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Montréal - L'AEELI réplique aux insinuations faites par le collectif Alternative

Anonyme, Dimanche, Août 22, 2004 - 01:01

Membres de l'AEELI

Samedi 21 août, 2004
L'AEELI (l'Association des Espèces d'Espaces Libres et Imaginaires) est une association sans but lucratif qui possède un bâtiment au centre-ville de Montréal. Elle a été créée par des anarchistes en 1982, et le bâtiment a logé une librairie dirigée pendant toutes ces années par le collectif Alternative.

Quelques membres de longue date du moribond et problématique collectif de la librairie Alternative se sont donnés comme objectif de s'approprier le bâtiment en le vendant à un autre groupe sans but lucratif dirigé par eux-mêmes, pour ainsi de garder hors de cet espace d'autres projets anarchistes et d'autres anarchistes; ils n’y sont pas arrivés lors d’une tentative en 1995. Après une année et demie d'échanges stériles et de lutte par la Coalition des diffuseurs libertaires et des membres de l'AEELI en accord avec les objectifs de la Coalition, l'AEELI a finalement été ouverte en mars à un certain nombre de groupes et de différents camarades de Montréal.

Montréal - L'AEELI réplique aux insinuations faites par le collectif Alternative

Samedi 21 août, 2004
L'AEELI (l'Association des Espèces d'Espaces Libres et Imaginaires) est une association sans but lucratif qui possède un bâtiment au centre-ville de Montréal. Elle a été créée par des anarchistes en 1982, et le bâtiment a logé une librairie dirigée pendant toutes ces années par le collectif Alternative.

Quelques membres de longue date du moribond et problématique collectif de la librairie Alternative se sont donnés comme objectif de s'approprier le bâtiment en le vendant à un autre groupe sans but lucratif dirigé par eux-mêmes, pour ainsi de garder hors de cet espace d'autres projets anarchistes et d'autres anarchistes; ils n’y sont pas arrivés lors d’une tentative en 1995. Après une année et demie d'échanges stériles et de lutte par la Coalition des diffuseurs libertaires et des membres de l'AEELI en accord avec les objectifs de la Coalition, l'AEELI a finalement été ouverte en mars à un certain nombre de groupes et de différents camarades de Montréal. Ces groupes, aussi disparates soient-ils, représentent la majeure partie de la diffusion anarchiste de Montréal : le Groupe Communiste Libertaire, Maikan, NEFAC-Mtl, La Mauvaise Herbe, le Trouble, La Sociale, RASH, ainsi que des diffuseurs de l'ASÉ-UQAM.

Lorsque Alternative a refusé la participation de membres du milieu anarchiste et libertaire présents à l'assemblée de 80 personnes du 5 août 2003, les groupes membres de la Coalition des diffuseurs libertaires ont enlevé tout leur stock de la librairie et l'ont boycottée. Ce printemps, puisque les membres de l'AEELI qui étaient d'accord avec la Coalition des diffuseurs ont pu surmonter l'obstruction du C.A. minoritaire, l'AEELI a finalement été ouverte à tous les groupes de la Coalition et à d'autres individus. Nous avons pu tenir une Assemblée générale décisionnelle pour la première fois en plus de cinq ans. Quatre membres de longue date proches d'Alternative ont été expulsés de l'association en mai pour avoir falsifié des documents de règlements, pour sabotage économique, pour s'être comporté secrètement et hiérarchiquement à l'encontre des souhaits de la majorité. Pour quiconque intéressé, nous sommes plus que désireux d'expliquer et de fournir des preuves substantielles des griefs qui ont mené à leur expulsion. Nous rejetons complètement l'affirmation d'Alternative selon quoi nous justifions nos « actions par une série d’accusations graves mais sans preuves envers quatre des membres »; ces récriminations sont bien documentées et sont connues depuis longtemps (pour plus de détails sur les raisons de leur expulsion, voir l'annexe ci-après).

