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Pour contrer la violence, la nécessité d’une action concertée et cohérente : l’Afeas lance sa 8e édition de l’Opérat

Anonyme, Vendredi, Novembre 26, 2004 - 08:47

Hélène Cornellier, Coordonnatrice du plan d’action et des communications Téléphone : (514) 251-1636

Le lancement de la 8e édition de l'Opération Tendre la Main pour contrer la violence, organisée par l'Afeas, se déroule à l'Hôtel du Parlement.

Québec, le 26 novembre 2004 – C'est à l'hôtel du Parlement que madame Diane Brault, présidente de l’Afeas, lançait ce matin la huitième édition de l’Opération Tendre la main, campagne de sensibilisation contre la violence. Le président de l’Assemblée nationale, monsieur Michel Bissonnet, avait convié les parlementaires et les membres du conseil d’administration provincial de l’Afeas. À cette occasion, agissait, à titre de marraines, la leader parlementaire adjointe du gouvernement et députée de Crémazie, madame Michèle Lamquin-Éthier, la porte-parole de l’opposition officielle en matière de condition féminine et députée de Terrebonne, madame Jocelyne Caron, et la députée de Lotbinière, madame Sylvie Roy.

L’Opération Tendre la main 2004
« Pour la huitième année consécutive, l’Afeas organise une campagne de sensibilisation contre la violence auprès de la population québécoise, l’Opération Tendre la main. La force d'action de cette campagne annuelle repose sur la solidarité de nos 14 000 membres, de nos 350 groupes locaux et de nos 12 régions.» a dit madame Brault. En effet, entre le 21 novembre et le 5 décembre et même au-delà, le Québec se garnit de centaines d'arbres de paix et de quelques milliers de rubans blancs qui expriment «OUI à l’action concertée pour dire NON à la violence». En sept ans, l’Opération Tendre la main a rejoint directement plus de 142 000 Québécoises et Québécois lors de 1108 activités dans différents milieux. Par cette action, l’Afeas veut faire réaliser qu’agir dans des situations de violence permet à des personnes humaines de se sortir de situations inhumaines. En fait, c’est leur tendre la main !

Rappelons-nous !
Le 6 décembre 2004, nous en soulignerons le quinzième (15e) anniversaire de la tuerie de Polytechnique, un triste anniversaire. Durant ces quinze années, le Collectif masculin contre le sexisme a répertorié le décès de 766 femmes et enfants tués par violence, souvent par des proches. En 2004, ce sont 40 femmes et enfants qui furent tués violemment. Dix-neuf des vingt-huit femmes qui sont mortes par violence, ont été tuées par un conjoint, un ex-conjoint ou un membre de leur famille. Du côté des enfants, dix des douze qui sont décédés, sont morts des violences de leur père ou du nouveau partenaire de leur mère.
La violence et ses diverses formes

Quand on entend : «Prends ton trou !», «Vous puez la vieille !» ou «Tu r’verras jamais les enfants !», on comprend qu’il s’agit de violence verbale. Des mots comme «Tu fais jamais rien de bon !» ou «T’es ben chanceuse de m’avoir, y a pas un autre homme qui voudrait de toi !» font partie du vocabulaire de la violence psychologique. La violence économique, quant à elle, existe lorsqu’on empêche une personne de gérer ou d’avoir accès à ses biens, lorsqu’on la vole ou l’oblige à quémander pour ses besoins. La violence sexuelle sert souvent comme une prise de pouvoir sur un enfant, une femme ou une personne âgée. La violence physique, plus visible, agit souvent comme un signal d’alarme pour qui sait la voir.

Des actions concrètes et concertées
Afin de poursuivre son travail de sensibilisation en lien avec l’Opération Tendre la main, les déléguées Afeas réunies lors du 38e congrès provincial annuel, en août dernier, DEMANDENT au ministre de l’Éducation du Québec de décréter la première semaine de décembre «Semaine de promotion pour la non violence et la paix» dans toutes les écoles primaires et secondaires.

De plus, afin d’élargir son travail de sensibilisation et d’éducation contre la violence, l’Afeas participe à la campagne mondiale 2004 – 2006 d’Amnistie internationale. À cet effet, ses membres, en signant la pétition initiée par Amnistie internationale, DEMANDENT au gouvernement du Québec l’instauration d’une campagne nationale de sensibilisation et d’éducation contre la violence faite aux femmes sur une période de dix (10) ans. Déjà, lors de la Marche mondiale des femmes de l’An 2000, l’ensemble des Québécoises avaient déposé cette demande au gouvernement de l’époque. L’afeas demande donc que d’ici 2005, cette campagne devienne réalité car il est déjà trop tard pour de trop nombreuses victimes !

