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Black Bloc: Fantasmes et réalités

vieuxcmaq, Mercredi, Octobre 3, 2001 - 11:00

Anarchist Straightedge (blackredflag@hotmail.com)

un texte tiré de A-infos et plutôt complet sur ce que sont les Black Bloc.

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A G E N C E D E P R E S S E A - I N F O S
http://www.ainfos.ca/
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PAR FRÉDÉRIC GOLDBRONN

Les manifestations de Gênes contre le G8 en juillet dernier ont ouvert une
double crise. Crise au sein du pouvoir d'abord : en répondant à la mobilisation
de la " société civile " par une logique de type militaire, les maîtres du
monde ont dévoilé la violence sur laquelle se fonde leur domination et mis à nu
l'arrogance de leur auto-célébration. Crise aussi dans le mouvement " anti
mondialisation " qui n'était pas préparé à cette violence et qui s'interroge
aujourd'hui sur ses méthodes et ses objectifs.

Pour conjurer la radicalisation d'une frange du mouvement, ses porte paroles
autorisés ont entonné l'éternel refrain de la " provocation ", chanté sur tous
les tons depuis des lustres, des " gauchistes-Marcellin " de l'après 68 aux "
casseurs " des manifestations lycéennes des années 80. Ces accusations ont pris
cependant une tournure nouvelle après Gênes. Les représentants du mouvement ne
stigmatisent plus seulement la présence de " hooligans " et autres " éléments
anars " comme certains l'avaient fait à Seattle ou à Göteborg, mais dénoncent "
une véritable machination politique " [1].

A l'examen, les " preuves " irréfutables que prétendait détenir le GSF se sont
réduites à peu de choses : une photo montrant des hommes au visage masqué et
armés de bâtons devant le portail entrouvert d'une caserne de carabiniers et
une vidéo sur laquelle un homme, également masqué et armé d'un bâton, discute
avec un policier en tenue anti-émeutes. Ces documents confirment ce que chacun
pouvait supposer : il y avait à Gênes des policiers déguisés en émeutiers. Mais
cette constatation ne saurait suffire à faire de tous les émeutiers des
policiers. Rien n'indique d'autre part que ces policiers déguisés faisaient
autre chose que leur travail ordinaire : infiltrer les cortèges pour renseigner
et éventuellement procéder à des interpellations.

Au cœur de cette théorie du complot, on trouve le mystérieux " black bloc ",
avec son cortège de fantasmes et de rumeurs. Le " black bloc " en tant
qu'organisation n'existe pas. Ce qui existe, c'est un rassemblement ponctuel et
hétérogène de petits groupes affinitaires, des Black blocs, agissant de manière
autonome, avec des composantes et selon des modes qui varient d'un continent et
d'un moment à l'autre.

Leur première apparition remonte aux manifestations contre la guerre du Golfe
en 1991 aux Etats-Unis. L'appellation fait sans doute référence aux " Schwarz
bloc ", les " blocs noirs " constitués dans les années 80 par les autonomes
dans plusieurs villes d'Allemagne et à Zurich pour défendre les squats contre
la police ou combattre les activistes néo-nazis. Mais c'est le 30 novembre
1999, lors des rassemblements contre le congrès de l'OMC à Seattle, que les
Black blocs commencent véritablement à faire parler d'eux. Sur le trajet de la
manifestation, un groupe de quelques centaines de personnes masquées s'attaque
aux vitrines des banques, des commerces et des sièges des multinationales. Des
barricades sont fabriquées avec le mobilier urbain et les murs sont couverts de
slogans. Lors des rassemblements contre le FMI et la Banque mondiale à
Washington, les 16 et 17 avril 2000, un " Revolutionary Anti-capitalist bloc "
(RACB) d'un millier de personnes est à nouveau présent, mais avec une tactique
différente : le groupe ne s'attaque pas aux vitrines et concentre tous ses
efforts sur la police, parvenant à bloquer les unités anti-émeutes et
facilitant l'action des militants qui pratiquent la désobéissance civile. On
retrouve un " Anti-Statist black bloc " (ASBB) à Philadelphie, les 1er et 2
août 2000, lors du rassemblement contre la convention du Parti républicain, et
quinze jours plus tard à Los Angeles, contre celle du Parti démocrate. Sous des
appellations parfois changeantes, les Black blocs feront ensuite parler d'eux
au rythme des rassemblements internationaux à Davos, Prague, Nice, Québec,
Göteborg et enfin Gênes.