Puisqu'un objectif central de l'AEELI est de tenir une librairie anarchiste fonctionnelle, depuis le printemps dernier nous avons tourné nos énergies vers la fondation d'une nouvelle librairie pour supplanter celle contrôlée par Alternative. Le 12 août 2004, nous avons informé Alternative qu'ils seraient remplacés par une nouvelle librairie, et que jusqu'à ce qu'ils aient résolu la question des dettes envers nous et des milliers de dollars dus à leurs distributeurs, ils ne pourraient pas enlever leur stock amoindri d'environ 900 (neuf cents) livres. La nuit du 17 au 18 août, Alternative a enlevé tout son stock et toutes les étagères et étalages de l'espace. Nous nous assurerons qu'Alternative assume toutes les dettes qu'ils ont contractées, puisqu'ils ne nous ont laissé aucun livre pour la nouvelle librairie. Si Alternative ne continue pas bientôt leur projet ailleurs, nous demandons que le stock livresque et les étagères soient rendus au milieu anarchiste, parce qu'actuellement ils sont retenus par des individus qui n'ont pas dépensé leur propre argent sur ceux-ci. Ces livres sont une ressource de la communauté.

Nous considérons que nous avons agi franchement avec Alternative. Ils affirment que nous n'avons pas répondu à leur invitation de discuter de nos problèmes avec eux. Seulement un membre de l'AEELI a pu se rendre à leur réunion convoquée à la hâte. Mais ils sont mal placés pour parler, puisqu’Alternative ne nous a pas rencontrés pour une réunion prévue en mai dernier et ils ne sont pas venus aux dernières assemblées générales.

Alternative écrit que l'AEELI « a ignoré toute tentative de communication de la part de la librairie et refuse de confirmer ou de nier s’il est responsable de la disparition du chéquier de la librairie » Quelle lettre Alternative nous a-t-elle envoyée nous demandant si nous prenions leurs chèques ? Nous nions avoir participé de toute manière possible dans la perte ou le vol de leurs chèques. Considérant qu'un certain nombre de leurs membres se sont opposés à nous payer quoi que ce soit qui allégerait les finances aux abois du projet, qu'ils admettent avoir un haut taux de roulement des membres, et avec de nouveaux membres qui ne sont pas bien connus du milieu anarchiste, Alternative devrait peut-être regarder dans sa cour.

Nous rejetons catégoriquement les affirmations d’Alternative comme quoi leurs problèmes proviennent de notre campagne contre eux. Comme tant de libertaires à Montréal et à Québec peuvent le certifier, Alternative est un projet marginal et dysfonctionnel depuis plusieurs années. Ils ont exclu beaucoup d'anarchistes, fonctionné en groupe fermé et privé, ont attiré des gauchistes qui ont apporté de la littérature maoïste, du matériel portant sur les luttes de libération nationale et d'autres documents de politique identitaire tandis que le matériel anarchiste de base était négligé et marginalisé. Nous ne nous excuserons pas de dire que nous voulons une librairie anarchiste, pas une librairie « radicale » ou « anti-autoritaire ». Cette librairie aura aussi en stock des ouvrages pertinents à l'anarchisme mais qui ne sont pas explicitement anarchistes.

Alternative écrit que nous avons « refusé plusieurs propositions à l’effet qu’aucun changement structurel de l’AEELI ne saurait avoir lieu avant la mise en place d’un comité neutre pour examiner le fondement de ces accusations. » Qu'est-ce qu'un comité « neutre » ? Quels sont ces « changements structurels » autre qu'ouvrir le membership et qu'élire de nouveaux trésorier et secrétaire ? Pourquoi les anciens administrateurs de l'AEELI auraient-ils dû continuer leur mainmise de quinze ans sur les finances et l'administration ? En outre, nous défendons le principe que la majorité d'une assemblée peut décider de « refuser » une proposition. À une assemblée le 9 mars 2004, une proposition du trésorier de rester en poste (apès l'avoir occuper pendant 15 ans) a été rejetée.

