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Légende urbaine feministe

Anonyme, Tuesday, August 3, 2004 - 15:32

Wendy McElroy

 
La recherche complaisante fait référence aux études et aux rapports produits par des gens ayant un intérêt particulier à atteindre une conclusion prévue d’avance. Le féminisme politiquement correct est tristement notoire pour sa recherche complaisante et pour sa méthodologie médiocre qui accompagne si souvent un parti pris politique. La théorie est présentée comme un fait, les comptes-rendus anecdotiques comme des données solides. Ceux qui apportent des preuves contradictoires sont calomniés à travers des attaques ad hominem (contre la personne).

De telles « recherches » pourraient être rejetées comme étant sans valeur et sans pertinence si elles ne formaient pas la base de tant de politiques publiques. La diffamation féministe pourrait être disqualifiée comme une mauvaise plaisanterie si elle n'avait pas brisé la vie des gens. Dans l’état actuel des choses, le féminisme politiquement correct et les légendes urbaines qu'il crée font du mal à des gens innocents. Et on ne doit jamais l’ignorer.

En 1994, Christina Hoff Sommers a révélé des légendes urbaines que le féminisme a propagées à travers le public nord-américain dans son livre Who Stole Feminism? How Women Have Betrayed Women (Qui a volé le féminisme ? Comment les femmes ont trahi les femmes). Des exemples de légendes urbaines féministes incluent :

* 150,000 femmes américaines meurent d'anorexie mentale chaque année. Sommers est remontée à la source de la statistique et a constaté que 150,000 personnes souffrent d'anorexie, avec une mortalité annuelle tournant autour de 100 personnes.

* La violence conjugale grimpe de 40 % le dimanche du Super Bowl. Quand elle a retrouvé la source, la « chercheuse » a refusé de vérifier ses données, prétextant que l'étude n'était pas « du domaine publique ».

* Une étude de March of Dimes* a constaté que battre une femme durant sa grossesse était la principale cause de malformation à la naissance. Mais March of Dimes n'a fait aucune étude du genre et fut cité incorrectement.

De telles légendes urbaines sont utilisées dans une campagne de peur pour soutenir les demandes de lois et l’accroissement du financement au profit des femmes.

Pendant ce temps-là, ceux qui osent défier les découvertes politiquement correctes « d'études » approximatives ou inexistantes risquent d’être calomniés ou pire encore. Trois chercheurs pionniers de la violence conjugale - Murray Straus, Richard Gelles et Suzanne Steinmetz - ont dû affronter cette ruse du politiquement correct qui réduit au silence les dissidents. Ils ont mené une étude aujourd’hui modèle (1980), « Behind closed doors: Violence in American Families » (Derrière les portes closes : la violence dans les familles américaines), qui montrait que les hommes et les femmes amorcent la violence conjugale à un taux similaire, bien que les hommes subissent moins de blessures.

En conséquence de cette étude et de sa poursuite de la recherche, la carrière de Straus fut compromise par des attaques personnelles violentes, incluant une fausse rumeur qu'il était un batteur de femmes. Ainsi que le remarque Gelles, presque tous les chercheurs masculins ou auteurs qui ripostent aux légendes urbaines féministes sont taxés d’être des batteurs de femmes. Les chercheurs féminins ne s’en tire pas mieux. La famille de Steinmetz - incluant ses enfants – ont subi des menaces de violence physique, et une conférence à laquelle elle devait parler reçut un appel à la bombe.

À ce jour, la plupart des gens que je connais qui se prononcent avec un tant soit peu d’efficacité contre le féminisme politiquement correct sont calomniés et visés par l'intimidation. Assurément, je reçois ma part de diffamations étranges et de menaces. Pourtant, il est essentiel que ces stratégies de voyou ne permettent pas de réduire au silence la recherche valable et les opinions dissidentes.

Il est important pour les gens de regagner confiance dans la recherche objective, fondamentale pour l'établissement des faits. Les campagnes de peur ont été utilisées si abusivement par les avocats du politiquement correct que le syndrome de « Pierre et le loup » commencent à s’installer. La « recherche » imprécise et médiocre a été utilisée pour sonner l'alarme si souvent qu'un public cynique commence à ignorer les données valables. Qui peut les blâmer d’avoir cette réaction ?

Mais la recherche honnête est possible. Et les médias doivent cesser d’être complice des fausses alertes et de diffuser des inexactitudes. Même une attention superficielle aux règles du bon sens permettrait aux journalistes et aux reporters de filtrer les pires légendes qui se font passer pour des faits, au lieu de les transmettre aux auditeurs comme des « nouvelles ».

Quels sont certaines de ces règles du bon sens ? Les médias devraient ignorer, ou questionner rigoureusement n'importe quel rapport qui contient ou utilise :

* un langage fortement émotif ;
* des recommandations politiques spécifiques ou demandes de financement ;
* une approche « d'instantanéité » plutôt que des données sur plusieurs années ;
* des anomalies internes et non expliquées ou des contradictions ;
* Sans preuves empiriques en appui ;
* qui ne révèle pas ses paramètres, par exemple une marge d’erreur ;
* qui ne révèle pas l’affiliation pertinente des chercheurs ;
* qui repose sur un échantillonnage non représentatif ou petit ;
* qui n'essaye pas de vérifier les dires ;
* qui met l’emphase sur des faits anecdotiques ;
* qui ne vérifie pas indépendamment les propos des sujets.

De plus, les médias devraient arrêter de traiter les attaques personnelles et la calomnie comme s'ils étaient des contre-arguments. Quand les hommes qui questionnent les données des féministes sont pourfendus comme des batteurs de femmes, les journalistes devraient exiger la preuve incontestable de cette accusation criminelle. Quand les femmes qui critiquent se font menacer et calomnier, les journalistes devraient mettre en évidence la propension du féminisme à détruire des vies au lieu de s’occuper des arguments.

Si les médias prenaient ces premières mesures, peut-être alors le public regagnerait confiance dans un autre aspect essentiel du débat public. L'idée d'un désaccord honnête est possible entre gens qui se respectent, au lieu de ces séances de médisance qui passent pour du dialogue dans les talk-shows « brutaux ».

J'ai appris de Queen Silver, une femme qui était ma meilleure amie et une inspiration jusqu'à sa mort il y a quelques années, que le désaccord respectueux était possible. Nous n'étions pas d'accord sur presque tout en politique. Grâce à Queen, j'ai découvert que quelqu'un qui s'oppose diamétralement à moi sur des questions importantes pouvait avoir bon coeur et se soucier tout aussi bien que moi de la justice.

Une génération a été éduquée à croire que crier est débattre, que diffamer une personne est un argument et que la recherche valable n’existe pas. On ne doit pas permettre à cet héritage du politiquement correct de perdurer.


* Le March of Dimes est une agence nationale américaine de santé, fondée en 1938 par le Président Roosevelt pour vaincre la poliomyélite.



Subject: 
suite du féminisme maquillé
Author: 
pistache
Date: 
Wed, 2004-08-04 00:39

Bravo pour votre texte d'un réalisme criant!
Le rapport Rondeau sorti récemment rejoint parfaitement
vos constations.

