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Réaction à l'étude de Roch Chouinard sur la non-mixité.

Casanova, Samedi, Septembre 11, 2004 - 19:46

Alain Thomas

Ceci pour vous faire part de ma surprise quand j'ai pris connaissance de l'étude mentionnée par le journal la Presse et Radio Canada. Vous demandant d'en transmettre copie à votre direction et aux personnes concernées.

Finissant au cégep, j'avais l'intention de déposer une demande à la fac de médecine chez vous, mais je m'absteindrai. Quand je vois un professeur défendre son étude sur la non mixité et qui déclare sans rire qu'il a effectué son étude en suivant 200 filles, je me pose des questions sur la qualité de l'enseignement qui est dispensé à votre institution. Comment, dans une problématique qui concerne les deux genres, un enseignant du "haut savoir" peut-il ignorer les garçons alors qu'on se pose des questions sur leur décrochage ? Partie pris, négligence, incompétence ? Sans rire monsieur Chouinard nous dit que "l'ensemble des études" démontrent qu'il n'y a que peut d'effet sur les garçons, çà lui évitait de les inclure dans son études. Nous n'avons sûrement pas lu le même "ensemble d'études monsieur le professeur". Peut-être veut-il faire concurence aux chaire d'études féministes pour en obtenir les crédits ?

Cela dit, s'il n'y a que si peu d'effet, monsieur le professeur, pourquoi tant d'oppostion ? Pourquoi ne pas laisser le choix aux enfants et aux parents ? Porquoi cette paranoïa ? Dommage que plusieurs universités perdent de la crédibilité avec ce genre "d'études". Que vous ayiez des étudiants ou des étudiantes devant vous qu'est-ce que çà peut bien faire ? La qualité de l'enseignement a beaucoup plus à voir et c'est ce qu'en conclut le dernier rapport de L'ONU sur la question de l'éducation.

En effet, pour être sur les bancs d'école je m'apperçois qu'il est de moins en moins rare de voir des professeurs trop occupés à leur nombril, leur prestige ou leur position de syndiqués et qui se foutent de la réussite de leur élèves. Des cours soporiphiques avec un enseignant qui ne fera aucun effort pour le rendre interressant, pas plus qu'il ne s'intéressera à l'élève qui a des problèmes. Des tonnes de devoirs qui ne sont jamais corrigés, aucun retour en arrière pour vérifier l'assimilation de la matière et des échecs qui vous suivent de façon permanente.

Commencez svp par ces problèmes ensuite vous vous inquiéterez de la mixité et de ces autres pseudos problèmes. Bien sûr, faudrait d'abord un solide et honnête examen de conscience du corps professoral.

En espérant que l'U de M. mettra plus d'énergie ailleurs où il est plus urgent d'agir.

Alain Thomas



Sujet: 
Ridicule
Auteur-e: 
Casanova
Date: 
Lun, 2004-09-13 22:59

Cette étude manque tellement de crédibilité, on dirait quasiment une étude féministe de la chaire claire-bonnenfant. J'suis entièrement d'Accord avec Alain thomas, comment peut-on dire que les classes non-mixte n'ont aucun effet sur les garçons quand l'étude à porter sur les filles? Vraiment ridicule. Indigne d'un chercheur universitaire.

En plus, Roch Chouinard n'est manifestement pas au courant des recherches mondiales et les projets pilotes sur les classes non-mixtes. De NOMBREUSES études et projet pilote(dont au Québec), ont tous démontré que les classes-mixtes améliorent grandement la réussite scolaire des garçons en moyenne. Alors comment peut-t-il affirmer le contraire? Malhonnêteté ou ignorance?


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Sujet: 
Où peut-on la lire?
Auteur-e: 
pentacle
Date: 
Jeu, 2004-09-16 10:49

Casanova, peux-tu me dire où tu as lu l'étude, je ne parle pas des articles de journaux, ça ne suffit pas. J'aimerais bien la lire aussi. Peux-tu me donner une référence? Merci d'avance.