Alternative écrit: « Jen, une membre de la librairie, a démissionné de l’AEELI après des attaques et des accusations répétées ». Qu'étaient-ce exactement que ces attaques et ces accusations répétées ? Est-ce qu'Alternative voudrait détailler quelques aspects de ce conflit, plutôt que de lancer des insinuations vagues ?

Alternative écrit: « des membres de l’AEELI ont été vus en train de fouiller dans des documents de la librairie en dehors des heures d’ouverture et sans accord préalable. » Le consentement de qui ? L'espace est à l'AEELI, nous tenons des réunions et recevons du courrier là-bas. Tandis que nous sommes sur le sujet des documents, c'est en partie parce que des membres de longue date d'Alternative et de l'AEELI ont confisqué certains documents primordiaux, tels que la régie interne, qu'ils ont été expulsés du projet.

Ils écrivent que nous les traitons « non comme une partie intégrante du projet du building, mais comme un propriétaire hostile traiterait un locataire sans défense. » C'est Alternative qui a exclu des camarades anarchistes pendant des années et qui a refusé de nous accueillir dans leur librairie. Ils n'assument pas leur responsabilité dans ce projet anarchiste qu'est le bâtiment. Le collectif Alternative s'est comporté comme un locataire, leurs prétentions d'autonomie étaient un talisman contre nous et le milieu libertaire, et ils attendaient de nous que nous fermions les yeux pour les accepter comme camarades ? Quand les membres d'Alternative géraient le bâtiment, ils ont agi en propriétaires sans scrupules envers un groupe communautaire et le collectif Rebelles, refusant à ces camarades une place dans la gestion et essayant unilatéralement d'augmenter leur loyer.

Alternative insinue que certains de nos membres « semblent à présent employer les mêmes méthodes musclées pour manipuler d’autres collectifs anti-autoritaires. » De quoi parlent-ils au juste? Quels autres collectifs à Montréal « semblent » être manoeuvrés par quelles « méthodes musclées »? À moins que d'autres collectives aient quelque chose de substantiel à dire, Alternative procède à du salissage vicieux dépeint en termes vagues, névrosés et kafkaïens.

Alternative écrit que « la nouvelle AEELI ne s’est pas occupée du building, et lorsque la tuyauterie a gelé et que les portes ont été fracturées, le collectif de la librairie a été forcé de s’occuper des problèmes lui-même. » Nous répondons que les tuyaux ont éclaté en janvier, alors qu'Alternative était toujours aux commandes. La vague de cambriolages a eu lieu en automne et en hiver, et a également ciblé le locataire du troisième étage et le bâtiment voisin. Alternative était d'accord pour payer les réparations de leur porte, vu que cela avait seulement affecté leur espace. Nous n'avons pas négligé le bâtiment davantage que la clique incrustée d'Alternative auparavant; nous n'avons tout simplement plus d'argent maintenant, et Alternative sait ceci. Ils ont le culot de soulever ce problème alors qu'ils se sont engagés dans le sabotage économique contre nous : nous avons reçu une facture d'électricité pour presque 700$ cet été, comparée à 200$ l'été dernier! Cette consommation accrue est due aux calorifères laissés allumés tout l'été. Plus tôt ce printemps l'ancien trésorier n'a pas livré certains chèques aux administrateurs nouvellement élus et sans nous informer a délivré des chèques pour une somme de 1700$. Mieux que quiconque, il savait que l'AEELI était dans une situation financière périlleuse.

Alternative écrit que leur « potentiel révolutionnaire a été asséché par les capitalistes et les flics déguisés en anarchistes au sein de l’AEELI. » Nous voudrions savoir -- outre leur vive amertume d'avoir perdu le contrôle exclusif du bâtiment -- la base d'une calomnie si sérieuse et grotesque. Comment étaient-ils moins capitalistes quand ils ont géré le bâtiment? Depuis quand la demi-douzaine de loques inconnues et les incapables d'Alternative peuvent juger de qui sont les vrais anarchistes ?