Lorsqu'on ne les présente pas comme des provocateurs, les Black blocs sont
décris souvent comme des jeunes nihilistes en manque d'adrénaline, n'ayant
d'autre projet que la casse " gratuite ". La réalité est plus complexe.
L'ensemble des pratiques des Blacks blocs s'inscrit dans une perspective
politique : créer des " zones autonomes temporaires " [2] libérées de l'argent
et de l'Etat. Le bombage de slogans sur les murs est une " attaque contre les
surfaces grises, mornes et aseptisées ", qui deviennent ainsi " des lieux
d'expression vivants et colorés, donnant la parole à ceux qui en sont
d'ordinaire dépourvu-e-s " [3]. Le bris de vitrines est revendiqué comme une
critique en acte de la propriété privée, considérée comme " infiniment plus
violente que toute action portée à son encontre " [4]. De même, le pillage est
présenté comme une manière de " nier la valeur marchande des objets ", dans "
un monde où rien n'est accessible sans argent, pas même la satisfaction de ses
besoins vitaux " [5]. Ces situations sont vécues comme des moments de
réappropriation, instants grisants de liberté durant lesquels un autre monde
semble possible [6].

A Gênes, comme le raconte un participant, " tout ce qui représentait le grand
capital, la société marchande, les multinationales et le contrôle social et
policier a été attaqué : banques, distributeurs de billets, agences
immobilières, concessionnaires des grandes firmes automobiles, caméras de
vidéosurveillance, voitures de patrouille d'une société de gardiennage,
véhicules de police, caserne de carabiniers et prison (dont les détenus avaient
été transférés en vue des arrestations NDA). Le mobilier urbain (conteners et
poubelles) a été utilisé systématiquement à des fins de protection (barricades)
et d'entrave à la circulation des véhicules de police. Deux supérettes ont été
partiellement pillées à des fins de ravitaillement en boissons (bières
essentiellement), eau pour les lacrymogènes, produits inflammables, ainsi qu'un
magasin d'accessoires de moto pour des casques, des chaînes et de gros blousons
de cuir, toutes choses pouvant servir durant les affrontements " [7]. Ces
objectifs avaient été fixés lors de plusieurs réunions préparatoires.
Remarquons que plusieurs communiqués évoquent " des divergences importantes
parmi les différents groupes, notamment un différent politique qui a créé une
cassure entre eux. La majorité du black bloc était d'accord pour s'en prendre à
des symboles importants du capitalisme et (…) tout à fait opposée aux attaques
contre des voitures et des petits magasins " [8].

A Gênes, les Black blocs étaient composés d'anarchistes, d'autonomes,
d'antifascistes, de néo-situationnistes ou encore de punks et de travellers
(adeptes nomades des raves et free parties)… Il y avait beaucoup d'Allemands,
des Autrichiens, des Français, des Grecs, des Anglais et quelques Américains,
des Néerlandais, des Espagnols et de nombreux jeunes des centres sociaux
italiens [9], en particulier de Gênes, Turin, Rome, Naples ou Florence ; une
autre partie des centres sociaux formant le cortège des Tute Bianche [10]. Dans
la manifestation du vendredi matin, Les Black blocs ont fait un cortège commun
avec les syndicalistes de la Coordination nationale des Cobas [11].
L'après-midi, quand les boucliers des Tutte Bianche ont cédé sous les assauts
des véhicules blindés, il était difficile de les distinguer des autres
participants au cortège, avec lesquels ils construisaient des barricades et
affrontaient la police.

