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Gouvernement libéral et économie sociale ?!?!Anonyme, Lundi, Juin 2, 2003 - 13:49
Sébastien Bouchard
Les coupures prévues par le Charest dans l'économie sociale : 300 à 500 millions. Il faut arrêter de voir l’économie comme un concept qui ne contient que de l’inflation, des récessions, du chômage et des hommes en cravate dans des tours. L’économie doit aussi être vu comme social, ce que notre gouvernement ne fait pas souvent. L’économie social n’est pas rentable, même si celle-ci emploi une bonne partie de la population et que, par ce fait, fait fonctionner la « vrai économie ». Il faut développer ce potentiel qu’à la population d’avoir un contrôle sur son économie, son économie social. Le gouvernement Québécois actuel veut faire des coupures dans l’économie sociale, par le fait même, il coupera dans des milliers d’emploies et donc dans sa précieuse « vrai économie ». 300 à 500 millions de compression budgétaire pour les injecter dans la santé. Les gens qui voient encore le problème comme étant purement au niveau de l’argent injecté dans la santé y voit un bon petit biscuit. Les gens qui voient le problème de la santé comme un venant de notre mode de vie y voit une pilule difficile à avaler (pour moi, c’est le cas). Je ne dis pas que le gouvernement devrait couper dans la santé, ce domaine est essentiel, j’en conviens, tout comme « L’éducation » qui est aujourd’hui plus de l’entraînement au travail. Nous éduquons vraiment les jeunes dans le domaine dit « préscolaire » et au primaire. Ensuite on leur apprend à obéir à un patron. Pourrions nous utiliser l’éducation pour aider le système de santé ??? Apprenons à nos jeunes à vivre en santé, à bien se nourrir, à faire du sport. Lors des élections, nous avons entendu parler de plus d’heure d’éducation physique. Bravo (non sarcastique) c’est un bon début. Des réductions d’impôt pour ceux qui font du sport …. Et la je ne parle pas de ceux qui se font gonfler les muscles dans les gymnases de nos CÉGEP et universités. Je parle de travail CArdio-vasculaire. Revenons à la question : est ce que le système d’éducation est près à ce genre de changement alors que l’on sait que les jeunes aiment de moins en moins l’éducation physique. Déjà que l’on veut abolir les cours de philosophie au niveau collégial (cours qui sont la dernière façon de faire réfléchir la population et de ne pas devenir des robots). La plupart des jeunes n’aiment pas ses cours parce qu’il n’en voit pas l’utilité dans leur futur emploi. « Pourquoi être un bon citoyen quand je peut être un bon employé ? ». Il serait difficile d’intégrer de nouveaux cours qui ne se rapporte pas à l’emploi si l’on veut déjà abolir la philosophie. Introduire des cours de nutrition plus complet dans les cours d’éducation physique ?? Ou même, à la limite dans les cours de philosophie ?? Si je revient au sujet de base, l’économie social, en allant chercher le problème à la base, le gouvernement n’aurait plus besoin d’injecter des sommes astronomique dans le système de santé et pourrait revenir avec des sommes plus considérable dans l’économie sociale et/ou verte. (Ministère de la famille, de l’environnement etc.) Oui l’économie verte. Celle-ci commence à se créer tranquillement. Les produits dits « Bio » (les vrais) peuvent être considéré comme de l’économie verte. Toute les compagnie de récupération, les recherches pour de nouvelle méthode de récupération, pour récupérer des choses qui ne le sont pas, voilà l’économie verte. Cela aussi engendre des emplois (même si le gouvernement ne le voit pas). C’est cette partie de l’économie qui assure un meilleur niveau de vie pour nos enfants. Imaginez si au lieu des grande entreprise diriger par un comité d’actionnaire, nous aurions des entreprise diriger par un comité de citoyen ? Des entreprises gérer et utiliser par les citoyen : pas de gens avec des profits faramineux, des produits moins cher (pas besoin de profit, juste atteindre le seuil de rentabilité), des employé plus motiver puisqu’il travail pour une compagnie qui leur appartient jusqu’à un certains point. Des gens plus motiver à travailler, on réduit les coût en psychologue puisque les gens sont plus heureux : lorsqu’on se réalise par son travail, quoi de mieux. L’entreprise est très impliqué dans son milieu, ont n’a donc une entreprise qui serait plus amener a rediriger de l’argent dans la communauté. De cette façon, au lieu d’avoir des gens qui s’élèvent au dessus des autres, nous aurons une société qui s’élèvera au dessus de ce quelle est déjà. En travaillant ensemble les résultats seront meilleurs pour tous. L’économie sociale comprend aussi des logements sociaux et de l’aide pour les démunie. Il s’agit donc ici de réduire aussi la pauvreté dans notre société, ce que le gouvernement libéral ne semble pas tenir comme une priorité. Est-il plus important d’améliorer le sort des riches que celui des pauvres ? Le monde néo-libéral ne semble pas avoir compris que plus il y a de gens qui consomment, mieux l’économie se porte, ce n’est pas en concentrant les richesses que les gens vont faire rouler l’économie, ce n’est pas une poigné de riche qui consomment le plus mais bien une population de contribuable. En ce moment, il a de gros problème de surproduction : pourquoi, parce que les compagnies tiennent en compte la quantité de richesse total et non le nombre de personne qui détiennent cette richesse. Si 2 personnes détiennent 10 milliards, ils consomment moins que quelque 280 000 personnes qui détiennent 35000$. On vie dans une société tellement égocentrique que nous avons peur d’aider les autres, l’économie social fait peur. Les gens ne veulent pas travailler ensemble pour le bien être de tous, ils veulent travailler pour eux, pour leur bien-être, ou, encore pire, que d’autre personne travaillent dans l’intérêt d’une seule personne. Nous aimons mieux donner 1$ au clan Péladeau pour voter pour Wilfred plutôt que donner un dollar pour un organisme communautaire. |
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