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Réflexions autour du 1er mai 2007 et des courants politiques qui l’ont animé

gnomecommuniste, Mercredi, Mai 2, 2007 - 11:11

un gnome communiste

En hommage à nos camarades
qui ont occupé la FTQ
sauvagement répriméEs
par la police syndicale, les flics officiels
et décriéEs par des réformistes parmi nous

Nous assistons depuis quelque temps à la riposte des courants actuels réformistes de l’anarchisme. La plupart des gens qui tentent à travers l’anarchisme de renouveler les pratiques et les discours de ruptures révolutionnaires se font marginaliser, intimider, taxer de noms aussi peu définis dans le contexte qu’ultra-gauche, postgauche… Comme Hors-d’Oeuvre le souhaite, nous voyons plusieurs tendances mainstream de l’anarchisme défendre les appareils d’intégration capitaliste, les agences de collaboration, que sont les syndicats, les organisations de défense de droits, plusieurs organisations communautaires… Une large partie du mouvement anar se fait ainsi récupérer et tente de plus de faire la loi dans le milieu.

Devant cela, plusieurs personnes sont tentéEs d’adhérer au PCR qui fait beaucoup moins de compromis avec ce réformisme qui a toujours tué le mouvement révolutionnaire, mais qui néanmoins poursuit l’histoire bureaucratisante et tyrannique du Parti : celui qui commande, celui qui dirige…

Ces deux tendances qui sont l’avant-garde du milieu militant radical actuel nous plongent et/ou nous plongeront dans des culs-de-sac.

Si nous voulons réinscrire socialement la perspective active de véritables foyers de luttes de ruptures, potentiellement révolutionnaires, il va falloir rompre avec cette misère ambiante, ne plus marcher dans la parade : cette parade si bien vécue dans la morosité de la manifestation du 1er mai.

Hier, l’action en rupture s’était la manif-action de 12h12. Même si elle n’a pas été une réussite absolue, elle aura réussi à faire en sorte que les gens se positionnent. Nous savons un peu plus maintenant qui actuellement est déterminéE, qui porte la rupture au présent.

Site d'un gnome communiste


Sujet: 
Un commentaire trouvé ailleurs
Auteur-e: 
Nicolas R.
Date: 
Jeu, 2007-05-03 12:54

J'ai trouvé ce commentaire sur anarkhia.org

Même si je suis pas d'accord à 100% avec tout ce qui est dit, je pense que les questions sont intéressantes et méritent d'être répondues.


"J'aimerais poser une question à un homme de votre érudition.

Si, comme vous semblez l'avancer, le syndicalisme bureaucratique et le réformisme ont un effet stabilisateur sur le capitalisme, comment expliquez-vous le fait que partout dans le monde les syndicats et les partis social-démocrates sont sous attaque?

Par exemple, pourquoi est-ce que Walmart s'opposent si farouchement aux tentatives de syndicalisation? Est-ce que Walmart refuse ce collaborateur qu'est, selon vous, la bureaucratie syndicale?

Pourquoi aussi est-ce que l'ADQ, le parti conservateur, le parti républicain américain, l'UMP dominent la scène politique? Si la gauche réformiste a réellement un effet stabilisateur pour le capitalisme, comment se fait-il qu'elle disparaiss e partout?

Bref de façon générale, si le syndicalisme, le réformisme et les bourgeois sont une seule et même force exploitant les travailleurs, pourquoi est-ce que les bourgeois s'attaquent présentement aux réformistes et aux syndicats?"


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Et sûrement
Auteur-e: 
Nicolas R.
Date: 
Jeu, 2007-05-03 13:09

Et sûrement que les milices patronales mexicaines n'étaient pas contentes de la collaboration de ce "bureaucrate" en question. Quand on confronte une théorie à la réalité...
Donc, pourquoi est-ce que le patronat torture et assassine des organisateurs syndicaux si, comme tu l'avances, ils sont tellement copains/copains dans l'exploitation des travailleurs-euses?