Comme on l'a vu à Gênes ou à Seattle, ces groupes agrègent aussi dans l'action
des jeunes prolétaires inorganisés : " ces moyens simples, directs et à la
portée de tou-te-s sont logiquement plus à même de toucher les milieux les plus
défavorisés, les milieux les plus frappés par l'exclusion, ceux et celles que
la politique a toujours délaissés et qui ont fini par délaisser la politique
(…) L'exemple de Seattle est flagrant à ce sujet : alors que l'ensemble du
mouvement de lutte contre l'OMC déplorait la faible participation de gens de
couleurs et/ou des classes sociales les plus "basses" aux événements, les
initiatives des blacks blocs ont attiré (et sont presque les seules à l'avoir
fait) nombre de jeunes des quartiers noirs et pauvres " [12].

En dépit de l'allure virile de leurs cortèges, ces groupes sont le plus
souvent mixtes. Ils portent des cagoules (et non forcément des habits noirs),
non pour " effrayer le bourgeois " ou se complaire dans une imagerie
paramilitaire, qu'ils abhorrent pour la plupart, mais parce que l'anonymat
qu'elles leur garantit leur permet de se dérober au regard panoptique de Big
Brother, omniprésent à Gênes (caméras sur les toits, dans les rues, les
hélicoptères…) comme dans les autres sommets [13]. L'anonymat des cagoules est
aussi une façon d'affirmer le refus des leaders et l'égalité des participants
(ce qui n'empêche sans doute pas les phénomènes de " petits chefs "). Derrière
leurs cagoules, ces jeunes garçons et filles (à Gênes la majorité avait entre
18 et 25 ans) se connaissent et se reconnaissent. Ils partagent souvent, sur
une base plus large que simplement militante, les mêmes communautés de vie :
fac, squats, centres sociaux, concerts… Il est possible d'infiltrer de tels
groupes mais il est beaucoup plus difficile d'en commander les agissements.

On aurait tort de croire que l'action des participants aux Black blocs se
limite à contester le monopole de la violence par la police. Ceux-ci sont
généralement très impliqués dans toutes sortes d'activités liées à la mouvance
libertaire (à l'inverse tous les anarchistes ne sont pas partisans des Blacks
blocs). Les textes circulant sur le net [14] accordent une large place aux
débats idéologiques, mettent en cause les différentes facettes des rapports de
domination, qu'il s'agisse des classes sociales, des rapports entre les sexes
et de la sexualité, des couleurs de peau ou des catégories d'âge, de l'écologie
ou du sort réservé par la société industrielle aux animaux. Selon une
participante américaine, " Beaucoup de ceux qui se sont retrouvés avec les
black bloc travaillent dans le secteur associatif. Certains sont enseignants ou
étudiants. Ceux qui n'ont pas d'emploi à temps plein consacrent leurs loisirs à
travailler pour changer la vie dans leur quartier, s'investissent dans des
projets de jardins urbains ou de bibliothèques, ou encore cuisinent pour des
associations comme Food not bombs. " [15]. Les thématiques varient selon les
continents et les pays : aux Etats-Unis, elles sont très marquées par la
technophobie et l'écologie [16]. En Europe, la question des sans-papiers et de
la libre circulation est récurrente. A Gênes, l'une des rares banderoles du
black bloc proclamait " No borders, no nations ", slogan mis en pratique
quelques jours plus tard par les participants au " camp de frontière "
anti-raciste de Francfort sur le Main, en Allemagne. Dans un communiqué,
ceux-ci affirment : " plusieurs d'entre nous ont été, un jour ou l'autre,
partie prenante du "black bloc" (…) La globalisation est l'expression d'un
capitalisme qui se fait toujours plus dominateur. Il ne peut pas être amélioré
ou domestiqué par un Etat national mais doit être aboli (…) Nous tenons pour
fausse une critique du capitalisme qui se limite aux marchés financiers
internationaux - et aussi pour dangereuse car elle a servi plus d'une fois le
ressentiment antisémite " [17].

