Analyse sur le budget Marois.

Le rejet des budgets?

La ministre des Finances du Québec, Pauline Marois, a déposé le 1er novembre passé un pansement sur une hémorragie économique qui est artificielle. Provoqué par les fascistes de la haute finance. Surpris? non, car Mère Noël utilise, pour distribuer ses cadeaux de Noël (100 $), les sous qui proviennent des rapaces, que je nomme les banques.

Ma boule de cristal d'anarchiste me dit que la spéculation est comme la météo : elle annonce du beau temps pour toute la journée et, à 16 heures de l'après-midi, un méchant orage tombe. Car personne n'avait pu prévenir cet orage. Alors, les imprudents qui n'avaient pas amené avec eux leur parapluie de subventionnés pour faire la job de bras comme sous-traitant dans l'industrie de la pauvreté furent trempés jusqu'aux os par une pluie froide.

Alors, qu'arrive-t-il si leur récession dure plus qu'une année? Et bien, on retourne dans les déficits budgétaire annuels et, comme la loi leur interdit d'être dans le rouge, ils coupent dans les services publics. C’est-à-dire que vous écopez sans que vous puissiez y faire quoi que ce soit.

Son budget, dans le fond, est une partie de Poker où les joueurs sont les banques et une reprise économique. Si le deuxième joueur bluffe, c'est l'autre qui ramasse la mise et c'est vous et moi qui signerons la reconnaissance de la dette pour les prochaines années.

Le fameux 100 $ de plus pour la TVQ et qui est non récurrent pour ceux et celle qui gagne moins de 26 000 $ annuellement. La Mère Noël s'en sert juste pour faire de la PROPAGANDE pour un parti politique qui est en perte de vitesse dans les sondages auprès des damnés. Paul Martin a passé la même pilule aphrodisiaque et hypnotique 4 mois avant une élection au fédéral en 1999.

Oies Sauvage
Oie...@hotmail.com
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