Des extraits du livre de Erin Pizzey que j'ai reproduits
dans un thread plus bas nous laissent pantois
http://www.cmaq.net/fr/node/17626#comment

Pour ajouter à ce que vous mentionnez, ce qui s'est passé en Irak,
contrairement à la désinformation habituelle des mêmes ploucs, fait réfléchir comme en détaille ce qui suit, et tenez-vous bien! La hiérarchie de commandement était ....féminine :

Des hypothèses du féminisme chamboulées

Un utérus n'est pas un substitut de la conscience. Donner aux femmes des positions de pouvoir ne changera pas la société elle-même.

par Barbara Ehrenreich

KEY WEST, Fla. — Même les gens que nous pensions imperméables à la honte, comme le Secrétaire à la défense, admettent que les photos d'abus sexuels sur des prisonniers irakiens dans la prison d'Abu Ghraib, leur ont retourné l'estomac.

Les photos m'ont fait autre chose, comme féministe: Elles m'ont brisé le coeur. Je n'avais pas d'illusions sur la mission US en Irak - quoi qu'elle soit exactement - mais il s'avéra que j'avais certaines illusions concernant les femmes.

Des sept soldats qui sont maintenant inculpés de formes d'abus sexuels écoeurants à Abu Ghraib, trois sont des femmes: Spc. Megan Ambuhl, Pfc. Lynndie England and Spc. Sabrina Harman.

C'est Harman que nous avons vu avec un petit sourire espiègle avec le signe du pouce en l'air, derrière une pile d'hommes irakiens nus, la tête cagoulée - comme pour dire, "Coucou maman, je suis ici à Abu Ghraib!" C'est England que nous avons vu tenant un homme irakien à la laisse. Si vous aviez voulu faire de la propagande pour Al Qaeda, vous n'auriez pas pu imaginer une meilleure mise en scène pour galvaniser les fondamentalistes islamiques misogynes dans le monde.

Ici, dans ces photos d'Abu Ghraib, vous avez tout ce que les fondamentalistes se figurent caractériser la culture occidentale, le tout joliment présenté dans une image hideuse - l'arrogance impériale, la dépravation sexuelle...et l'égalité de genre.

Peut-être n'aurai-je pas dû être tellement choquée. Nous savons que des braves gens peuvent faire des choses terribles dans certaines circonstances. C'est ce que le psychologue Stanley Milgram avait découvert avec ses fameuses expériences dans les années 60. Il est fort probable qu' Ambuhl, England and Harman ne sont pas mauvaises congénitalement. Elles appartiennent à la classe travailleuse et voulaient pouvoir étudier et elles savaient que l'armée pouvait être un tremplin dans cette direction. Une fois qu'elles avaient rejoint l'armée, elles ont voulu s'intégrer.

Et je ne devrais pas non plus être surprise parce que je n'ai jamais cru que les femmes étaient naturellement plus douces et moins agressives que les hommes. Comme la plupart des féministes, j'ai soutenu une égalité des chances pour les femmes à l'armée - 1) parce que je savais que les femmes étaient capables de combattre et 2) parce que l'armée est un des rares choix pour les jeunes peu fortunés.

Bien que j'ai été opposée à la guerre du Golfe en 1991, j'étais fière de nos femmes soldates et ravie que leur présence irritait leurs hôtes saoudiens. Secrètement, j'espérais que la présence de femmes pourrait au cours du temps changer l'armée, la rendant plus respectueuse des autres peuples et cultures, plus capable de véritable maintien de la paix. C'est ce que je pensais, mais je ne le pense plus.

Une certaine forme de féminisme, ou je devrais peut-être dire de naïveté féministe, est morte à Abu Ghraib. C'était un féminisme qui voyait dans les hommes d'éternels auteurs de crimes et dans les femmes d'éternelles victimes, et la violence sexuelle masculine comme la racine de toute injustice. Le viol a constamment été un instrument de guerre et, pour certaines féministes, les choses se passaient comme si la guerre était une extension du viol. Il semblait à tout le moins qu'il existait quelques évidences que le sadisme sexuel masculin était connecté à la tragique propension de notre espèce à la violence. C'était ainsi avant d'avoir vu le sadisme féminin en action.

Mais ce n'était pas seulement la théorie de ce féminisme naïf qui était erronée. Mais aussi sa stratégie et sa vision pour le changement. Cette stratégie et cette vision reposaient sur l'hypothèse, implicite ou exprimée clairement, que les femmes étaient moralement supérieures aux hommes. Nous avons eu pleins de débats pour déterminer si c'était la biologie ou le conditionnement qui conférait aux femmes cet avantage moral - ou simplement l'expérience d'être une femme dans une culture sexiste. Mais cette hypothèse de supériorité, ou du moins de tendances moindres à la cruauté et à la violence, étaient plus ou moins exclues du débat. Après tout, les femmes accomplissent la plus grande partie du travail des soins et de l'attention aux autres dans notre culture, et dans les sondages, elles sont constamment moins tentées par la guerre que les hommes.

Je ne suis pas la seule à me débattre avec cette hypothèse aujourd'hui. Mary Jo Melone, une chroniqueuse du St. Petersburg (Fla.) Times, écrit le 7 mai: "Je n'arrive pas à extraire de ma tête cette photo de England (pointant le doigt vers le sexe d'un homme irakien cagoulé) parce que ce n'est pas ainsi que des femmes sont censées se conduire. Le féminisme, il y a 30 ans, m'a enseigné que non seulement les femmes n'ont pas reçu de cadeaux des hommes, mais aussi que nous leur étions moralement supérieures.

Si cette hypothèse avait été exacte, tout ce qu'on aurait dû faire pour rendre le monde meilleur, - plus aimable, moins violent, plus juste - aurait été d'absorber ce qui avait été pendant tant de siècles le monde des hommes. Nous lutterions pour que les femmes puisse devenir général, directrice générale, sénatrice, professeure et leader d'opinion - et c'était vraiment le seul combat que nous aurions dû mener. Parce qu'une fois qu'elles auraient acquis pouvoir et autorité, une fois qu'elles auraient atteint la masse critique dans la société, les femmes auraient naturellement travaillé au changement. C'est ce que nous pensions, même si nous le pensions inconsciemment - et ce n'est simplement pas vrai. Les femmes sont capables de l'impensable.

Dans le cas d'Abu Ghraib, vous ne pouvez même pas avancer que le problème était précisément qu'il n'y avait pas suffisamment de femmes dans la hiérarchie militaire pour mettre fin aux abus. La prison était dirigée par une femme Gen. Janis Karpinski. L'officier supérieur de l'intelligence service US en Irak, chargé de revoir le statut des détenus avant leur libération était la major Gen. Barbara Fast. Et la dirigeante US responsable en dernière analyse de la gestion de l'occupation de l'Irak depuis octobre, est Condoleezza Rice. Tout comme Donald H. Rumsfeld, elle n'a pas pris en compte les rapports répétés de violence et de torture jusqu'à ce que les preuves émergent par des photos indéniables.

Ce que nous avons appris d'Abu Ghraib, une fois pour toutes, est qu'un utérus n'est pas un substitut de la conscience. Cela ne signifie pas qu'il ne vaut pas la peine de lutter pour l'égalité de genre, pour sa propre sauvegarde. Si nous croyons en la démocratie, nous croyons dans le droit des femmes de faire et de réaliser ce que les hommes peuvent faire et réaliser, y compris les mauvaises choses. C'est simplement que l'égalité de genre seul ne peut pas provoquer un monde juste et pacifique.