À ce moment tardif, Alternative essaiera de former « un comité d’assistance pour demander le soutien et la participation d’autres anarchistes, groupes anarchistes et militants radicaux ». Nous demandons pourquoi n'était-ce pas susceptible de se produire il y a de ça une année et demie, lorsque ce conflit a entré dans cette phase finale marquée par la formation de la Coalition des diffuseurs libertaires ?

Nous sommes soulagés que la crise au sujet de l'AEELI soit probablement terminée et qu'Alternative ait quitté à ce moment-ci. Nous nous assurerons que leurs distributeurs soient correctement informés et tiendrons Alternative responsable de leurs dettes. La nouvelle librairie anarchiste a beaucoup de défis devant elle, ceux d'ordre financier n'étant pas les moindres. Toutefois nous avons un grand nombre de groupes et d'individus expérimentés dont l'enthousiasme, l'optimisme et l'énergie se manifestent déjà.

Les membres de l'AEELI,
aee...@northernhacking.org

(Coalition, 30/10/03) Diffuseurs anars boycottent une librairie montréalaise
http://www.cmaq.net/fr/node/14065

(Alternative, 21/11/03) Réponse de la Librairie Alternative de Montréal
http://www.ainfos.ca/03/nov/ainfos00454.html

(Coalition, 24/01/04) Les diffuseurs libertaires répondent au collectif de la librairie Alternative de Montréal http://www.cmaq.net/fr/node/15280

(Alternative, 19/02/04) Réponse d'Alternative
http://www.cmaq.net/en/node/15568

(Alternative, 19/08/04) Librarie Alternative - Expulsée du local!
http://www.cmaq.net/fr/node/17881

ANNEXE
Pourquoi l'AEELI a expulsé de ses rangs quatre personnes associées au collectif de la librairie Alternative de Montréal

Ces quatre personnes nous ont envoyé une lettre où elles ont écrit: « nous sommes enthousiastes et désireux de nous défendre contre chacune des accusations faites contre nous. » Ils n'ont jamais répondu. Puisque nous pensons qu'il n'y a rien de plus légitime que la cour de l'opinion anarchiste, nous présenterons ouvertement certaines des récriminations envers ces individus :

1- À l’assemblée du 9 mars, un des individus expulsés a admis avoir modifié (à la main) le compte-rendu d'une réunion de 1990 qui avait tenté d'amender les règlements. Ces amendements, s’ils avaient été adoptés, auraient favorisé le pouvoir d'Alternative sur l’AEELI. En dépit de cette tentative, nous ne retrouvons aucun procès-verbal de réunion avec un changement de règlement stipulant que 4/5 des positions de C.A. doivent être occupées par des membres d'Alternative. Étant donné que la vieille clique avait directement intérêt à prouver l'existence d'un tel changement, nous demandons à ces personnes comment expliquent-elles les règlements qu'ils ont présentés à la grande et infâme assemblée du 5 août 2003 ? Si nous n'avons aucune preuve historique et matérielle de ces changements de règlements, n'est-il pas raisonnable de conclure que le document de règlements apporté à cette grande assemblée a été falsifié et que 80 personnes ont été manipulées ?

2- Nous voudrions savoir pourquoi, malgré de nombreuses demandes durant les deux dernières années, l'ancien trésorier a-t-il refusé de fournir une copie des règlements aux membres de l’AEELI ?

3- Comment se fait-il qu'une dépense de toiture de 5895$ en septembre 2002 ne fût pas l'objet d'une décision de tous les membres de l'association ? Comment cette décision a-t-elle été prise, et pourquoi est-ce que la facture et la garantie pour ces dépenses énormes n'ont jamais été remises aux administrateurs du projet ?