"Au Mexique, Santiago Rafael Cruz, un permanent syndical âgé de 29 ans représentant les ouvriers agricoles au sein du FLOC (affilié à l’AFL-CIO) a été torturé avant d’être assassiné dans les locaux de son syndicat où il exerçait les fonctions de permanent. Après avoir arraché un accord aux Etats-Unis permettant à son syndicat de représenter les intérêts collectifs des membres de son organisation en Caroline du Nord, Santiago s’est rétabli au Mexique pour aider les ouvriers agricoles à défendre leurs droits. Sa présence dérangeait les employeurs qui craignaient la croissance du syndicalisme parmi leurs ouvriers et qui se félicitaient des dénoncations calomnieuses dans les médias, les menaces de déportation, des cambriolages et le crime."

source : cmaq.net


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Sujet: 
Réponse autour des syndicats
Auteur-e: 
gnomecommuniste
Date: 
Jeu, 2007-05-03 15:52

''Car la majorité des chefs syndical ne sont pas dans la rue, mais bien assis dans leurs bureau. Le pouvoir a toujours et fera encore des compromis avec la hiérarchie syndicale, malheureusement pour le système ce ne sont pas tous les syndiqué qui obéissent aux chefs syndicaux et ils ont une conscience sociale ou individuel si ils ne sont que des opportunistes qui perde leurs avantages. Et c'est surement la raison pourquoi divergeant le pays et la condition économique les syndicats sont plus ou moins radical face a l'économie capitaliste.

Il ne faut pas tout autant croire que parce qu'il existe une critique du mouvement syndical qu'il n'a aucune utilité pour les travailleurs qui cherche une augmentation de salaire et de meilleurs condition de travail. La critique ce veut dans un contexte pour arrivé a la révolution sociale.'' - AnarchOI

Comme le répondait mon camarade, l'ardeur syndicale dépend du contexte parfois. Mais le syndicalisme défend les intérêts des travailleuses/travailleurs quand il les défend vraiment en tant que travailleurs/travailleuses autrement dit il ne sort jamais du contexte d'exploitation, il ne fait que gérer les conditions de l'exploitation. Il peut toujours favoriser un coup d'État contre une dictature ou un changement de gouvernement mais rarement guère plus.

Mais le syndicalisme dans un cadre de pseudo-démocratie capitaliste répond tout le temps à l'intégration des intérêts du prolétariat en tant que classe demeurant dans l'exploitation, comme classe exploitée. Les prolétariséEs doivent pouvoir rompre justement avec leur statut de prolétaires pour envisager mettre fin à leur exploitation. L'exploitation fait partie de la condition de la classe en tant que classe. Et la défense des intérêts réels capitalisés de classe correspond déjà à un syndicalisme plus proche de la condition prolétarienne qu'un syndicat qui est devenu une centrale qui gère les conditions de l'exploitation prétendant le faire au nom des secteurs de travail, atomisant la classe, en protégeant certains intérêts et engraissant ces coffres comme entreprise syndicale.

Sinon, tu peux toujours réécouter l'émission du Magazine Centre-Ville du mardi, les propos des invitéEs étaient assez éclairants.

Il y a aussi la magnifique brochure de Réal Jodoin Du syndicalisme critique à la critique du syndicalisme ainsi que le fameux co-ouvrage de Benjamin Péret et G. Munis, Les syndicats contre la révolution.


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Je comprends pas
Auteur-e: 
Rodger Rodgerson
Date: 
Jeu, 2007-05-03 20:51

Tu dis que le syndicalisme défend les intérêts des travailleurs en tant que travailleurs... et tu lui reproches. Je vois pas vraiment en quoi cela peut être répréhensible, ce serait un peu comme reprocher à quelqu'un de respirer uniquement pour respirer. Il me semble que comme la respiration est un préalalble au reste de l'existence pour une personne, la défense des travailleurs au travail est essentielle pour garantir des conditions minimum de vie sans lesquelles toute forme de critique sociale serait impensable.