Enfin, bien que des situations de violence se vivent au sein de toutes les couches de la société, il est prouvé que la pauvreté y est intimement liée. Tout en travaillant sur les changements de mentalités et de comportements, l’Afeas DEMANDE au gouvernement du Québec de travailler, de façon cohérente et concertée, pour faire diminuer la pauvreté que vivent de trop nombreuses familles québécoises. Comme le montre les dernières analyses canadiennes, la pauvreté chez les enfants a augmenté cette année. Ces enfants vivent dans des familles dont les parents ne peuvent subvenir aux besoins de leurs enfants faute de revenus suffisants. Il faut y voir avant de déplorer des situations de violence, souvent causées par le désespoir.

À propos de l’Afeas
L'Afeas a pour but de regrouper en association des Québécoises intéressées à la promotion des femmes et à l'amélioration de la société. Par l'éducation, elle vise à provoquer une réflexion individuelle et collective sur les droits et les responsabilités des femmes. L'Afeas incite ses membres à réaliser des actions concrètes dans leur milieu en vue d'un changement social. Elle défend également les intérêts de ses membres auprès des instances décisionnelles. (www.afeas.qc.ca)
Pour en savoir plus sur l’OTM : http://www.afeas.qc.ca/tendre/index.htm
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Source :
Hélène Cornellier, Coordonnatrice du plan d’action et des communications
Téléphone : (514) 251-1636 -cor...@afeas.qc.ca -- www.afeas.qc.ca

Site de l'Afeas


Sujet: 
Madame, Je salue votre c
Auteur-e: 
RiouxYves/Bleuler
Date: 
Lun, 2004-11-29 09:41

Madame,

Je salue votre campagne contre la violence sous toutes ses formes. Je déplore cependant que vous repreniez à votre compte les "statistiques" du collectif masculin contre le sexisme. Ces prétendues statistiques déforment sensiblement la réalité et nous détournent des véritables causes de la violence et de moyens de lutter contre elle.

Si vous allez sur le site du collectif (http://www.antipatriarcat.org/cmcs/html/2004.html) lire chacune des circonstances entourant la mort des victimes mises dans le calcul, vous remarquerez que la plupart des cas ne relèvent pas de violence conjugale proprement dite. Si vous ignorez les cas d'accidents et les morts inexpliquées, que comptabilise également le collectif, et ne considérez que les meurtres véritables, vous remarquerez que la plupart sont le fait de personnes souffrant de graves maladies mentales. Je crois que la maladie mentale est une des clefs du problème. C'est malheureusement le facteur le plus négligé. Mener une lutte à la violence devrait nous contraindre à identifier cette cible et à revendiquer que de meilleures campagnes de prévention et de meilleur moyens d'interventions en santé mentale soient mises en place.

La violence domestique existe certainement et mérite aussi d'être l'objet condamné dans une campagne publique. Cependant, il est fâcheux qu'au nom de cette juste lutte n'importe quel argument fallacieux soit évoqué. L'AFEAS nous avait habitué plus de sérieux.


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Sujet: 
Et la violence des femmes?
Auteur-e: 
Casanova
Date: 
Lun, 2004-11-29 14:34

Ce texte pue la propagande féministe à plein nez. En plus, l'AFEAS se sert des statistiques Dufresne ce qui démolit complètement sa crédibilité sachant que les statistiques Dufresne sont hautement exagéré. Ce qui m'expère le plus, c'est que ce texte ne dit rien sur la violence des femmes mais juste des méchants hommes évidemment. Pas un mot sur la violence psychologique des femmes, dont elles sont les championnes selon plusieurs études, sur leur conjoint ou enfants. Pas un mot sur tout les enfants qui sont tué ou maltraité par leur mere. Vraiment, l'AFEAS est infesté par l'idéologie du féminisme radicale qui dit que les hommes sont des bourreaux et les femmes des victimes. Plus personne n'accorde de la crédibilité aux discours fémisexistes depuis longtemps, l'AFEAS ne devra pas être surpris lorsque sa campagne de sensibilisation va passer encore une fois dans le beurre.