En fait, nous devons réaliser en toute humilité, que le genre de féminisme basé sur une hypothèse de supériorité morale féminine est non seulement naïf; il est aussi une forme de féminisme paresseuse et complaisante. Complaisante parce qu'il prétend qu'une victoire pour une femme - une promotion, un grade universitaire, le droit de servir dans l'armée aux côtés des hommes - est par nature une victoire pour toute l'humanité. Et paresseuse, parce qu'il prétend que nous n'avons qu'un combat - le combat pour l'égalité de genre - quand en réalité nous avons beaucoup plus.

Les luttes pour la paix et la justice sociale et contre l'arrogance impérialiste et raciste ne peuvent pas, je suis vraiment désolée de le dire, être incorporées dans la lutte pour l'égalité de genre. Ce dont nous avons besoin est une nouvelle sorte de féminisme solide sans illusions. Les femmes ne changent pas les institutions simplement en s'y assimilant, mais uniquement en décidant consciemment de les combattre pour le changement. Nous avons besoin d'un féminisme qui enseigne aux femmes à dire non - pas seulement à un violeur lors d'un rendez-vous ou à un petit ami trop insistant mais, si nécessaire, à la hiérarchie militaire ou d'entreprise où elles se trouvent.

En bref, nous avons besoin d'un genre de féminisme qui ne vise pas à s'assimiler aux institutions que les hommes ont créé au cours des siècles, mais à les infiltrer et les subvertir.

Pour citer un vieux dicton féministe loin d'être naïf: "Si vous croyez que le but est l'égalité, votre échelle de valeur est trop basse". Cela ne suffit pas d'être égales aux hommes, quand les hommes agissent bestialement. Il ne suffit pas de s'assimiler. Nous avons besoin de créer un monde qui vaille qu'on s'y assimile.
Le dernier ouvrage de Barbara Ehrenreich est "Nickel and Dimed: On (Not) Getting By in America" [http://www.amazon.com/exec/obidos/ASIN/0805063897/commondreams-20/ref=nosim/

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Feminism's Assumptions Upended
A uterus is not a substitute for a conscience. Giving women positions of power won't change society by itself.
by Barbara Ehrenreich

KEY WEST, Fla. — Even those people we might have thought were impervious to shame, like the secretary of Defense, admit that the photos of abuse in Iraq's Abu Ghraib prison turned their stomachs.

The photos did something else to me, as a feminist: They broke my heart. I had no illusions about the U.S. mission in Iraq — whatever exactly it is — but it turns out that I did have some illusions about women.

Of the seven U.S. soldiers now charged with sickening forms of abuse in Abu Ghraib, three are women: Spc. Megan Ambuhl, Pfc. Lynndie England and Spc. Sabrina Harman.

It was Harman we saw smiling an impish little smile and giving the thumbs-up sign from behind a pile of hooded, naked Iraqi men — as if to say, "Hi Mom, here I am in Abu Ghraib!" It was England we saw with a naked Iraqi man on a leash. If you were doing PR for Al Qaeda, you couldn't have staged a better picture to galvanize misogynist Islamic fundamentalists around the world.

Here, in these photos from Abu Ghraib, you have everything that the Islamic fundamentalists believe characterizes Western culture, all nicely arranged in one hideous image — imperial arrogance, sexual depravity … and gender equality.

Maybe I shouldn't have been so shocked. We know that good people can do terrible things under the right circumstances. This is what psychologist Stanley Milgram found in his famous experiments in the 1960s. In all likelihood, Ambuhl, England and Harman are not congenitally evil people. They are working-class women who wanted an education and knew that the military could be a steppingstone in that direction. Once they had joined, they wanted to fit in.

And I also shouldn't be surprised because I never believed that women were innately gentler and less aggressive than men. Like most feminists, I have supported full opportunity for women within the military — 1) because I knew women could fight, and 2) because the military is one of the few options around for low-income young people.

Although I opposed the 1991 Persian Gulf War, I was proud of our servicewomen and delighted that their presence irked their Saudi hosts. Secretly, I hoped that the presence of women would over time change the military, making it more respectful of other people and cultures, more capable of genuine peacekeeping. That's what I thought, but I don't think that anymore.

A certain kind of feminism, or perhaps I should say a certain kind of feminist naiveté, died in Abu Ghraib. It was a feminism that saw men as the perpetual perpetrators, women as the perpetual victims and male sexual violence against women as the root of all injustice. Rape has repeatedly been an instrument of war and, to some feminists, it was beginning to look as if war was an extension of rape. There seemed to be at least some evidence that male sexual sadism was connected to our species' tragic propensity for violence. That was before we had seen female sexual sadism in action.

But it's not just the theory of this naive feminism that was wrong. So was its strategy and vision for change. That strategy and vision rested on the assumption, implicit or stated outright, that women were morally superior to men. We had a lot of debates over whether it was biology or conditioning that gave women the moral edge — or simply the experience of being a woman in a sexist culture. But the assumption of superiority, or at least a lesser inclination toward cruelty and violence, was more or less beyond debate. After all, women do most of the caring work in our culture, and in polls are consistently less inclined toward war than men.

I'm not the only one wrestling with that assumption today. Mary Jo Melone, a columnist for the St. Petersburg (Fla.) Times, wrote on May 7: "I can't get that picture of England [pointing at a hooded Iraqi man's genitals] out of my head because this is not how women are expected to behave. Feminism taught me 30 years ago that not only had women gotten a raw deal from men, we were morally superior to them."

If that assumption had been accurate, then all we would have had to do to make the world a better place — kinder, less violent, more just — would have been to assimilate into what had been, for so many centuries, the world of men. We would fight so that women could become the generals, CEOs, senators, professors and opinion-makers — and that was really the only fight we had to undertake. Because once they gained power and authority, once they had achieved a critical mass within the institutions of society, women would naturally work for change. That's what we thought, even if we thought it unconsciously — and it's just not true. Women can do the unthinkable.

You can't even argue, in the case of Abu Ghraib, that the problem was that there just weren't enough women in the military hierarchy to stop the abuses. The prison was directed by a woman, Gen. Janis Karpinski. The top U.S. intelligence officer in Iraq, who also was responsible for reviewing the status of detainees before their release, was Major Gen. Barbara Fast. And the U.S. official ultimately responsible for managing the occupation of Iraq since October was Condoleezza Rice. Like Donald H. Rumsfeld, she ignored repeated reports of abuse and torture until the undeniable photographic evidence emerged.

What we have learned from Abu Ghraib, once and for all, is that a uterus is not a substitute for a conscience. This doesn't mean gender equality isn't worth fighting for for its own sake. It is. If we believe in democracy, then we believe in a woman's right to do and achieve whatever men can do and achieve, even the bad things. It's just that gender equality cannot, all alone, bring about a just and peaceful world.