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Sujet: 
Un résumé de l'étude....
Auteur-e: 
Jésus
Date: 
Jeu, 2004-09-16 11:56

ICI

et une analyse NON-OBJECTIVE de cette étude: ICI

Pour communiquer avec M. Roch Chouinard:
Chouinard, Roch Professeur agrégé
roch...@umontreal.ca

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Un autre son de cloche sur la non-mixité: ICI

Jésus


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Sujet: 
Judicieux exemple
Auteur-e: 
pistache
Date: 
Sam, 2004-09-18 16:17

en plein dans le mille Jésus!


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Sujet: 
Gracias Pistache
Auteur-e: 
Jésus
Date: 
Sam, 2004-09-18 20:39

Mais où est Pentacle?

Trop occupé à se chicaner avec Jésus(moi) sur l'autre sujet? ;-)

Pour moi il(elle) aime mieux se chicaner que de discuter dans le respect...

Jésus,
Toujours prêt à pardonner


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Sujet: 
Merci.
Auteur-e: 
pentacle
Date: 
Dim, 2004-09-19 20:01

Merci de ces références. Les articles sont intéressants mais j'ai pas une idée définitive sur la mixité et la non-mixité. D'après moi, dans certains cas, la non-mixité est mieux et dans d'autres pas. Y a pas une sauce qui convient à tout le monde, même chose dans l'éducation. C'est bien que des recherches soient différentes ça nous aide à nous faire une idée. J'aimerais bien lire les recherches elles-mêmes au lieu des écrits de journalistes là-dessus et je vais demander à l'université si on peut les avoir quelque part.


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Sujet: 
Manque de sérieux
Auteur-e: 
pistache
Date: 
Sam, 2004-09-18 16:15

As-tu observé qu'immédiatement après qu'il eût parlé de son
"étude", 2commentaires successifs, le premier provenant d'une étudiante qui dit que la présence des gars l'intimident,et l'autre
d'une enseignante constatant que les filles dans une classe apprennent mieux. Je soupçonne que cet enchaînenemt soit volontaire
pour mieux relever le manque de sérieux de cette étude.

Il a oublié de mentionner que 3 écoles ayant fait l'essai l'an passé
de la non-mixité avaient enregistré du succès.

Par ailleurs, a-t-on besoin de tant d'études aussi chauvinistes?
Simplement à aller voir sur le terrain et de parler avec des jeunes
et les enseignants. J'ai un fils de 15 ans, je suis présent à l'école. Et nier cette évidence qu'un gars, c'est un gars et qu'une fille, c'est une fille, c'est que manifestement des intérêts autres
s'y cachent. Et on s'en doute....


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Sujet: 
Une p'tite vite de Monsieur Thomas...
Auteur-e: 
martin dufresne
Date: 
Dim, 2004-09-19 01:25

Alain Thomas, un des "chroniqueurs" du site ultra-misogyne L'Après-Rupture, "finissant au cegep" envisageant de faire sa médecine? J'en doute fort. Il y a sans doute là une p'tite vite pour intimider son interlocuteur...

En tout cas, il tente clairement de tromper l'auditoire - comme un autre commentateur ci-dessous.

Lire ce qu'écrit effectivement Chouinard qui, s'il a, dans sa propre recherche, comparé le rendement des filles avec ou sans gars dans le paysage, a aussi lu et intégré à son analyse ce qui s'est fait comme études de la motivation des gars en milieux mixtes et non mixtes. Chaque chercheur n'a pas à faire toutes les recherches...

Mais tenter d'entuber les lecteurs pressés est tellement plus simple, hein, les 'boys'...?;-) Pathétique... Heureusement qu'il y a du monde comme Chouinard et d'autres chercheurs-es pour protéger les garçons de vos politiques intégristes!

(Extrait de l'article de FORUM)
"Mais qu'en est-il des garçons? L'ensemble des études montre que la non-mixité a encore moins d'effet sur eux, affirme le chercheur. À son avis, l'idée de concevoir des écoles «pour les gars» est une idée simpliste. «Ce ne sont pas tous les garçons qui aiment le hockey ou les jeux de guerre, souligne-t-il. De tels projets ne sont pas fondés sur les goûts des enfants mais sur les stéréotypes. Les prétendus problèmes de motivation des garçons ne sont pas nouveaux. Ceux-ci ont toujours été moins intéressés par l'école et plus agités. La non-mixité ne règlerait pas ce problème.»