De toute façon, j'aimerais bien comprendre comment on peut rompre avec son statut de prolétaire tout en étant forcé de travailler pour subvenir à ses besoins. Cela me semble incompatible. Et comme il est donc impossible pour le moment de rompre avec ce même statut, peut-être devrions nous penser à nous réunir pour au moins remettre en question ces conditions de vie.


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Sujet: 
Aussi
Auteur-e: 
gnomecommuniste
Date: 
Jeu, 2007-05-03 16:34

Pour répondre simplement à cette question des camps antagonistes au sein du cadre capitaliste, je vois le pouvoir dans le cadre capitaliste se scinder entre autres en trois : la droite néo-libérale (très patronale) qui veut sabrer dans ce qu'il y a de social dans l'État, qui attaque les protections sociales, les syndicats... (elle fait un jeu dangereux socialement car elle accentue les clivages antagonistes mais ça peut être utile au mouvement révolutionnaire car les vifs antagonismes sont essentiels aux révolutions), les forces du centre-gauche et de la gauche composées entre autres d'éléments de la petite-bourgeoisie (de fonctionnaires, de profs, d'organisateurs/organisatrices communautaires...) et de l'aristocratie ouvrière (les délégués syndicaux, les employéEs les mieux rénuméréEs...) plutôt réformistes même parfois conservateurs (au sens qu'ils/elles veulent en rester à la sociale-démocratie très intégrée au régime autrefois moins aujourd'hui) et les révolutionnaires. C'est entre ces trois camps que les principaux combats se jouent.


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Sujet: 
Un peu de rigueur s.v.p.
Auteur-e: 
Eric Smith
Date: 
Jeu, 2007-05-03 19:39

Je suis loin d'être convaincu que l'occupation du bureau d'Henri Massé était LA chose à faire en ce 1er mai. Mais il me semble évident que ce type n'a eu que ce qu'il mérite.

Il est parfaitement inexact d'écrire que "les bourgeois s'attaquent présentement aux réformistes et aux syndicats". Les faits de la vie démontrent le contraire.

On trouvera certes des cas, plus ou moins fréquents (cela n'est pas la question), où DES bourgeois attaquents DES syndicats. Ça dépend justement des bourgeois et des syndicats dont il est question!

Règle générale, dans les grands pays capitalistes, les grands syndicats sont totalement intégrés à l'appareil d'État: organiquement, financièrement, politiquement et idéologiquement.

Ça ne veut pas dire que tous les syndicats, à tous les niveaux, font partie du camp ennemi. Ni qu'il faille nécessairement occuper tous leurs bureaux...

Sauf que quand on voit des dirigeants syndicaux comme les vendus du syndicat de la production de Goodyear à Valleyfield qui ont refusé de lutter en front commun avec les ouvriers-ouvrières des autres usines de Valleyfield en Amérique du Nord qui ont fait grève l'automne dernier et qui ont même encouragé la compagnie à transférer la production scab des usines en grève à Valleyfield -- cela, avec l'appui du même Henri Massé, alors on se dit: "On a raison de se révolter contre les réactionnaires!"

Il s'agit là d'un point de départ, d'un préalable, il me semble, avant toute discussion sur la pertinence de telle ou telle action.

Pour une analyse matérialiste du mouvement ouvrier canadien, je suggère la lecture de cet ancien texte du groupe Action socialiste, qui demeure pertinent: http://www.pcr-rcp.ca/pdf/as/perspectives.pdf


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Sujet: 
La FTQ occupée
Auteur-e: 
Rodger Rodgerson
Date: 
Jeu, 2007-05-03 20:37

Drôle de réflexion. On occupe la FTQ, mais on oublie du coup qu'on a peut-être des ennemis plus importants. Il me semble que récemment, des connards comme Lucien Bouchard nous sermonnent parce qu'on travaille pas assez...

Pourtant, c'est loin d'être la réalité, le temps passé au travail ne cesse d'augmenter, pis les salaires font le contraire. On devrait peut-ètre dénoncer le centre du problème plutôt que certains de ses à côtés les moins important.

Surtout qu'il n'est pas très certain que les membres de la FTQ vont très bien comprendre ce que ces personnes qui ont si gaiement envahi leur syndicat peuvent bien avoir contre eux...