In fact, we have to realize, in all humility, that the kind of feminism based on an assumption of female moral superiority is not only naive; it also is a lazy and self-indulgent form of feminism. Self-indulgent because it assumes that a victory for a woman — a promotion, a college degree, the right to serve alongside men in the military — is by its very nature a victory for all of humanity. And lazy because it assumes that we have only one struggle — the struggle for gender equality — when in fact we have many more.

The struggles for peace and social justice and against imperialist and racist arrogance, cannot, I am truly sorry to say, be folded into the struggle for gender equality.

What we need is a tough new kind of feminism with no illusions. Women do not change institutions simply by assimilating into them, only by consciously deciding to fight for change. We need a feminism that teaches a woman to say no — not just to the date rapist or overly insistent boyfriend but, when necessary, to the military or corporate hierarchy within which she finds herself.

In short, we need a kind of feminism that aims not just to assimilate into the institutions that men have created over the centuries, but to infiltrate and subvert them.

To cite an old, and far from naive, feminist saying: "If you think equality is the goal, your standards are too low." It is not enough to be equal to men, when the men are acting like beasts. It is not enough to assimilate. We need to create a world worth assimilating into.

Barbara Ehrenreich is the author, most recently, of "Nickel and Dimed: On (Not) Getting By in America" [http://www.amazon.com/exec/obidos/ASIN/0805063897/commondreams-20/ref=nosim/].

Copyright 2004 Los Angeles Times

Et finalement l'actualité des dernières semaines donne un grand coup
dans ce que vous appelez si bien "les légendes urbaines féministes".


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Subject: 
Liberté d'expression, quand tu nous tiens...
Author: 
eric roy
Date: 
Wed, 2004-08-11 01:31

On peut pas faire taire le monde...

...censurer...

...sinon on est tous déjà cuits.


[ ]

Subject: 
?
Author: 
Jésus
Date: 
Wed, 2004-08-11 01:58

Eric,

Est-ce que nous sommes si dangereux?
Est-ce que la critique d'un certain féminisme vous fait peur?

***

Qq énoncés:

Le patriarcat loge dans les esprits, on est d'accord?

Le patriarcat est un vecteur du capitalisme, on est toujours d'accord?

L'idéologie féministe dans sa version originale était 100% anti-patriarcale, encore d'accord?

L'idéologie masculiniste est contre le féminisme haineux...mais pas contre l'égalité entre les femmes et les hommes et encore moins contre les droits des gais....pas certain que nous soyons toujours d'accord...;-)

Me croirais-tu si je te disais que la plupart des méchants masculinistes sont plutôt de la gauche et anti-capitaliste?

Contre les oppressions? et pas juste celles émanant de la branche féministe anti-mâle...

Par exemple, contre l'oppression des Palestiniens... par vous savez qui...

Contre l'oppresssion des multi-nationales...

Contre l'oppression des magnats de la presse (Power Corp...et autre Péladeau de ce monde)

Contre la destruction de la planète pour enrichir qq poches déjà pleines?

Contre l'oppression du Barreau et de ses "amis" qui défendent surtout leurs porte-monnaies et les "puissants" de ce monde avant de défendre les "petits" de ce monde ?

Contre l'homophobie...

Contre les racismes...

etc...etc...etc...

Vous seriez étonnés d'apprendre qu'il y a plusieurs choses positives chez nous... oui il y a qq exceptions...je ne nommerai personne, mais j'ai qq noms en tête...tout comme il y a une branche du féminisme qui ne combat pas le patriarcat, mais bien les GARÇONS/HOMMES/PÈRES...

Cette branche a aussi la particularité de se concentrer uniquement sur la violence faite aux femmes/enfants et ne dénonce que la violence sexuelle faite aux femmes/filles.

Ce qui sous-entend;
*Que seuls les hommes sont violents. Que la violence faite aux enfants est causé par les hommes...
*Que les femmes sont toujours des victimes...et les hommes toujours des bourreaux...
*Que les jeunes hommes ne vivent pas de violence sexuelle...

etc...etc...etc...

Jamais de nuance....juste de la haine des hommes..."Tous des salauds"...

VOUS NE TROUVEZ pas cela BIZARRE?

Moi, ce qui me fascine chez cetaines personnes, c'est leur incapacité à analyser et à décortiquer les différentes branches du féminisme. Comme si le féminisme regroupait uniquement des gens pensant tous de la même façon... un bloc monolitique quoi...

Pourtant, la plupart des gens de la gauche pur et dur, sont capable d'analyser et de décrire avec brio les manigances des capitalistes... de décortiquer les racines du capitalisme... la plupart sont capable de remettre en question presque toutes les idées et conceptions provenant de la gauche...MAIS PAS CELLES QUI SONT ISSUES DES DIFFÉRENTES BRANCHES DU FÉMINISME...

Pourquoi?

Est-ce que le fait de critiquer certaines exagérations du féminisme vous fait peur?

Peur de perdre un allié dans votre lutte contre le capitalisme...contre le patriarcat?

Peur de vous faire associer aux méchants masculinistes et de vous faire traiter de misogyne...d'homophobe?

Peur que vos blondes/chums vous laissent? (;-)

***

Encore une fois... je peux vous assurez que la plupart de ceux que l'on nomme les méchants masculinistes sont de la gauche...

Nous combattons les même choses que vous...bien sur, nous n'assistons pas aux rencontres du CMAQ...nous n'allons pas souvent dans les manifs... mais chacun à notre façon nous luttons pour un monde plus juste et plus égalitaire...

...et c'est sincère !

Pas une once de manipulation... pas un seul mensonge !

Je connais la plupart des méchants masculinistes... et tout comme les gens qui fréquent le CMAQ, nous avons nos désaccords...certains sont plus à gauche que d'autres....mais nous sommes vraiment pas des pourfendeurs du patriarcat!

Si nous sommes pour la défense des garçons/pères/hommes, ce n'est pas pour que les "mâles" retrouvent leur puissance et leur arrogance!

Pas du tout!

Mais vraiment pour aider ceux qui sont délaissés...

Oui ! Encore ici il faut faire une nuance: certains masculinistes désirent un retour au patriarcat pur et dur... mais ils sont minoritaires... tout comme ceux qui appartiennent à la branche haineuse du féminisme.

Mais ces 2 groupes ont une chose en commun: ils gueulent forts !

En espérant le tout rassurant,

Jésus


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Subject: 
Je préférais la formulation d
Author: 
RiouxYves/Bleuler
Date: 
Wed, 2004-08-04 20:19

Je préférais la formulation de madame Descaries

"Aussi, faut-il concevoir de ce point de vue que l'avenir de la recherche féministe passe par sa capacité à s'extraire de la périphérie, de la marge du champ scientifique pour convaincre de sa légitimité et de la compatibilité de ses approches théoriques et méthodologiques avec l'esprit scientifique. Peu de nos travaux ont réussi à contaminer les pensées du " mainstream " et pourtant la survie des études féministes et leur efficacité intellectuelle et sociale dans l'avenir en dépendent. "

(Victoires incomplètes, avenir incertain : les enjeux du féminisme québécois par Francine Descarries, professeure de sociologie à l'UQAM)

Bleuler: Implicitement, Madame Descarries, témoigne d'un fait connu mais rarement admis au grand jour: Ce fait est que les recherches féministes sont rarement prises au sérieux par les milieux scientifiques.

