sont maintenus en vie pour faire l'objet d'horribles expériences." Charles Lachmann, qui en est l'auteur, dénonce. Un hôpital finlandais a pratiqué des expériences atroces sur des foetus humains vivants, avec l'aide financière du gouvernement américain. Le Globe a révélé que ces expériences révoltantes comprennent la décapitation et l'éventration des bébés, sans même une anesthésie préalable. Le journaliste hollandais, Mans Perukel, qui a enquêté à l'hôpital, déclare : "Les foetus étaient achetés dans un hôpital d'Helsinki, avec un fonds de $12000 fourni par le gouvernement américain." Cet argent était transféré en Finlande par un scientifique américain, le Dr Peter Adam de Cleveland, Ohio, qui avait obtenu un subside de $600 000 de l'Institut National américain de la Santé, à des fins de recherches sur des foetus humains. Le Dr Adam est mort le mois dernier, à 44 ans, des suites d'une tumeur au cerveau. Sa veuve, Catherine King, pédiatre, a déclaré au Globe : "... que son mari avait rompu tout contact, depuis longtemps, avec ses collègues finlandais et que les fonds américains ne servaient plus au financement des recherches." Elle affirma également que le Dr Adams avait, avant son décès, mis un terme à ses travaux sur des foetus humains dans son propre laboratoire de Cleveland." A l'origine, la Finlande fut choisie pour les expériences car ses lois sur l'avortement sont très libérales, autorisant celui-ci jusqu'à cinq mois. Beaucoup de foetus survivent donc à l'opération. Les foetus vivants de Helsinki étaient maintenus en vie dans des couveuses, puis transportés vers un hôpital de la cité portuaire de Turku pour y attendre leur horrible destin. Un infirmier des laboratoires de Turku raconte avoir assisté à une de ces expériences, pratiquée sous la direction d'un chercheur finlandais, le Dr Martti Kekomaki. Dans un affreux dossier publié par le confrère du Globe, le National Examiner dit : "Ils prirent le foetus et lui ouvrirent le ventre, disant qu'ils voulaient le foie. Ils sortirent le foetus de la couveuse, il vivait encore, c'était un garçon. Il était normalement conformé, ayant mains, pieds, bouche et oreilles. Il secrétait même de l'urine." Lors de l'éventration, le bébé n'était pas anesthésié. Prié de s'expliquer sur cette horreur, le Dr. Kekomaki répondit : "Un bébé avorté, n'est qu'un déchet. " Il déclara : " Ses chances de survie étaient infimes, pourquoi ne pas l'utiliser dans ce cas pour le bien de l'humanité ?" Ainsi, le Dr. Kekomaki utilisait-il l'opium humanitaire que tous les vivisecteurs emploient pour justifier leurs assassinats et les souffrances qu'ils infligent. Selon le Globe: "Il prétendit avoir déjà sauvé des vies en grand nombre grâce à ces nouvelles méthodes. L'objectif de ces expériences est la découverte d'un procédé permettant de nourrir des prématurés avec un aliment à base de cervelle. C'est pourquoi il décapite les foetus afin d'extraire la cervelle et de la transformer en aliments ou en produits nutritifs. "Nous avons besoin de la cervelle et du foie des foetus avortés si nous voulons aider les bébés prématurés". Il haussait les épaules à toute suggestion selon laquelle ses expériences pouvaient être cruelles et brutales." Pour lire davantage d'extraits de cet ouvrage, et en savoir plus sur l'auteur et ce qu'il dénonce, cliquez sur le lien:
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