Tant qu'à y être, parlons un peu de ces fameux syndicats... Parce que selon ce que je vois, plus le taux de syndicalisation diminue, plus les conditions de travail sont mauvaises et plus les journées de travail s'allongent. Je comprend que la FTQ n'est pas parfaite, et certainement, dans un monde idéal, je n'en voudrait pas. Mais en attendant mieux, je la préfère toujours à rien du tout, surtout si cela peut me permettre de dire non à des heures supplémentaires et me donner du temps pour m'impliquer à changer le monde (ce que je ne peux pas faire présentement, parce que je ne suis pas syndiqué).

Quant à la question du réformisme, je ne pense pas vraiment, de ce que je sais des programmes politiques des différents groupes en cause (PCR et Hors d'Oeuvre), qu'ils prônent le réformisme. Peut-être existe-t-il certains éléments du mouvement anarchistes qui sont réformistes sans l'admettre, mais de là à extrapoler sur une partie importante du mouvement... d'autant plus que je ne connais aucune organisation ou aucun groupe anarchiste qui fait présentement l'apologie du réformisme. Je ne vois pas vraiment où la personne qui écrit le texte prend ses informations.

Enfin, peut-être dû à l'origine du 1er Mai, il est normal que les anarchistes ouverts au syndicalisme participent à cette parade. Encore une fois, ce n'est pas parfait, mais ça vaut mieux que rien.


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Sujet: 
La FTQ vendue
Auteur-e: 
gnomecommuniste
Date: 
Mer, 2007-05-09 13:39

Les anarchistes ouverts à la collaboration syndicale devraient se poser la question de savoir si ça leur donne encore de quoi de se dire révolutionnaires. D'un point de vue révolutionnaire, nous combattons l'exploitation sous toutes ses formes. Nous ne visons pas son aménagement syndical et autre.

D'ailleurs, de plus en plus de syndiquéES se rendent compte que les syndicats ne servent surtout qu'à les vendre aux entreprises.

Les organisateurs/organisatrices du contingent ''Les précaires en colère'' qui ont décrié l'action à la FTQ s'ils veulent pas rompre avec l'exploitation, est-ce que c'est pour travailler à temps plein, obtenir le droit de se faire exploiter toujours davantage et de manière certaine ou encore et surtout offrir cette possibilité aux autres ?

Le syndicalisme est certes parfois utile dans un cadre capitaliste, mais le problème comme vu auparavant c'est qu'il ne pose pas la rupture révolutionnaire, qu'il ne rompt pas avec le monde de l'exploitation. Et les centrales dans le genre de la FTQ encore moins.

De plus, comme à Valleyfield, ce sont des empêcheurs de luttes réelles qui gouvernent les travailleurs/travailleuses. Ces syndicats s'avèrent totalement inutiles, voire même nuisibles et ce même dans une optique de réelle défense de l'exploitation et de son caractère ''durable'', pourrais-je ironiquement.

Pour le reste, je vous laisse le communiqué que les camarades ont distribué lors de l'action

Communiqué

COMMUNIQUÉ

Montréal, 1er mai 2007
Pour diffusion immédiate

OCCUPATION

À l’occasion du 1er mai, journée internationale des travailleurs et des travailleuses, nous avons décidé, en tant qu’exploitéEs, d’organiser une occupation à l’intérieur du bâtiment de la FTQ. L’exécutif représente, selon nous, la direction d’un mouvement syndical concertationniste qui prend place depuis plus de 20 ans.

L’occupation vise à dénoncer ouvertement les attitudes de ce syndicat, qui s’inscrivent totalement dans le contexte actuel de mondialisation. Ainsi que ses efforts pour étouffer la colère populaire face à l’exploitation qu’elle subit, notamment lors des manifestations avec leurs agents de « Service d’Ordre ».

La FTQ trahit donc l’objectif fondamental de son organisation en maintenant des relations de collaboration avec l’État. Un syndicat le moindrement combatif ne se doit pas de faire valoir les intérêts de la minorité bourgeoise.