Il y a quelques chercheuses et chercheurs féministes sérieux, mais ils ne sont pas aussi nombreux qu'ils devraient l'être. Beaucoup trop s'inscrivent dans des démarches médiocres. Même les personnes qui leur sont sympathiques admettent que les principales conclusions sont déterminées avant que ne commence la recherche.

Le phénomène n'est pas circonscrit aux recherches féministes. Il couvre plusieurs secteurs des milieux de "gauche". J'ai, par exemple, trouvé le même genre de bêtises dans les travaux de David Cohen. Pour une raison que j'ignore l'idéal de rigueur scientifique n'est pas très répandu dans les milieux de gauche. En contrepartie, la méfiance et le mépris de la science sont très répandus dans les milieux de gauche.


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Subject: 
Références
Author: 
Sisyphe
Date: 
Thu, 2004-08-05 14:17

Pour connaître le sens des propos de Francine Descarries, il vaut mieux lire ce qu'elle a écrit elle-même au lieu de se fier aux interprètes médiocres et biaisés:

http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1161


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Subject: 
médiocrité subjective ou objective
Author: 
RiouxYves/Bleuler
Date: 
Fri, 2004-08-06 08:47

Conditions pour distinguer la valeur ou la médiocrité d'un instrument de mesure et sa pertinence dans une recherche.

http://www.er.uqam.ca/nobel/r30574/PSY1282/C6P1.html
http://www.er.uqam.ca/nobel/r30574/PSY1282/C6P2.html
http://www.er.uqam.ca/nobel/r30574/PSY1282/C6P3.html
http://www.er.uqam.ca/nobel/r30574/PSY1282/C6P5.html
http://www.er.uqam.ca/nobel/r30574/PSY1282/C6P4.html
http://www.er.uqam.ca/nobel/r30574/PSY1282/C6P6.html


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Subject: 
retrait de commentaires
Author: 
jplarche
Date: 
Fri, 2004-08-06 10:22

J'ai retiré trois commentaires (ils sont toujours dans la base de données) de Jésus, de casanova et de m. dufresne qui salissaient délibérément certaines personnes, selon les techniques habituelles soit en leur prêtant des propos qu'elles n'ont pas tenus ou encore en mentant sur des personnes dans le but d'attiser la haine à leur endroit.

C'est toujours désolant d'avoir à censurer. J'invite les visiteurs-commentateurs de ce site à faire attention de ne pas s'attaquer à des personnes. Comment Jésus et casanova réagirait si on diffamait ainsi leur nom ? (pourvu qu'on le connaisse bien entendu !). Le CMAQ a été créé pour qu'on discute sur la valeur des idées et non de la valeur des personnes qui les émettent.

Ceux qui se trouvent lésés par ces règles peu contraignantes trouveront des endroits sur le Web où ils pourront exprimer leur haine en toute liberté.

J-P
montréal contenu

VALIDATEURS : les deux commentaires sont toujours dans la base de données si vous trouvez que je vais trop loin...


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Subject: 
Monsieur Larche, Je compre
Author: 
RiouxYves/Bleuler
Date: 
Fri, 2004-08-06 11:46

Monsieur Larche,

Je comprends votre réserve face aux nombreuses attaques personnelles dont nous sommes témoins sur le forum. Pour ma part, j'essaie de les éviter. Je crois que le gros du problème vient des procès d'intention auxquels chacun se livre.

Dans le cas de madame Bouchard, cependant, je crois que le procès n'en n'est pas seulement un d'intention. C'est un fait que madame Bouchard a très explicitement associé les groupes de revendications masculins à l'extrême droite et sans la moindre nuance. Pour les membres de ces groupes l'insulte est particulièrement blessante. CMAQ a d'ailleurs publié cet article de madame Bouchard sans jamais se froisser du caractère calomnieux des propos. Il est un peu normal que ceux qui se sentent blessés lui répondent sur un ton agressif.

Je constate que vous cherchez à être impartial dans votre application des règles de censure. Je ne peux que vous en félicité. Mais il faut admettre qu'il est difficile d'être complètement impartial. Notre premier ministre, Monsieur Charet, fait par exemple l'objet des pires accusations. Nous tolérons ce genre de critique parce que Charet est un personnage public. N'est-ce pas également le cas de madame Bouchard?


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Subject: 
Bonjour M. le validateur
Author: 
Jésus
Date: 
Fri, 2004-08-06 13:05

Je suis d'accord que le ton utilisé était assez virulent...

Mais comme le note M. Bleuler....Madame Bouchard est un personnage public...

Elle a réellement plusieurs poursuites au criminel pour diffamation !

Si elle a le droit de publier des recherches qui répandent la haine des hommes/pères....et avec 75,000$ de nos taxes pour le faire...comment peut-on rester siliencieux ?

Je suis d'accord de ne pas attaquer d'autres intervenants sur cette tribune....sauf pour dénoncer les mensonges et manipulations...

Le CMAQ est une tribune de gauche qui s'attaque aux racines du capitalisme...

La gauche pense souvent à tort que toutes les tendances du féminisme ont le même objectif: CE QUI EST TOTALEMENT FAUX...ils vous bernent !

Certaines branches, OUI

Mais il y a une branche, qui est représenté par certaines personnes qui ne fait que répandre de la haine sur le dos des hommes/pères...

Elle manipule la gauche pour se faire passer pour ce qu'elle n'est pas....

SVP...pourquoi dénoncer les politiciens et oublier les incroyable écarts de cette "branche"?

Pourquoi fermer les yeux?

Je suis contre le Suroît...contre l'incinérateur de Belledune...contre le capitalisme sauvage...contre Wall-Mart et cie

Mais je suis aussi contre la haine des hommes !

Cette branche publie des pseudo-recherches dans lesquelles elle crache littéralement sur les hommes/pères...

Comment rester silencieux?

Elle a accès à des tribunes publiques...elle EST représenté par des PERSONNAGES publics au même titre que les politiciens et financiers qui "contrôlent" le monde...

Je n'aime pas les politiques de la droite.,...

...et malgré ses prétentions, cette branche fait partie de l'extrème-droite...

Qui la finance? l'état
Dans quel but? répandre la misandrie

A mon avis elle est aussi nocive que les pires capitalistes...

Elle ne ramasse pas des milliards (comme les capitalistes)....mais elle accumule du capital politique sur le dos des hommes/pères

Je vous invite fortement à relire ses (trop?) nombreuses recherches...qui n'a absolument rien à voir avec le décrochage scolaire....ou autre sujet connexe....TOUT ÇA N'EST QU'UN PRÉTEXTE

De toute façon, à toute les fois que cette branche aborde le sujet...c'est pour nier que les garçons soient en difficultés....et elle demande toujours + d'aide pour les filles....

et...

Depuis trente ans l'écart du taux de décrochage scolaire entre les gars et les filles est passé de (+ ou -) 2% à 20%...

Elle ne vise pas à détruire le patriarcat....MAIS LES GARÇONS/HOMMES/PÈRES !

Le patriarcat est une IDÉOLOGIE....qui loge dans nos esprits...

S'attaquer à la moitié de l'humanité comme cette branche le fait ne peu que nuire à la gauche....qui est composée de femme ET D'HOMME !

De grâce...ne vous laissez pas influencer par ses visées anti-patriarcale...elle a un autre agenda....

