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Rien c´est-ce qui ressemble. Réalité, citoyenneté et propagande

Anonyme, Sunday, July 17, 2011 - 09:19

K- Onada Expansiva

Généralement, la description de toute la réalité c´est un exercice subjectif, une action que, consciemment ou inconsciemment traduises une ensemble d'opinions, préjugés, les idées et perceptions qui affectent la façon dont nous voyons les choses. Tout discours ou narration constitue alors une interprétation plus ou moins intéressé d´un contexte. C'est un procès qui se manifeste à différentes échelles, de la discussion entre deux personnes a la une du journal ou les nouvelles en télévision (les images nous parlent). Les médias ne sérient autre chose que des énormes haut-parleurs qui une fois et une autre nous répètent une ensemble d´opinions, préjugés, idées et perceptions déguises comme nouvelles ou « information ».

En prenant en considération que les dits "mass media" font souvent partie de sociétés et entreprises avec de nombreux intérêts connexes, souvent de caractère transnationale c’ est forte difficile les voire comme des simples messagers ou émetteurs désintéressées d’une narrative donnée.
La manipulation de l´information, acceptée comme une interprétation intéressé des faits constitue une stratégie de pouvoir qui i s'exprime de façons très différentes: des l'invention de quelque chose de rien a la diffamation et criminalisation en passant par la répétition ad nauseam d'un ensemble d'éléments (symboliques ou idéologiques) à chaque fois qu'une situation particulière est examinée de plus près.
La fusion progressive de divertissement et information (qui se reflète dans la notion de infotainment) ajoutée à une urgence présumée pour savoir ce qui se passe quand ce est en train de se passer (vingt-quatre heures par jour, sept jours par semaine) et la multiplication des réseaux de communication et d'interaction ont contribué à une banalisation inquiétante de quelque chose qui devrait d’être un élément fondamental de tout régime présumé démocratique : la capacité d'accéder aux informations qui nous aident à créer un point de vue, de plus en plus on est bombardés par des opinions construites en base a l'aide d’expressions anecdotiques de la réalité o faits ponctuels non- contrastés qui cherche nous vendre une version très spécifique de la réalité où nous vivons.
Une réalité des bons et mechants, pacifiques et violents, terroristes et démocrates, progressistes et les conservateurs et un long etc qui cherche à maintenir le statu quo à tout prix. Comme Ignacio Ramonet écrivait en 2003 au sujet de la tentative de coup d `Etat a la République bolivarienne du Venezuela en 2002:" La ” « guerre sale médiatique » conduite au Venezuela contre le président Hugo Chavez est la réplique exacte de ce qu’avait fait, de 1970 à 1973, le quotidien El Mercurio (6) au Chili contre le gouvernement démocratique du président Salvador Allende, jusqu’à pousser les militaires au coup d’Etat. De telles campagnes, où les médias cherchent à abattre la démocratie, pourraient se reproduire demain en Equateur, au Brésil ou en Argentine contre toute réforme légale tentant de modifier la hiérarchie sociale et l’inégalité de la richesse. Aux pouvoirs de l’oligarchie traditionnelle et à ceux de la réaction classique s’ajoutent désormais les pouvoirs médiatiques. Ensemble - et au nom de la liberté d’expression ! -, ils s’attaquent aux programmes qui défendent les intérêts de la majorité de la population. Telle est la façade médiatique de la globalisation. Elle révèle de la façon la plus claire, la plus évidente, et la plus caricaturale l’idéologie de la mondialisation libérale” .
Accepter la version officielle per se n'est très différente a renoncer à notre condition de sujets actifs pour devenir des objets passifs, avalant tout ce que le pouvoir des médias et les medias du pouvoir (où la fusion du pouvoir économique, politique et sa capacité symbolique ont également connu un très intéressant procès symbiose), nous ayant préparé: des révolutions a couleur , coupures inévitables, terroristes impitoyables ou des horribles dictateurs. Au fur et a mesure qu’ on s’éloigne de la scène des nouvelles (son contexte, antécédents et les acteurs en jeu) plus difficiles ca se fait être capable de distinguer ce qui a été ajouté, réduit au silence ou transformé. Une des manières de faire cela c’est essayer d'accéder à autant de sources que possible, comparer les versions et essayer de voir au-delà des écrans éblouissantes et titulaires absolus



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