Le professeur est également critique à l'égard des expériences de classes non mixtes dans des écoles mixtes. «On oublie que les classes d'élèves en difficulté sont presque uniquement des classes de garçons», rappelle-t-il. Même si certaines expériences de non-mixité ont été évaluées avec satisfaction par les milieux concernés, Roch Chouinard estime qu'il est difficile de déterminer qu'elle est, dans l'ensemble des facteurs en cause, la variable déterminante. «La réussite du projet peut être due à la motivation de l'enseignant ou aux ressources qu'on a accordées au projet.»

Même si les deux contextes scolaires sont en définitive équivalents, le professeur n'en cache pas moins sa préférence pour la mixité. «Il n'y a pas d'avantage pédagogique à la mixité, mais on peut lui trouver un avantage économique. On ne pourrait pas assurer l'accès à l'instruction pour tous s'il fallait des classes ou des écoles non mixtes, affirme-t-il. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'on a fait le choix de la mixité. S'il avait fallu construire des polyvalentes pour filles et d'autres pour garçons, ça nous aurait coûté le double.»

Il n'y a donc pas lieu, à son avis, de remettre la mixité scolaire en question. Plutôt que d'investir de l'énergie et des ressources de ce côté, Roch Chouinard estime qu'il serait plus profitable d'accorder au système scolaire un financement plus équitable et d'offrir les services nécessaires aux écoles des milieux défavorisés."
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Sujet: 
Prise 2
Auteur-e: 
Jésus
Date: 
Dim, 2004-09-19 20:08

3 extraits POUR les classes non-mixtes:

1) (...) "La dizaine d'expériences-pilotes de classes non mixtes, où les résultats scolaires des garçons rejoignent ou dépassent la moyenne des filles, prouve tout simplement que les garçons apprennent mieux lorsque certaines conditions sont réunies. Oh ! Surprise. Les garçons de classes non mixtes réussissent autant, peu importe que l'enseignant soit un homme ou une femme (du moins à ma connaissance). L'insuccès des garçons ou le succès des filles ne tient pas au sexe du titulaire, mais plutôt à la méthodologie de l'enseignement. Oui, les gars ont besoin de dépenser leur surplus d'énergie dans des sports " virils " pour être réceptif à l'apprentissage intellectuel. Qu'y a-t-il de mal à ça ? Arrêtez de " paranoïer " et de croire que l'on veut prendre vos jobs et avoir votre peau ! Pourquoi voudrions-nous vous enlever ce que vous faites avec tellement d'expertise ? Mais oui, je crois que nos garçons et nos filles auraient avantage, dès leur plus jeune âge, à avoir des professeurs (des parents) des deux sexes pour leur meilleur équilibre mental, émotif, intellectuel et relationnel." (...)

Lien

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2) (...) "À l'école secondaire de Saint-Paul, à Saint-Paul-de-Montminy, étudiants de tous horizons sont bienvenus. Or depuis deux ans, garçons et filles qui sont admis en première secondaire font classe à part. Cette mesure a été instaurée pour tenter d'améliorer la performance des élèves masculins, sans nuire à celle des filles. Et selon le directeur Jérôme L'Heureux, qui a supervisé l'avènement de cette formule jusqu'à son départ pour une autre institution, cet automne, les résultats ont été plus que probants.

« Avant que l'on "démixe", nos garçons réussissaient moins bien en français, en arts, en enseignement religieux et en anglais. À la suite de cette expérience-là, ils ont mieux performé en anglais que les filles. Dans les autres matières, l'écart s'est amoindri, mais nos filles demeurent meilleures. »

L'initiative de l'école publique de Saint-Paul est le fruit d'une réflexion amorcée il y a quatre ans. La direction a d'abord tenté de cerner ce qui déplaisait aux garçons et ce qui les motivait. Puis, suivant l'une des recommandations du rapport Pour une meilleure réussite scolaire des garçons et des filles, publié en 1999 par le Conseil supérieur de l'éducation (qui a cependant déconseillé le retour aux écoles non mixtes), elle a adapté ses techniques d'enseignement de façon à tenir compte des styles d'apprentissage des étudiants masculins. Aujourd'hui, les garçons sont beaucoup plus motivés à réussir et sont moins souvent au cœur d'incidents disciplinaires que par le passé. Pourtant, malgré le succès de l'entreprise, M. L'Heureux refuse de parler de solution miracle, surtout qu'elle ne peut être appliquée à toutes les secondaires, en raison des cours optionnels et des frais impliqués.