Seulement en 2007, nous avons vu la faiblesse syndicale s’écraser devant la fermeture d’usines, imposant des conditions encore plus précaires aux communautés. Le « capitalisme sauvage » (en existe-t-il un autre?) que Massé dénonce lui-même, de façon contradictoire, est encouragé par l’investissement dans ces compagnies au travers du Fonds de Solidarité.

Nous signifions aujourd’hui qu’il en est assez de ce système qui ce construit aucunement en fonction de nos besoins. Il est temps de s’organiser, de lutter véritablement et de faire tomber les instruments de notre exploitation.


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Sujet: 
les douzes salopards...
Auteur-e: 
patc
Date: 
Jeu, 2007-05-10 14:40

euh...

Je ne dis pas que Bouchard n'est pas une espèce de figure de proue de la connerie néolibérale, mais comme contre-révolutionnaire, pourri jusqu'à la moëlle, on fait difficilement mieux que Henri Massé.

Je suis mal à l'aise avec le discours anti-syndical que certains de nos camarades colportent, mais je suis crissement plus solidaire de leur action dans le bureau de Massé que de l'apologie du syndicalisme corpo.

Personnellement, je trouve que cette action est plutôt sympathique et très pertinente.

Pour passer d'une culture syndicale capitaliste à une culture syndicale révolutionnaire, je ne vois pas vraiment d'autres moyens que de s'attaquer aux têtes de l'hydre, soit les boss et les mandarins des centrales. Vous pouvez bien vous débattre pendant des années à essayer de pousser la base syndicale vers une position plus radicale, je ne vois pas en quoi c'est plus efficace que de faire des actions d'éclats pour dénoncer la collaboration, l'immobilisme et l'absence de solidarité sociale des grands syndicats.

À mon avis, les camarades des machines anarcho-syndicalistes se fourvoient en se désolidarisant d'une action comme celle-là (il eût été préférable d'en dénoncer les aspects les plus criticables tout en soutenant la critiques du corporatisme tel qu'incarné par Massé); et Gnome et compagnies se fourvoient en tenant un discours systématiquement antisyndical (sans nuance, jusqu'auboutiste et manifestement anti-solidaire).

On est pas sorti du bois...


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Sujet: 
solidaire, mais solidaire de quoi ?
Auteur-e: 
gnomecommuniste
Date: 
Jeu, 2007-05-10 21:46

solidaire, mais solidaire de quoi ? Je me sens crissement solidaire des gens qui luttent contre l'exploitation, mais pas des bureaucrates et autres qui la gèrent cette exploitation.

Sans nuance parce que pour moi le syndicalisme est problématique dans son fondement et être radical cela veut dire prendre les choses par leurs racines.

Pis si être révolutionnaire, cela veut dire être jusqu'auboutiste et bien effectivement. Aller jusqu'au bout, favoriser les ruptures, ouvrir des brèches...


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Sujet: 
pour faire très simple
Auteur-e: 
Michael Lessard...
Date: 
Sam, 2007-05-12 12:11

Certains syndicats qui n'ont pas fait preuve de solidarité envers les jeunes, les étudiant-es et les sur-exploités (temps partiel avec un salaire minimum!!!), ont poussé ces gens vers la droite, l'CHOI-FM et l'ADQ.

Michaël Lessard [me laisser un message]
Militant pour les droits humains.
Siriel-Média: média libre sur les 'politiques de destruction massive'


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Dossier G20
  Nous vous offrons plusieurs reportages indépendants et témoignages...

Très beau dessin: des oiseaux s'unissent pour couper une cloture de métal, sur fonds bleauté de la ville de Toronto.
Liste des activités lors de ce
« contre-sommet » à Toronto

Vous pouvez aussi visiter ces médias alternatifs anglophones...

Centre des médias Alternatifs Toronto
2010.mediacoop.net


Media Co-op Toronto
http://toronto.mediacoop.ca


Toronto Community Mobilization
www.attacktheroots.net
(en Anglais)

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