On a dit que la police avait laissé faire les Black blocs, afin de discréditer
les manifestants auprès de la population génoise et de l'opinion et de
justifier la répression. Une fois de plus, rien ne fonde cette accusation, mais
si c'est le cas, la manœuvre a échoué puisque c'est la police qui, aux yeux du
monde entier, s'est retrouvée au banc des accusés. Mais cette liberté relative
de mouvement peut aussi s'expliquer par l'intelligence tactique dont ont su
faire preuve les Blacks blocs, qui privilégient des méthodes de guérilla
urbaine plutôt que la logique de l'affrontement militaire. Ils avaient ainsi
refusé de concentrer leurs attaques sur la zone rouge, considérée comme un
piège. Les unités anti-émeutes sont habituellement confrontées à des foules
statiques, au comportement monolithique et assez prévisible.

Comme on l'a vu le samedi à Gênes avec le cortège pacifique, il est facile de
semer la panique dans une telle foule en lançant des gaz (d'autant que les
manifestants n'avaient même pas de gants pour renvoyer les grenades). La
lourdeur de l'équipement policier, la lenteur des prises de décision
centralisées, la nécessité de garder l'ensemble du périmètre de la zone rouge,
la topographie accidentée de la ville de Gênes, tout cela s'opposait au
fonctionnement très souple des Blacks blocs, qui leur permettait de s'adapter
rapidement aux circonstances afin de dérouter et de surprendre l'adversaire.
Cette tactique est conforme à leur idéal politique : développer l'autonomie des
individus et mobiliser leur capacité d'initiative, à l'exact opposé des foules
passives qui délèguent leur sécurité à un service d'ordre. Il ne faut pas
toutefois exagérer l'impunité des porteurs de cagoule noire : beaucoup ont
chèrement payé leur participation aux affrontements. L'un d'eux avait 23 ans et
s'appelait Carlo Guiliani.

Peu de groupes auront suscité autant d'hostilité que les Blacks blocs. On a vu
des leaders demander leur arrestation ou même certains manifestants "
pacifiques " tenter de les livrer à la police [18]. Si cette hostilité résulte
parfois d'une incompréhension entre les différentes franges d'un même
mouvement, elle témoigne aussi peut-être de l'existence de deux mouvements
anti-mondialisation : l'un se battant pour un contrôle citoyen du capitalisme,
désireux d'étendre le paritarisme aux relations sociales internationales et à
l'écologie mondiale, rêve d'une social-démocratie universelle ; l'autre
cherchant à combattre dans le nouvel ordre néo-libéral l'ordre capitaliste
lui-même, réactualisation de l'ancien projet révolutionnaire : l'utopie d'un
monde qui ne serait pas une marchandise.

Septembre 2001
Piqué à INFOZone http://infos.samizdat.net
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Notes

[1] Susan Georges in le Monde diplomatique, août 2001. Voir aussi le
communiqué d'Attac France du 27/07 : " Une "Internationale noire" des
"services" semble bien s'être mise en place contre les opposants à la
mondialisation libérale. "

[2] " La TAZ est comme une insurrection sans engagement direct contre l'Etat,
une opération de guérilla qui libère une zone (de terrain, de temps,
d'imagination) puis se dissout, avant que l'Etat ne l'écrase, pour se reformer
ailleurs dans le temps ou l'espace " (Hakim Bey, TAZ, Zone autonome temporaire.
Editions de l'Eclat, 2000 ou Autonomedia.

[3] " black bloc, au singulier ou au pluriel, mais de quoi s'agit-il ? " texte
signé Darkveggy, publié sur A-Infos. Pour marquer leur refus de la domination
du masculin dans la langue française, la plupart des textes de cette mouvance
accolent systématiquement la forme féminine à la forme masculine. Une version
web est disponible sur samizdat.