« C'est une des solutions, ce n'est pas que la seule, précise-t-il. Il faut vraiment prendre le temps de faire une réflexion avec l'équipe d'enseignants et tenir compte du milieu dans lequel on est. Dans notre cas, ç'a donné de très bons résultats, mais on ne peut pas imposer ce modèle-là, il faut que ce soit la volonté de changement des gens qui amène ça. »

Les problèmes de réussite et de persévérance des garçons prennent de l'importance au fur et à mesure qu'ils progressent dans le système éducationnel québécois. Le ministère de l'Éducation a établi qu'en 2000, le taux d'obtention du diplôme au collégial (DEC ou autre) chez les femmes était plus d'une fois et demie plus élevé que chez les hommes (47,9 % contre 28,9%). Cet écart entre les deux sexes est allé grandissant depuis l'année 1975-76, passant de 2,7 points à près de 20.

Au cégep Lionel-Groulx, à Montréal, on s'est intéressé à la question. Une étude maison a démontré que les gars représentaient 70 % des échecs en philosophie et 80 % des étudiants en mise à niveau - ceux qui n'ont pas obtenu la note de passage en français pour être admis au cégep. Coauteur de l'étude et professeur de philosophie à cette institution, Guy Ferland a recommandé la formation de groupes plus homogènes, où le professeur pourrait assurer un meilleur suivi de ses élèves, la prise en compte des différents styles cognitifs et la sensibilisation des enseignants à l'incidence que peut avoir leur sexe sur leur travail." (...)

Lien

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3) (...) "Janel Gauthier, directeur du programme de doctorat en psychologie, orientation clinique, de l’Université Laval, propose dans les pages du quotidien Le Soleil du 2 septembre 2003 le retour aux classes non-mixtes jusqu’à la fin du secondaire, avec l’ajout d’activités communes à partir du deuxième cycle du secondaire.

Selon lui, la rectitude politique exige aujourd’hui qu’on prône l’égalité pour tous, l’intégration et les mêmes droits pour les garçons que pour les filles. Ceci laisse supposer qu’une telle idée sera loin de faire l’unanimité au sein du gouvernement.

Si Janel Gauthier propose de séparer les filles et les garçons, c’est sur un principe qui s’étend au-delà du sexe de l’enfant. Il juge qu’il serait bien de faire de même avec les enfants qui ont des retards d’apprentissage importants et ceux ayant des handicaps intellectuels.

Ceux qui ne sont pas d’accord posent la question suivante : où s’arrêtera cette séparation? Faudra-t-il séparer les jeunes selon leur religion, selon leur race? Bien sûr que non, on parle ici d’éducation, de besoins en apprentissage, et non pas d’idéologies ou de nationalités.

Des expériences concluantes:

L’école primaire Aux Quatre-Vents, de Rivière-au-Renard, en Gaspésie, expérimente la séparation des sexes en 3e année depuis septembre 2002. Enseignants, parents et garçons n’ont que des éloges à faire à propos de ce projet qui se poursuit cette année pour une classe de 5e et 6e années.

L’école secondaire Jean-Jacques-Rousseau, à Boisbriand, le vit depuis deux ans à cause, à l’époque, d’une surpopulation de garçons en première secondaire. On s’est aperçu après deux ans que les garçons avaient moins peur d’exprimer leurs émotions ou de se faire ridiculiser.

Pas encore de résultats, mais beaucoup d’enthousiasme:

On n’a pas encore de certitudes en ce qui a trait aux résultats scolaires des garçons dans cette approche différente. Les enseignants semblent surtout avoir constaté des changements de comportement plus que l’amélioration des résultats scolaires. Dans certaines classes cependant, les résultats se chiffrent. Ainsi, à l’école secondaire Vaudreuil, la moyenne des garçons dans le cours de maths aurait augmenté de 10%. De plus, un nouvel objet de convoitise masculin aurait fait son apparition : la calculatrice à affichage graphique! « Elle passionne les garçons, et traumatise les filles », résumait dans les pages de La Presse du 3 mai dernier l’enseignante Claire Lefebvre.