Ne me croyez pas...allez lire ses multiples recherches...

ILS SONT MISANDRES !

Pas un seul rapport anti-capitaliste ou bedon anti-patriarcat....mais bien anti-mâle !

Toute une nuance qui change TOUT

Cette branche est composée de personnages publics....est-ce normal de la dénoncer?

Tout ce que je j'essaye de faire c'est de vous alerter...ne vous laissez pas berner par leurs titres pompeux....et leurs chaires supposément féministes....

La diffamation des hommes doit CESSER !

Le CMAQ est une tribune pour faire "bouger les choses"...pour publier des articles qui conscientisent les gens sur tout plein de truc......

C'EST CE QUE JE FAIS !

Que cela soit Bouchard ou une autre personne qui répande la misandrie...cela ne m'importe peu !

Je ne m'attaque pas à elle...mais à ses travaux haineux et anti-homme ! Elle je ne la connais pas personnellement...et elle me laisse indifférent en tant que personne....

Mais PAS SES travaux....nous avons le devoir de les dénoncer...

Je dénonce aussi les travaux des personnes misogynes...

En espérant le tout conforme à vos attentes...


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Subject: 
ironie
Author: 
pistache
Date: 
Fri, 2004-08-06 14:27

Jésus,
j'ai eu le temps de lire ton écrit retiré. Je n'y ai vu que de l'ironie, sans plus. En aucun endroit, ta "traduction ironique" ne pouvait laisser croire qu'elle provenait de la Bouchard, qui pourtant
mérite amplement d'être l'objet de critiques, tellement ses écrits relèvent de la haine sous le couvert ridicule du "scientifique".
Il ne se prêtait pas à la censure, contrairement aux propos de premier niveau de l'autre.

Je crois que le CMAQ s'est amélioré quant à la censure de "parti pris", mais pourquoi avoir attendu les propos orduriers de l'autre
pour censurer le tiens? Ménagé la chèvre et le chou?


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Subject: 
Ce n'est pas de la diffamation.
Author: 
Casanova
Date: 
Fri, 2004-08-06 15:23

Il y a une énorme différence entre diffamation et relater les faits. C'est un fait que Pierrette Bouchard, une féministe d'extrême-droite, a publié un supposé rapport scientifique sur le décrochage scolaire des garçons dans lequel elle insulte, attaque et diffame largement les hommes et les groupes de père. C'est aussi un fait véridique que son rapport a été dénoncer pour son sexisme et sa misandrie partout au Canada par des hommes et femmes de tout courant politique. Il y a même eu une femme politicienne à Ottawa qui a décrit le rapport comme étant une attaque sexiste en règle envers les hommes.

Si j'ai mentionné le rapport de Pierrette Bouchard dans mon commentaire, c'est en rapport avec l'article sur la manque de rigueur et crédibilité total des chercheures féministes. Depuis quand la pure véritié est de la diffamation?


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Subject: 
Définintion de salissage et de diffamation (art:319)
Author: 
Jésus
Date: 
Fri, 2004-08-06 15:52

Code criminel

PARTIE VIII INFRACTIONS CONTRE LA PERSONNE ET LA RÉPUTATION

Propagande haineuse

Incitation publique à la haine
319. (1) Quiconque, par la communication de déclarations en un endroit public, incite à la haine contre un groupe identifiable, lorsqu'une telle incitation est susceptible d'entraîner une violation de la paix, est coupable :

a) soit d'un acte criminel et passible d'un emprisonnement maximal de deux ans;

b) soit d'une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire.

Fomenter volontairement la haine
(2) Quiconque, par la communication de déclarations autrement que dans une conversation privée, fomente volontairement la haine contre un groupe identifiable est coupable:.

a) soit d'un acte criminel et passible d'un emprisonnement maximal de deux ans;

b) soit d'une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire.

Défenses
(3) Nul ne peut être déclaré coupable d'une infraction prévue au paragraphe (2) dans les cas suivants :

a) il établit que les déclarations communiquées étaient vraies;

b) il a, de bonne foi, exprimé une opinion sur un sujet religieux ou une opinion fondée sur un texte religieux auquel il croit, ou a tenté d'en établir le bien-fondé par argument;

c) les déclarations se rapportaient à une question d'intérêt public dont l'examen était fait dans l'intérêt du public et, pour des motifs raisonnables, il les croyait vraies;

d) de bonne foi, il voulait attirer l'attention, afin qu'il y soit remédié, sur des questions provoquant ou de nature à provoquer des sentiments de haine à l'égard d'un groupe identifiable au Canada.

Confiscation
(4) Lorsqu'une personne est déclarée coupable d'une infraction prévue à l'article 318 ou aux paragraphes (1) ou (2) du présent article, le juge de la cour provinciale ou le juge qui préside peut ordonner que toutes choses au moyen desquelles ou en liaison avec lesquelles l'infraction a été commise soient, outre toute autre peine imposée, confisquées au profit de Sa Majesté du chef de la province où cette personne a été reconnue coupable, pour qu'il en soit disposé conformément aux instructions du procureur général.

Installations de communication exemptes de saisie
(5) Les paragraphes 199(6) et (7) s'appliquent, compte tenu des adaptations de circonstance, à l'article 318 et aux paragraphes (1) et (2) du présent article.

Consentement
(6) Il ne peut être engagé de poursuites pour une infraction prévue au paragraphe (2) sans le consentement du procureur général.

Définitions
(7) Les définitions qui suivent s'appliquent au présent article.

«communiquer» "communicating"
«communiquer» S'entend notamment de la communication par téléphone, radiodiffusion ou autres moyens de communication visuelle ou sonore.

«déclarations» "statements"
«déclarations» S'entend notamment des mots parlés, écrits ou enregistrés par des moyens électroniques ou électromagnétiques ou autrement, et des gestes, signes ou autres représentations visibles.

«endroit public» "public place"
«endroit public» Tout lieu auquel le public a accès de droit ou sur invitation, expresse ou tacite.

«groupe identifiable» "identifiable group"
«groupe identifiable» A le sens que lui donne l'article 318.

L.R. (1985), ch. C-46, art. 319; L.R. (1985), ch. 27 (1er suppl.), art. 203; 2004, ch. 14, art. 2

Lien: Article 319 du code criminel


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Subject: 
Minable !!!
Author: 
stéphane
Date: 
Fri, 2004-08-06 19:28

Quand on écrit que Pierrette Bouchard est "une féministe d'extrême-droite", on fait ni plus ni moins que de la diffamation... à moins qu'on ne démontre son ignorance crasse des courants politiques. Dans les deux cas, c'est pathétique.

Qu'on soit d'accord ou non avec les recherches de madame Bouchard n'y change absolument rien. Tu débats de façon minable, Casanova, et je ne crois pas diffamer en l'affirmant. Et ça vaut itou pour le messie qui évangélise plus bas.


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Subject: 
Extrême-droite
Author: 
Casanova
Date: 
Fri, 2004-08-06 20:29

Je dis que Pierrette Bouchard est une féministe d'extrême-droite car la haine et le sexisme sont des caractéristiques de l'extrême-droite. Mais tu as raison Stéphane, je dois trouver un nouveau qualificatif pour Pierrette Bouchard.