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Sujet: 
Journée de la RÉCONCILIATION 2004: 9 décembre
Auteur-e: 
Jésus
Date: 
Mar, 2004-11-30 19:13

9 décembre 2004:

JOURNÉE INTERNATIONALE (et tout le mois de décembre) de la RÉCONCILIATION Entre les HOMMES et les FEMMES

Par cette journée les égalitaristes voulons mettre fin à la guerre entre les HOMMES et les FEMMES. Nous voulons mettre fin à la culpabilisation mutuelle.

Pourquoi avoir choisi cette date?
Car le chiffre 9 représente le chiffre 6 à l’envers. Nous voulons signifier par là notre désir d’être l’envers de la médaille. Nous voulons que cesse la culpabilisation de TOUS les hommes pour le crime d’un détraqué qui ne représente en AUCUN cas tous les hommes.
Nous voulons souligner notre indignation profonde envers le geste posé par cet être profondément malade et DÉTRAQUÉ.
Nous voulons aller de l’avant en marquant la journée du 9 décembre par des gestes de rapprochement entre les hommes et les femmes.
Les égalitaristes ( www.egalitariste.org ), affirmons aimer les membres du sexe opposé. Nous nous engageons à NE PLUS CULPABILISER l’autre sexe pour quoi ce soit.
Nous RECONNAISSONS que chacun des sexes manifeste de l’amour et de la haine et que même si cet amour et cette haine s’exprime et se manifeste de façon différente ils sont équivalents dans leurs conséquences. Nous savons qu’il y a toutes sortes de violences qui ne sont pas socialement reconnues, mais elles sont néanmoins destructrices.
Nous RECONNAISSONS que les relations entre les HOMMES et les FEMMES traversent une zone de turbulence sans précédent. Pour cette raison, nous croyons qu’aucun effort n’est inutile pour RAPPROCHER et RÉCONCILIER les HOMMES et les FEMMES.

Nous croyons que nous approchons du point de non-retour, et qu’il nous faut tous ensemble cesser cette guerre des sexes qui ne peut que nuire à tout le monde. Si un sexe « gagne » sur l’autre, sa « victoire » sera amère et se retournera inévitablement contre lui. NOUS SOMMES INTERDEPENDANTS. Tout geste posé en opposition à l’autre ne peut en aucun cas être considéré comme un PROGRES.

Nous sommes résolus à ne pas tomber dans la facilité des discours victimistes et accusatoires. Nous croyons que chacun des sexes a des FORCES et des faiblesses. Nous voulons cultiver nos différences et revaloriser nos forces respectives.

Nous croyons profondément que le discours actuel; qui place la femme sur un piédestal, ne peut que nuire à celle-ci à long terme car l’homme se sentira inévitablement lésé et luttera CONTRE la femme et non avec elle pour atteindre une véritable égalité. Tout comme anciennement, les femmes se sont senties lésées par toute la place prise par l’homme. Nous voyons le résultat aujourd’hui : UNE LUTTE A FINIR ENTRE LES SEXES !

Nous tenons aussi à nous ASSOCIER au

COLLECTIF DES FEMMES CONTRE LE FÉMINISME HAINEUX

Compte tenu de leur prise de position contre cette tendance du féminisme moderne, elles n’ont pas accès aux ressources financières de l’État. Nous acceptons donc de les héberger sur notre site aussi longtemps qu’elles le voudront.

Nous, le collectif des femmes contre le féminisme haineux, avons le même objectif que les égalitaristes. Nous voulons que cesse la GUERRE entre les HOMMES et les FEMMES. Pour cette raison, nous sommes co-endosseurs de La JOURNÉE INTERNATIONALE de la réconciliation entre les HOMMES et les FEMMES du 9 décembre 2004.

Voici notre message; Nous les femmes contre le féminisme haineux, sommes opposées au discours actuel du féminisme. Ce discours prôné par les féministes haineuses et véhiculé par plusieurs médias, nous enseigne que les hommes sont violents et que la femme est une victime. Oui nous savons TOUTES que les femmes subissent plus de blessures PHYSIQUES que les hommes, mais qu’en est-il de toutes les autres formes de violences. Depuis quand le sexe féminin est-il le sexe de la vertu?