Partout où l’expérience est tentée, le programme scolaire n’a pas été changé, mais adapté, notamment au niveau du choix des textes à étudier en français et des problèmes à résoudre en maths." (...)

Lien


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Sujet: 
Comme disent les anglais..
Auteur-e: 
Casanova
Date: 
Dim, 2004-09-19 22:33

In your face! Qu'as-tu à dire devant les études et références soumisent par Jésus qui prouvent la nécessité des classes non-mixte pour les garçons? Un ptit peu bouché, notre bouffon national?


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Sujet: 
Mon pauvre monsieur Dufresne
Auteur-e: 
Alain Thomas
Date: 
Mar, 2004-10-12 01:13

Vous ne changerez pas, incapable d'arguments vous vous vautrez dans l'attaque personnelle. Vous lancez n'importe quelle affirmation, me leiz à n'importe quel groupe qui ont publiez un de mes textes. Vous avez toujours l'étiquette facile et une logorrhée qui se limite toujours aux même sophismes tautologiques. Qui tente d'intimider les autres ? Vous ou moi ? Qu'est-ce qui vous permet de douter que j'ai fini le cégep avec des résultats assez élevés pour me permettre d'accéder à une fac de médecine, votre petit trophé de compagnon de route ? Ça montre à quel point vous vous prenez pour quelqu'un d'autre s'octroyant le droit de juger ce qui est bien ou mal, qui est apte à la fac de médecine ou non.

Avec une cote R de 37, je peux me permettre la fac de médecine et bien d'autres. Ne vous sentez pas abaissé parce que vous n'êtes qu'un traducteur qui a avoué avoir été violent avec les femmes. Pas facile pour vous d,avoir dû vous limiter à des domaines non scientifiques ? Il en faut des cas comme vous, pas besoin d'avoir beaucoup d'instruction pour faire vos statistiques "maison" à partir de journaux comme "Allô police", torchon condamné pour avoir publié des photos d'enfants nus. Je comprend que ça n'a pas dû être très facile pour vous de baisser les bras devant le calcul différentiel et intégral, la chimie des solutions, la physique et de vous limiter.

Pour votre violence je vous cite :

"Je regrette de reconnaître que j'ai moi-même déjà participé à ce genre de harcèlement, contre une prof. une secrétaire... C'était une façon de signaler à telle ou telle femme qu'on ne voulait pas d'elle parmi nous parce qu'insuffisamment féminine, trop ceci, trop cela, de lui faire payer très cher sa prétention à une place.

Envoyé par Martin Dufresne le 03 novembre 2003 à 02:41 PM

http://www.latribuduverbe.com/archives/001311.html"

Pour finir, cette étude "commandée" est baclée, voilà mon opinion. Quand on parle d'étude de comparaison de genre et qu'on étudie que 200 filles, pas fort comme prof. Ce n'est pas parce qu'on est prof d'université ou qu'on a un trophé qu'on a la science infuse et la vérité universelle.

Allez, je comprend votre culpabilité mon pauvre, votre modus operandi se limite à ceci; essayer de se racheter sa propre violence envers les femmes en essayant de convaincre le monde que ce sont tous les autres hommes qui sont violents. Quand on n'est pas très bon on essaye d'abaisser le plus de monde possible n'est-ce pas monsieur Dufresne. Il ne vous reste plus maintenant qu'à faire votre crise contre le CMAQ.

Alain Thomas


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Sujet: 
Une autre p'tite vite de Monsieur Dufresne
Auteur-e: 
Jésus
Date: 
Dim, 2004-09-19 19:58

Martin Dufresne, un des "chroniqueurs" du site ultra-misandre antipatriarcat, "spécialiste en traduction féministe" envisageant de devenir un militant crédible aux yeux de la population? J'en doute fort. Il y a sans doute là une p'tite vite pour intimider son interlocuteur...