J'ai inventé un terme pour décrire les gens qui se disent de gauche mais qui ont des propos d'extrême-droite: l'extrême-droite gauchiste. Tu trouves ca mieux?


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Subject: 
l'extrême-droite gauchiste
Author: 
Jésus
Date: 
Fri, 2004-08-06 23:42

mdr ;-)))

Il faut le pardonner... il pense que P.B est de la gauche à cause qu'elle se donne le titre de féministe... 2 choses qui restent à prouver !

C'est comme pour mon pseudo....les titres l'impréssionne je crois !

Jésus


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Subject: 
Ok...Stéphane......c'est quoi ta définition ???
Author: 
Jésus
Date: 
Fri, 2004-08-06 23:38

Vas-y on t'écoute....

Jésus
Mon pseudo...et je ne suis pas le messie...désolé si cela impréssione


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Subject: 
L'extrême droite
Author: 
stéphane
Date: 
Mon, 2004-08-09 12:51

Pour une définition, quoi de mieux que le Petit Larousse: "...ensemble des mouvements hostiles, par traditionalisme, nationalisme ou ratachement à une idéologie contre-révolutionnaire voire fasciste, au conceptions tant socialistes que libérales de la société...".

Pour ce qui est de ton pseudo, ce n'est pas qu'il m'impressionne. Je suis simplement surpris par autant de prétention et de ridicule. Amen.


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Subject: 
Merci !
Author: 
Jésus
Date: 
Mon, 2004-08-09 20:09

Pas d'autres commentaires M'sieur l'juge

Comme disent les anglais: I rest my case ;-))))

Jésus,
Pas prétentieux pour 5¢, mais qui remet en question les idées reçues ! ;-)

p.s. Je suis presque certain que tu n'a pas lu "l'excellent" rapport sur le décrochage scolaire de; "tu sais qui"...

On y retrouve "plein d'amour" pour les garçons/hommes...

Ahhh c'est vrai... si on attaque les garçons/hommes on est automatiquement CONTRE le PATRIARCAT... donc féministe et de la gauche... s'cuse l'oublie ;-)

Moi qui pensais que le patriarcat était UNE IDÉOLOGIE endossé par les 2 sexes...et non une question de genre...

Moi qui pensais que la gauche était contre toutes les injustices... contre tous les mensonges, CONTRE TOUTES les exploitations...et surtout contre la haine gratuite....

oups....


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Subject: 
Contradiction
Author: 
martin dufresne
Date: 
Sun, 2004-08-08 10:57

Je ne perdrai pas de temps à tenter de réfuter des "arguments" et "faits véridiques" aussi minces que ceux que Rémi Tremblay, "Jésus" et "Bleuler"-Rioux déversent ici - avec la déplorable tolérance des validateurs - pour tenter de dscréditer le travail de Bouchard, Boily et Proulx dans "La réussite scolaire comparée selon le sexe: catalyseur des discours masculinistes" (http://www.cfc-swc.gc.ca/pubs/0662882857/index_f.html).

Je ne veux que signaler une contradiction assez cocasse. Nos masculinistes de service tentent de faire passer Madame Bouchard pour une "féministe d'extrême-droite"...

Or, dans ces dossiers, c'est bel et bien la mouvance masculiniste qui occupe des positions de Droite, par exemple avec son discours déterministe et biologiste sur la prétendue primauté essentielle de figures d'autorité mâles dans la famille et à l'école, sur la nécessité d'environnements non mixtes et d'une agitation physique décrite comme essentiellement masculine. Si la Droite loge qelque part, c'est bien dans cette défense du patriarcat contre les droits des enfants, des jeunes et des femmes.

Un des mérites du travail de Bouchard, Boily et Proulx est d'avoir mis en lumière la façon dont ce retour du bâton essentialiste est orchestré dans les médias par les groupes masculinistes, désireux de voir rétabli le pouvoir masculin traditionnel, valeur icône de la Droite.

C'est parce que les chercheures ont démontré leurs analyses en citant des exemples que les responsables de tels propos les harcèlent de poursuites non fondées, poursuites qui ne "prouvent" en rien que Bouchard, Boily et Proulx auraient fauté en citant ces propos outranciers où, coïncidence?, les féministes sont souvent assimilées à des Nazis.

Quel dommage qu'un site comme le CMAQ qui se prétend progressiste prête encore systématiquement ses pages au salissage (anonyme bien sûr) d'une démarche anti-essentialiste aussi nécessaire.. et aussi contraire aux souhaits de la Droite!

"Quand il s'agit des femmes, il n'y a pas d'hommes de gauche." (Brigitte Fontaine)

Martin


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Subject: 
Toujours la même rangaine.
Author: 
Casanova
Date: 
Sun, 2004-08-08 13:54

Bien sur que notre Martin nationale ne perdra pas de temps à réfuter nos faits véridique sur le rapport sexiste de Pierrette Bouchard, il sait que nous avons des preuves de ce que nous disons. Il sait très bien que le rapport de Pierrette Bouchard a été dénoncé partout au Canada par des hommes et femmes et par une politicienne à Ottawa. Il est au courant de la poursuite au civil contre les 3 auteurs du rapport. Alors au lieu de tenter de "réfuter" ces faits, ils évitent d'en parler comme c'est si souvent le cas ches les féministes radicales qui se font contredire. Évidemment, vu qu'il ne peut nous contredire, il demande qu'on nous censure.

Notre Martin n'aime pas qu'on associe extrême-droite et Pierrette Bouchard. Je pense avoir la solution pour lui, on n'a qu'à associer Pierrette Bouchard avec l'extrême-droite gauchiste. C'est à dire une féministe d'extrême-droite mais qui se pense de gauche.

Par la suites, Martin nous sort ses perpétuelles mensonges sur le discours "masculiniste" pour tenter de la discréditer sans jamais avoir de succès. La mouvance "masculiniste" proneraient la primauté des mâles dans la famille et à l'école. A-t-il des preuves de ce qu'il avance? Non. Je connais le mouvement des hommes et ce n'est fait pas partit des revandications des hommes. La nécessité d'environnement non-mixte à l'école est bel et bien une revandication des groupes de la condition masculine pour contrer le décrochage scolaire alarmant des garçons. Cette revandication se base sur des études et projet pilote qui ont prouver que les classes non-mixte améliore de beaucoup la performance des garçons à l'école. Pendant qu'on tente de trouver des solutions, les féministes radicales disent que le décrochage scolaire des garçons n'est pas important car ils dominent encore le marché du travail. Un peu misandre, nos féministes de service? L'agitation physique est essentiellement masculine et dire le contraire revient à nier la différence entre les sexes dont les féministes radicales appuient. C'est pourquoi le mouvement des hommes demandent qu'on rétablisse l'éducation physique à l'école malgré l'opposition des féministes radicales qui ne veulent surtout pas qu'on aide les garçons. Martin dit que nous défendons le patriarcat contre les droits des enfants, des jeunes et des femmes. On appelle ca de la pure diffamation mensongère. Évidemment, il n'a aucune preuve pour prouver ses affirmations. Au contraire, les jeunes et les enfants sont au centre des revandications et préoccupation de la condition masculine. Un petit peu menteur, notre martin?

