Conseil général du Parti Libéral à Québec
L’UFP de Québec dénonce la répression policière
Communiqué de presse, pour diffusion immédiate

samedi 7 février 2004

Communiqué de presse
Pour diffusion immédiate

Québec, vendredi le 6 février 2004. L’Union des forces progressistes (UFP) de Québec dénonce avec véhémence la répression policière et les arrestations perpétrées par la police de Québec à l’occasion d’une mobilisation appelé par les syndicats CSN, FTQ, SFPQ, SPGQ et le Réseau du Forum Social de Québec Chaudière Appalaches. Manifestation visant à dénoncer le gouvernement du Parti Libéral réuni lors de son Conseil général, à Québec. En plus d’avoir fait usage d’une force déraisonnable pour mater la résistance réunie à cette occasion, les « forces de l’ordre » ont procédé à des arrestations arbitraires parmi les manifestantEs présentEs qui ont voulu envoyer un message clair au gouvernement en tentant d’entrer dans l’édifice du Hilton : On a jamais voté pour ça !

Rappelons que quelques centaines de manifestantes et manifestants s’étaient réunis dès 18h à l’entrée de l’hôtel. Ce rassemblement témoignait de la grogne qui monte au sein de la population face à un gouvernement qui fait la sourde oreille à toute critique, qui réaffirme les intérêts qu’il dessert en adoptant ses projets de lois sous le bâillon et qui, toujours avec la même pratique antidémocratique, passe par la répression policière pour bâillonner les contestataires.

Une attitude aussi musclée de la part des forces policières ajoute de l’eau au moulin à un nombre grandissant de personnes qui voient un lien évident entre l’implantation du néolibéralisme et la montée de la répression.

L’Union des forces progressistes continuera de se solidariser avec les luttes menées à la grandeur du Québec pour freiner l’élan ultra-néolibéral mené par le parti libéral du Québec.

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