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Voici quelques faits qui remettent tout le discours des féministes haineuses en perspective:

Les Enlèvements d’enfants:
Enlèvements parentaux internationaux Canada Québec, 2 fois plus de femmes mères, que de pères, ''kidnappent'' leurs enfants. Convention de la Haye sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants Statistiques pour le Québec déplacement illicite ou non retour illicite du 1 janvier 1992 au 10 mai 1999 . Département de la justice D.G.A.J.
Source : Convention de la Haye. Du 1 janvier 1992 au 10 mai 1999. Département de la justice D.G.A.J.
Lien pertinent

Le harcèlement juridique et les fausses accusations:
Au Québec, Canada : 42,85% des signalements d'abus sexuel faits au D.P.J. sont non fondés après enquête. Page 47, figure 3.11. Étude sur l'incidence et les caractéristiques des situations d'abus, de négligence, d'abandon et de trouble de comportement sérieux signalées à la Direction de la protection de jeunesse au Québec. Rapport final, juin 2002. Isbn: 2-922-914-01-1;
Extrait :Toutes catégories confondues, les deux principales sources d'accusation sont: le milieu scolaire 38% (plus de 80% de personnel féminin, dont plus de la moitié des accusations étaient non fondée, soit 20% sur 38%) et les mères 29% (dont plus de la moitié était non fondée, soit 16% sur 29%) (page 94)
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En Ontario, Canada. 67,7% d'agressions sexuelles contre les pères sont fausses. 9260 cas d'agression sexuelle paternelle enquêtée ( father: 2 737, other male: 5 202, stepfather: 1 321 ), par le gouvernement: Social Service Child Protect. Ontario Incidence Study of Reported Child abuse and Neglect 1994, isbn 1-55159-036-06. father: 2 737, other male: 5 202, stepfather: 1 321 ), par le gouvernement: Social Service Child Protect. Ontario Incidence Study of Reported Child abuse and Neglect 1994, isbn 1-55159-036-06.
Ce type de violence par les service de protection de l'enfance est pris très au sérieux et traité en priorité. 6275 cas rejetés se sont révélés faux et l'enquête fut arrêtée. Dans la majorité, des cas la mère était la ''délatrice''. Page 67, représentation graphique des agressions sexuelles du tableau 4.4a:


Lien pertinent

Commentaire sur le harcèlement juridique et les fausses accusations;
Le même phénomène des fausses accusations se retrouvent dans les cas de violence conjugale. Trop souvent ces accusations sont portées dans le cadre d’une séparation avec désaccord en ce qui concerne la garde des enfants. Nous savons toutes que ces accusations, même si elles se sont avérées fausses sont dévastatrices pour l’homme.
Les femmes obtiennent la garde exclusive des enfants dans une proportion de 82% la , 5 % le papa et 13% la garde partagée

Dans au moins la moitié de des cas où la mère a la garde exclusive, le papa aurait voulu jouer un rôle plus important.. C’est une violence TYPIQUEMENT FÉMININE qui ne laisse pas de trace physique, ni de trace dans un quelconque rapport ou analyse statistique sur la violence envers les hommes.

On peut affirmer que, quand la garde est partagée, c’est qu’il n’y a pas de conflit et que quand elle est accordée au papa, c’est que la mère est désintéressée ou inapte.

La violence faites aux enfants:
135 573 enquêtes de violence sur les enfants au Canada, dans 60% des cas fondés (corroborés), les mères biologiques étaient les agresseurs ( parmi les 7 catégories les mères sont plus violentes: qu'un étranger, un père (41%), une belle mère, un beau-père, un frère ou une soeur ou autres.). Statistique Canada: Étude canadienne sur l'incidence des signalements de cas de violence et de négligence envers les enfants nu: isbn 0-662-85404-7, année 2000 (résumé). Pages 23 et 24 figure 2-8.

Des 6 types de structure familiale ( deux parents biologiques (85% des cas), un parent biologique et un (e) conjoint(e) de fait ou de droit, un parent biologique et une autre personne, la mère seule (12% des cas), le père seul, autres ):
Les enfants de famille de mère seule sans conjoint, ( toutes proportions gardées) sont majoritairement les plus agressés, dans 38% des cas. Page 33 et 34 figure 3-3.

Source: Statistique Canada nu:isbn 0-662-85404-7Étude Canadienne sur l'incidence des signalements de cas de violence et de négligence envers les enfants, année 2000. (résumé)
Lien pertinent
170 enfants ont été tués par leur mère au Canada, en dix ans, entre 1988 et 1997. Statistique Canada, La violence familiale au Canada , no :85-224-xif au catalogue année 2000. ( I l y est dit: 17 par année en moyenne). Page 47, tableau 5.5.
Les femmes, mères, choisissent de tuer leurs enfants en plus bas âge, lorsqu'ils sont plus vulnérables. Page 48, figure 5.7:


Source ; Statistique Canada nu: 85-224, La violence familiale au canada, année 2000.
Lien pertinent