4- Pourquoi l'ancien trésorier a-t-il nié à l'assemblée du 5 août 2003 qu'il y avait des irrégularités légales à l'association mais qu’il a ensuite unilatéralement engagé un avocat pour re-immatriculer et régulariser l'association en janvier 2004 ? Pourquoi un changement si important n'a-t-il pas été indiqué aux membres à l’assemblée du 9 mars ?

5- Pourquoi l'ancien trésorier a-t-il dépensé environ 1500$ de l'argent de l'association pour un avocat au paroxysme du conflit ? D'autres services juridiques sont décrits dans des documents de l'association, mais environ 1500$ en honoraires d'avocat ne le sont pas. Était-ce une tentative du C.A. de combattre l'offensive de la majorité des membres ? Qui a autorisé l'abus de cet argent, et de quel sujet l’avocat a-t-il discuté lors d'une réunion avec des membres d’alors du collectif Alternative ?

6- Dans une association qui est censée être gérée par des anarchistes, pourquoi l'ancien trésorier a-t-il refusé de convoquer une assemblée alors qu’une majorité des membres en avait demandé une en janvier 2004 ? Pourquoi a-t-il invoqué le pouvoir du C.A. pour refuser ceci alors qu’une assemblée n'avait pas été tenue depuis 1998 ? Pourquoi est-il venu à l'assemblée du 9 mars pour nous informer que le fait qu'il continuait de parler lors de la réunion ne signifiait pas qu'il pensait que celle-ci était valide et légitime, et que celle-ci n'avait pas été instituée par le C.A., tout comme la réunion du 5 août 2003 n’avait pas été instituée par le C.A. (c’est-à-dire lui-même) ? Pourquoi est-ce qu'un prétendu anarchiste insiste sur des légalismes qui favorisent manifestement son pouvoir sur un C.A. éternel et non imputable ?

7- Comment se fait-il qu’après que l'ancien trésorier ait été remplacé à l'assemblée du 9 mars, il n'ait pas informé le nouveau C.A. de tous les chèques en circulation ? Il a cédé un certain nombre de documents 10 jours plus tard, mais certains chèques étaient absents. Plus tard, nous avons découvert qu'il avait délivré deux chèques de l’ordre de 1700$ le 12 mars, trois jours après qu'il n'était plus le trésorier. Un des destinataires de chèque a été prié d’attendre jusqu'à la fin du mois avant de l'encaisser. Avait-il entendu dire qu'il y aurait un dépôt de fait? Pourquoi a-t-il interféré avec nos efforts pour rééquilibrer les finances ?

Nous ne pensons pas qu'il puisse y avoir d’explications pour excuser ces omissions et ces gestes, et les anciens administrateurs se sont réfugiés dans le silence comme forme de « damage control ». Alternative ne demande pas à ces personnes de répondre aux raisons détaillées que nous avons présentées pour expliquer leur exclusion. Le collectif Alternative rejette ces allégations comme étant des « accusations infondées » sans offrir le moindre détail ou réfutation. À la place, le collectif Alternative se rallie derrière les quatre membres en clique que l’AEELI a expulsés. Alternative trouve suffisant de faire écho à ce que cette ancienne clique maintient, à savoir que notre gestion du projet est illégitime. Empruntant la bonne vieille méthode légaliste de la clique, ils réclament un corps « indépendant » pour étudier les accusations et refusent de traiter des problèmes substantiels des 15 années où la clique avait mainmise sur le projet. Alternative ne s'est pas distancé de la position selon laquelle eux seuls devraient posséder et gérer l’ensemble du bâtiment. De plus, il est historiquement faux de prétendre que le bâtiment a été acheté par des membres de la librairie seulement et qu’il était seulement leur et non pas une ressource anarchiste. Les membres d’origine et fondateurs peuvent le certifier.

Nous fournirons à toute personne intéressée toute preuve matérielle que nous avons des situations mentionnées ci-dessus.



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