Martin affirme: "Un des mérites du travail de Bouchard, Boily et Proulx est d'avoir mis en lumière la façon dont ce retour du bâton essentialiste est orchestré dans les médias par les groupes masculinistes, désireux de voir rétabli le pouvoir masculin traditionnel, valeur icône de la Droite."

Il est bien le seul à voir du "mérite" dans ce rapport car les hommes et femmes du Canada ont plutot eu une réaction inverse soit une sévère critique du discour anti-homme et haineux de ces trois féministes radicales.

Martin juge que la poursuite judiciaire contre ce rapport est non fondé. Évidemment ce n'est pas à lui dans décider mais à la cour de justice et la population a déja juger le rapport Bouchard comme étant haineux.

En fait, les revandications légitimes des groupes de la condition masculine agace profondément notre Martin qui voit son discour anti-homme attaqué. Il a une peur bleu que les groupes de la condition masculine réussissent à établir une plus grande justice sociale pour les hommes dans des domaines comme la famille ou l'éducation alors il met tout son temps à essayer de discréditer le discour de la condition masculine sans succès. Pauvre Martin, il ne fait que nous rendre plus fort sans s'en appercevoir.


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Subject: 
Les gens de la gauche....
Author: 
Jésus
Date: 
Sun, 2004-08-08 16:02

...sont capable d'analyser LES FAITS de façon autonome...

Terminé le temps ou 1 ou 2 personnes pouvaient interpréter les évènements et les FAITS selon leur vision.

Les gens sont capable de lire et de constater...cela ne donne absolument rien DE PRÉDIGERER les FAITS selon NOTRE vision pour ensuite essayer de les imposer à tous !

Parler des hommes et des besoins des hommes ne fait pas de nous automatiquement des "méchants masculinistes" et des gens de la droite...

Par contre c'est comique de voir certaine personne essayer d'imposer cette PERCEPTION aux autres...

C'est aussi méprisant pour l'intelligence des gens!

Plusieurs femmes et hommes de toutes les tendances se penchent sur les problèmes des hommes....ET DES FEMMES...sont-ils pour le retour du patriarcat de nos ancètres?

Franchement...cela démontre une grande ignorance des enjeux...

Casanova a très bien répondu aux tentatives de salissage...

Mais petit détail; il y a aussi des poursuites au criminel...en plus de la poursuite au civil par un groupe de la C.B

_____________________________________________________________________

Ajout: Je viens de lire un "excellent" commentaire sur les "méchants masculinistes" ici

Pour répondre à la désinfo et à la manipulation... voici qq précisions:

#1 Nous ne sommes pas contre les droits des gais...
...et encore moins contre les gais...

#2 Nous ne sommes pas contre "les" féministes....mais contre une seule branche qui répand la haine anti-homme... ce qui n'a absolument rien à voir avec la destruction du patriarcat....

#3 Ce texte essaye de manipuler les gens !
Ce texte prend vraiment les gens de la gauche pour des cruches ! Ils sont capable de lire et de voir la réalité...sans TON aide....

#4 Féminisme n'est pas automatiquement = à la gauche ... la plupart du temps OUI.... mais dire et penser le contraire reveint à dire que tout l'monde est pareil....franchement

#5 Je n'ai jamais vu aucun texte VALIDÉ par le CMAQ et provenant des méchants masculinistes attaquant les gais....surement qu'il y a des personnes qui n'aiment pas les gais....tout comme il y a des personnes qui n'aiment pas les hétéros...

Mais généraliser de cette façon est triste....cela manque de nuance en titi

Jésus


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Subject: 
Texte int/ressant sur le néo-féminisme
Author: 
Casanova
Date: 
Wed, 2004-08-11 15:34

Quand un jeune artiste présente son premier disque, il est improbable qu'il ait la prévoyance de l'intituler "Volume 1". Alors qu'on parle abondamment, ces jours-cis du "néolibéralisme", un mot qui, soit dit en passant, est apparu il y a 160 ans, en 1844, il n'a jamais été question de "protolibéralisme". L'idée de départ dont le néo-libéralisme constitue une distinction est une doctrine respectable, le libéralisme. Il ne faut pas se tromper, le néolibéralisme tellement décrié par les parasites de l'État et les centrales syndicales n'aurait pas que des défauts. Sans lui, le trésor public serait pillé par les groupes de pression néoféministes.

Le moment est maintenant venu d'établir une distinction entre le féminisme et le néoféminisme, une doctrine qui, jusqu'à ce qu'on nous démontre le contraire, ne semble n'avoir que des défauts. On entend souvent dire que le féminisme avait son utilité à une certaine époque mais qu'il serait maintenant dépassé. Nous proposons, au contraire, que le féminisme est aujourd'hui aussi utile qu'il l'a toujours été et c'est la mauvaise réputation que lui fait le néoféminisme qui en mine la réputation. Il est urgent d'établir la distinction entre les deux doctrines. Comment distinguer l'un de l'autre? c'est simple.

Alors que le féminisme sert la collectivité, le néofémininsme, pour sa part, n'est au service que d'un groupe restreint d'oligarques.

Les néoféministes considèrent les hommes, tous les hommes, comme un adversaire à qui elles se doivent de nuire par tous les moyens possibles et s'ils osent rouspéter, elles les accusent d'être des anti-féministes réactionnaires.

Les néoféministes refusent d'admettre que les hommes sont parfois victimes de violence domestique et aient des besoins légitimes. Elles refusent d'accepter que l'État consacre des ressources aux besoins des hommes.

Puisque les néoféministes sont convaincues d'avoir raison, elles sont également convaincues qu'autrui a tort. Elles s'autorisent à faire taire l'autrui qui a le tort de ne pas partager leur point de vue et lui refusent le droit de parole.

La dialectique néoféministe est boiteuse. Ces gens là aiment citer des statistiques, même quand ces statistiques là sont fausses, farfelues ou inventées. Elles n'écoutent pas ce qu'on tente de leur faire valoir. Une tentative de conversation avec une néoféministe ressemble une tentative de conversation avec un fanatique religieux.

Les néoféministes ont toujours raison et même quand elles ont tort, elles on raison d'avoir tort.

Puisque les néoféministes sont convaincues d'avoir raison en toutes circonstances, elle se permettent de faire preuve de mauvaise foi et se contredisent allègrement et quand elles se sentent coincées elles feignent avoir voulu blaguer.

Quand les néoféministes parlent d'égalité entre les hommes et les femmes, elles font toujours référence à une égalité non-réciproque qui n'offre des avantages qu'aux femmes, avantages qui sont toujours interdits aux hommes.

Quand un homme tente d'avoir une conversation honnête avec une néoféministe, elle l'accuse d'être un masculiniste rétrograde nostalgique et patriarcal, de se livrer à la diffamation, à la désinformation et à de la propagande haineuse à l'incitation à la violence, de tenir des propos homophobes et d'avoir des sympathies inavouées envers Marc Lépine.

Les néoféministes refusent d'admettre que les hommes sommes parfois victimes de misandrie et affirment, sans reconnaître qu'elles se contredisent, que la discrimination dont les hommes sommes les victimes est saine, légitime et pédagogique.


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CMAQ: Vie associative


Quebec City collective: no longer exist.

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