Violence conjugale:
1 200 000 personnes touchées par cette enquête sur la violence familiale, la plus vaste enquête de stat. Can. (plan quinquennal). 549 000 hommes victimes de violence de leur conjointe et 690 000 femmes victimes. Statistique Canada année 2000, nu 85-224 (2000). Figure 2.1 Page 11

549 000 hommes victimes de violence conjugale au Canada, au cours des cinq dernières années. Page 5. ( Au Québec 145 000 hommes victimes de violence conj. et 167 000 femmes, page 59).
-Les hommes portent 2 à 3 fois moins de plaintes à la police que les femmes pour la violence conjugale dont ils sont victimes ( 37%-15%). Page 5.
-En couple, les hommes signalaient plus souvent que les femmes qu’ils se sont fait gifler ( 57% hommes contre 40% femmes), lancer un objet ( 56% contre 44% ), ou donner des coups de pied, mordre ou frapper ( 51% contre 33% ). 54% des hommes, qui ont été victimes de violence conjugale, étaient les cibles d’en plus d’un incident, et 13% ont déclaré avoir été agressés plus de 10 fois. Page 5.
Les hommes portent moins de plaintes à la police également pour les raisons suivantes:
1-Au début des années 80, des politiques de mise en accusation obligatoire ont été mises en vigueur à l ’échelle du Canada pour accroître le nombre de mises en accusation par la police et de poursuites par la Couronne dans des cas d’agression contre la conjointe. Page 20.
2-En outre, les femmes étaient plus susceptibles de déclarer l’incident à la police pour que l’agresseur soit arrêté et puni (48 % de femmes agressées contre 34 % d’hommes agressés). Page 21.
3-Dans 15 % des affaires, la police n’a pas porté d’accusation à la demande de la victime. Cette situation était plus fréquente lorsqu’il s’agissait de victimes masculines (26 %) que lorsqu’il s’agissait de victimes féminines (14 %). Page 25.
4-Aussi, la police était 3 fois plus susceptible d’exercer son pouvoir discrétionnaire dans le cas des victimes de sexe masculin que dans le cas des victimes de sexe féminin (7 % contre 2 %). Cette tendance, en ce qui a trait au classement « sans mise en accusation » des affaires pour les victimes de sexe féminin et de sexe masculin de violence conjugale, a été plus ou moins constante entre 1995 et 1999. Page 26.
5- Entre 1995 et 1997, le nombre d’affaires conjugales signalées à la police par des femmes a chuté de 7 %, tandis que le nombre d’affaires déclarées par les hommes a augmenté de 10 %. Page 26.
Lien pertinent

Figure 5.3 sur le taux d'homicides entre conjoints(es), au Canada, 433 hommes victimes de meurtre par leur conjointe. nu 85-224 (2000). Pages 43-44.

La violence chez les jeunes:
L'évolution de la violence qui s'actualise précocement chez les jeunes filles...
Au Canada, la violence des filles de 10 et 11 ans a augmenté de 5% et celle des garçons du même âge a diminué de 4%. Page 8. Bien que la violence chez les filles est encore légèrement moindre que celle des garçons, elle peut être très présente en bas âge et se manifester différemment.
Enquête longitudinale nationale sur le enfants et les jeunes (E.L.N.E.J.). 849 garçons et 811 filles de 10 ans, de même que 792 garçons et 772 filles de 11 ans, ont fait l'objet de l'étude par la Direction générale de la recherche appliquée, Développement des ressources humaines Canada. Les filles agressives au Canada, W-98-30F, ISBN: 0-662-83802-5, par: Debra J. Pepler et Farrokh Sedighdeilami, année 1998. Page 17 Tableau 1:

Source; E.L.N.E.J., Direction générale de la recherche appliquée, Canada. Les filles agressives au Canada. Année 1998.
Lien pertinent

Les agressions sexuelles:
L'agression sexuelle est sans aucun doute ''the bullet silver'', l'argumentation fatale des regroupements de femmes: des agresseurs masculins et les victimes féminines .... C'est le point de départ, les fondations du mouvement en force des regroupements de femmes. Avec ces fondations, elles ont évolué vers la dénonciation de la pauvreté des femmes, l'équité salariale .......
Tout en respectant les victimes, car derrière les statistiques il y a des visages et des personnes ..... Aujourd'hui, on va replacer les choses dans leur vraie perspective:



Soure: disponible immédiatement à:
http://www.mensongefeministe.ca/33stat6.html.
et par province à:
http://www.mensongefeministe.ca/33stat4.html, et
http://www.mensongefeministe.ca/33stat5.html
Institut de la statistique du Québec. Également parue dans Le Quotidien du 24 septembre 1998.
Également disponible: Statistique Canada, Centre canadien de la Statistique juridique: Statistique de la criminalité au Canada nu: 85-205, publication annuelle 1999, 7 octobre.
Seulement le niveau III constitue une agression sexuelle comme la population l'entend, soit un viol. Le niveau I, qui constitue 96,1 % de toutes les agressions au Canada, est: une main sur une fesse, sur un sein, sur une cuisse.;
354 cas de viol, chaque année, rapportés à la police et condamnés par la justice, dans une population de plus de 30 000 000 (millions) d'habitants au Canada.
118 cas de viol, chaque année, rapportés à la police et condamnés par la justice, dans une population de plus de 7 000 000 (millions) d'habitants au Québec.
72 cas de viol, chaque année, rapportés à la police et condamnés par la justice, dans une population de plus de 11 000 000 (millions) d'habitants en Ontario.
Certains diront, avec raison, qu'on n'a pas toutes les agressions sexuelles répertoriées au Canada, c'est probablement vrai. Mais un échantillon de faits basé sur une population de plus de 30 millions ( 30,000,000) d'habitants, et des enquêtes de tous nos services de police à travers le Canada.... est, pour le moins que l'on puisse dire, un échantillon non négligeable de la réalité des agressions sexuelles....non?

CONCLUSION:
Par ces statistiques et analyses, nous ne voulons ABSOLUMENT pas occulter la souffrance vécue par les femmes ni diminuer l’impact de la violence masculine sur nos vies. Mais nous voulons remettre les statistiques dans leur contexte et montrer que ces violences sont loin d’être aussi répandues que le prétendent les féministes haineuses. Par leurs généralisations et leurs chiffres gonflés, elles désirent instaurer la PEUR DES HOMMES dans le cœur des FEMMES.
Il faut le crier haut et fort : La très grande majorité des hommes ne sont pas violents et ils sont très peu nombreux à abuser sexuellement les femmes et les jeunes hommes Presque TOUS LES HOMMES sont des êtres profondément aimants. Les monstres qui abusent sexuellement sont l’exception et essayer de blâmer et de culpabiliser TOUS les hommes pour les gestes commis par une très petite minorité d’homme ne peut qu’a la longue, nuire à la cause des femmes. L’exagération va conduire les gens (hommes et femmes) à ne plus croire qui ce soit.
POUR ÊTRE BIEN CLAIR:
Encore une fois, nous voulons en aucun cas MINIMISER les souffrances vécues par les femmes, mais nous voulons simplement mettre en perspective toutes ces violences. Nous ne croyons pas que NOUS, les femmes, détenons le monopole de la souffrance. Nous croyons qu’il y a certaines violences qui sont plus spécifiquement vécues par les femmes, et qu’il y a en d’autres vécues presque exclusivement par les hommes. Finalement, il y a des violences subies qui sont presque également réparties entre les sexes.
Pour toutes ces raisons, nous ne POUVONS ni ne VOULONS être associées à la journée du 6 décembre.
Journée qui nie implicitement toutes les violences féminines.
En tant que femmes qui s’assument pleinement dans nos qualités et nos défauts, nous voulons une fois pour toutes NOUS DISSOCIER COMPLETEMENT du discours et des prises de positions des féministes haineuses qui n’ont pour seul but de séparer les HOMMES des FEMMES et d’attirer les subventions gouvernementales.

Message aux féministes haineuses:
Comment espérer conscientiser les hommes à toutes les violences, les nôtres et surtout les leurs si nous utilisons LA CULPABILISATION ? Comment vous êtes vous senties en lisant les statistiques et analyses concernant les violences féminines? Sur la DÉFENSIVE? Et bien les hommes aussi se sentent sur la défensive par le discours ambiant qui cherche à blâmer TOUS les hommes et qui nie constamment la violence féminine. Vous n’accomplissez rien par vos méthodes actuelles si ce n’est de braquer de plus en plus d’homme contre NOTRE cause. La cause de TOUTES les femmes. Depuis quand faisons nous avancer une cause sociale en accusant l’autre moitié de l’humanité?
IL FAUT UNE FOIS POUR TOUTES reconnaître TOUTES les violences et il faut s’unir pour DÉNONCER toutes ces violences.

Merci au comité multi-disciplinaire sur le mensonge féministe : www.mensongefeministe.ca

Texte écrit par un membre du Mouvement Égalitariste (www.egalitariste.org)


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