[4] " Communiqué de l'une des sections du black bloc à propos des événements
du 30 novembre 1999 à Seattle " signé du collectif ACME, publié in l'Oiseau
tempête, hiver 1999-2000. Le texte intégral est disponible en anglais et en
français sur le web.

[5] Darkveggy, op. cit.

[6] Le " smash capitalism " des Black blocs a quelque chose de naïf, en
particulier l'idée selon laquelle le bris de vitrines permettrait de s'attaquer
au " porte-monnaie des oppresseurs " (Darkveggy op. cit), comme si l'économie
capitaliste ne se nourrissait pas également de ses ruines (il suffisait pour
s'en convaincre de regarder l'armée de vitriers qui s'est déployée dans Gênes
au lendemain des affrontements).

[7] " Témoignage anonyme d'un anarchiste sur les événements du vendredi 20
juillet 2001 à Gênes ", signé tulo...@yahoo.fr.

[8] " Compte-rendu de l'action du black bloc du vendredi 20 juillet ", signé
Alien8, sur T(N)E.

[9] Les centres sociaux, issus du mouvement autonome des années 70, existent
dans de nombreuses villes italiennes. Certains refusent toute négociation avec
les autorités, d'autres ont obtenu leur légalisation.

[10] " Combinaisons blanches ", ainsi appelées pour désigner les " invisibles
" de la société italienne, mouvement né de l'autonomie regroupant les centres
sociaux signataires de la " Charte de Milan " constatant la " défaite " de la
révolution des années 70. Le cortège des Tute Bianche à Gênes rassemblait plus
de 15000 personnes et appelait à entrer dans la zone rouge par des moyens
uniquement défensifs.

[11] Coordination nationale des Cobas, proche de " l'autonomie de classe "
romaine.

[12] Darkveggy, op. cit.

[13] Le site de la police de Seattle présente ainsi des dizaines de photos de
manifestants accompagnés d'une incitation à la " citoyenneté ", c'est-à-dire à
reconnaître et dénoncer les personnes photographiées .

[14] Quelques sites : A-Infos, Indymedia, Anti-citoyenisme, T(N)E, HNS,
Infoshop.

[15] " Lettre de l'intérieur du black bloc " par Mary Black, 25/07. sur T(N)E
(recueil de textes sur Gênes à paraître).

[16] " Il y a beaucoup d'anarchistes qui n'ont absolument rien contre la
technologie. Ils se contentent de vouloir un monde où la technologie serait
utile et non nocive. Notre point de vue est qu'il y a là une énorme illusion,
et que le problème de l'appauvrissement de la vie des individus comme celui de
la société ne sera pas résolu par la technologie. Cela tient aux fondements du
caractère si chroniquement néfaste de la structure de notre société. " John
Zerzan, entretien accordé au New York Times, in Futur primitif,
L'Insomniaque,1998 (voir aussi Aux sources de l'aliénation, du même auteur chez
le même éditeur, 1999).

[17] " Lettre ouverte au "mouvement contre la globalisation" du 4ème "camp de
frontière" antiraciste à Francfort sur le Main, Allemagne ", sur T(N)E.

[18] " La coordination des organisations participantes doit à l'avenir
préparer encore plus les manifestants à immobiliser et à livrer à la police
tout "hooligan" indésirable. Même si un "hooligan" venait à être tué, ce ne
serait qu'une très petite perte à côté des 20 000 enfants disparaissant
quotidiennement sous le règne des multinationales. " Ole Fjord Larsen (membre
de United Peoples) dans Future Planning after Seattle, 12/12/99, cité in
Darkveggy, op. cit.

No © 2001 fred Goldbronn. Cet article devait paraître dans le Monde
Diplomatique. il a été
repoussé en raison de l'actualité américaine.

****** Agence de Presse A-Infos ******
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