En tout cas, il tente clairement de tromper l'auditoire.

Lire ce qu'écrit effectivement M. ARCHAMBAULT qui a une analyse non-féministe et non-biaisée de la réalité !,

Comparé le rendement des filles sans gars dans le paysage, EST NON-SCIENTIFIQUE ET BIAISÉ.

Chaque chercheur n'a pas à faire toutes les recherches...MAIS à tenir compte de toutes les études...pas seulement celles qui sont féministes et misandres!

Tenter d'entuber les lecteurs pressés est tellement plus simple, hein, les 'boys'...?;-) Pathétique... Heureusement qu'il y a du monde comme ARCHAMBAULT et d'autres chercheurs-es pour protéger les garçons de vos politiques intégristes!

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(L'autre extrait de l'autre article de FORUM) ;-)

Cas no 1. Un enfant s’érafle un genou en jouant à la «tag». Réaction de la direction: ce jeu sera désormais interdit dans la cour de l’école.

Cas no 2. Des garçons reviennent trempés de leur récréation, car ils ont joué au «roi de la montagne» sur l’immense banc de neige accumulé dans la cour. Résultat: on fait enlever la montagne de neige par la souffleuse.

Cas no 3. Pour retrancher 15 minutes à la journée de travail, une école primaire décide d’abolir la récréation de l’après-midi. De toute façon, le personnel trouvait laborieux d’habiller les enfants pour une pause aussi courte.

Ancien directeur général de la Commission scolaire de Montréal (CSDM), Yves Archambault estime que ces trois situations «vécues» illustrent à merveille le fait que l’école, de nos jours, n’est pas adaptée aux besoins des garçons. «Avec des exemples comme ceux-là, on s’étonne encore que les garçons trouvent l’école ennuyeuse. Il me semble que c’est évident: les gars ont besoin de bouger au moins entre les cours. Leur identification au groupe passe par l’activité physique, le sport. Plutôt que de respecter cette donnée, on fait marche arrière sur le temps alloué à l’éducation physique, aux activités parascolaires, etc.»

(...)

M. Archambault ne veut pas avoir l’air de critiquer d’anciens collègues qui demeurent sur un navire que lui a quitté. «Ce que je dis aujourd’hui, je le disais à l’époque où j’étais directeur, affirme-t-il. Mais si l’on veut que les choses changent, il faut bien cerner les problèmes. Cela ne se fera pas tout seul.»

Changer, mais comment? En allouant plus de temps aux activités physiques. Quitte à séparer les garçons des filles.

Un chercheur de l’Université Harvard que M. Archambault cite dans ses conférences, William Pollack, affirme que les écoles mixtes sont les plus mauvais lieux d’apprentissage qui soient pour les garçons. Ceux-ci apprennent en agissant et les filles en écoutant.

Pour bien marquer la différence des approches pédagogiques qu’il faut appliquer entre garçons et filles, Yves Archambault serait favorable au retour des écoles non mixtes. «Plusieurs études démontrent que la mixité nuit au succès scolaire, surtout chez les garçons, explique-t-il. Je me souviens d’une école anglaise de la CSDM, l’école James-Ling, qui a vu ses élèves mieux réussir après avoir renoncé à la mixité. Les filles réussissaient mieux en mathématiques et les garçons en enseignement de la langue maternelle.»

Le professeur Pollack recommande de créer, s’il le faut, des classes séparées dans des écoles mixtes. Les élèves y sont moins anxieux, ont une meilleure estime de soi et sont moins complexés.

Sages comme des… filles

On exige des enfants qu’ils demeurent sagement assis pendant des heures sans faire de bruit. Pour les «hyperactifs», il y a le Ritalin. On proscrit toute forme de compétition. «Et pourquoi n’y aurait-il pas de vertus à la compétition? Regardez l’effervescence qu’engendre l’arrivée d’une équipe de football à l’Université de Montréal. J’étais au premier match: quel enthousiasme collectif! Les garçons carburent à la compétition. Ils adorent. Pourquoi ne pas encourager cette attitude?»

http://www.iforum.umontreal.ca/Forum/ArchivesForum/2002-2003/020930/article1461.htm

Jésus


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Dossier G20
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