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LE DEVOIR DE MEMOIRE SUR L'HOLOCAUSTE DU 11 SEPTEMBRE...

Anonyme, Vendredi, Septembre 10, 2004 - 11:32

Romain Guer

 
Voici quelques extraits choisis de mon livre « À l'ombre du crime d'É?tat ».

Romain Guer.

 
Un abîme, le néant, un immense gouffre de silence emprisonne la vérité sur les innommables évènements du 11 septembre 2001. C'est dramatique, révoltant, immoral et cruel à la fois. Personne ne se sent encore dupé par cette honteuse machination élevée au plus haut rang hiérarchique de l'Exécutif des États-Unis. Cependant, plus de deux années après ces attentats diaboliques, aucune investigation sérieuse et objective des services de sécurité US n'a abouti sur des conclusions convaincantes. Même la presse mondiale dite libre, occidentale en particulier, n'a daigné analyser ou enquêter en profondeur sur ce terrible crime, se rendant par-là coupable de complicité avec la plus abjecte conspiration jamais organisée par un Gouvernement des États-Unis d'Amérique.

Quelques écrivains ont bien attiré l'attention de l'opinion publique sur les réelles circonstances de ces évènements, mais ils ont vite été qualifiés de révisionnistes, de négationnistes, voire dans les meilleurs cas, de fantasques, ''d'hurluberlus souffrant de la paranoïa aiguë'' et de charlatans, par de nombreux et ''grands journalistes''. Pourtant, ces écrivains apportent des arguments sérieux et difficilement réfutables tout en exposant leur réputation à la vindicte d'éventuelles sanctions, néanmoins ils ne sont nullement suicidaires. Leurs recherches, leurs analyses et leurs synthèses, qui se rejoignent souvent, dérangent parce-qu'elles remettent en cause la thèse officielle largement répandue par les autorités américaines et certains lobby's. Ils commentent des évidences et des convictions que plusieurs médias pervers s'acharnent à discréditer, à ridiculiser. Mais Bon Dieu, ces écrivains risquent tout en décrivant par leurs ouvrages, seuls et désarmés, une approche véridique sur ce crime diabolique du 11 septembre 2001 !

En face, ces ''grands journalistes'' corrompus et désinformateurs, poltrons et manipulateurs seraient grandement inspirés d'exercer leurs talents, empreints de négritude plumitive, à l'endroit de leurs souffleurs maléfiques en exigeant d'eux une véritable investigation indépendante sur l'affaire du 11 septembre. A la suite de quoi ils seront surpris, tels des chiens trempés avec la queue entre les fesses, sur l'étendue criminelle de leur langue de bois et de leurs mensonges honteux, ignobles et crétins. Ces ''grands journalistes'' préfèrent-ils plutôt s'octroyer le droit léonin et monolithique de représenter une inavouable parodie de démocratie, cette pensée uniforme, totalitaire et dictatoriale qui chatouille les aisselles nauséabondes de la gouvernance mondiale ''made in USA and Co'', au détriment des valeurs humaines universelles ?

Cette hypocrite duplicité fait penser au silence médiatique qui prévalait lors de l'accession au pouvoir du régime fasciste nazi, dans l'Allemagne des années 1930-1936, grâce en partie à la « généreuse contribution financière » de plusieurs hommes d'affaires américains dont Prescott Bush, le grand-père de l'actuel Président des États-Unis, George W. Bush. On sait ce qu'il advint de notre Monde quelques années plus tard...

Auschwitz-Birkenau, un ensemble de lettres qui provoque des frémissements d'angoisse et d'émotions insoutenables. Dans ce complexe carcéral inhumain de la seconde guerre mondiale, où s'appliquait en silence le fameux programme morbide pour la « solution finale », des détenus furent embrigadés de force comme main d'œuvre gratuite par les Entreprises et les banques américaines liées au régime nazi. C'est ainsi que prospéra à Oswiecim, un petit village près d'Auschwitz, une usine appartenant à Prescott Bush, en plus de ses acquis bancaires et industriels en Allemagne, en Hollande et aux USA. Le petit-fils de ce dernier, Georges W. Bush, a accepté sans états d'âme l'héritage provenant de ce sinistre patrimoine. La fortune de la famille Bush provient donc, en partie, de la sueur et de la souffrance des malheureux pensionnaires des camps de la mort ! (source:Thom Saint-Pierre). Seulement là, l'absence de réprobations reste de rigueur dans les cercles juifs, au sein des puissantes Organisations de défense Judéo-Américaines contre l'anti-sémitisme !

En 2002, le Président des États-Unis d'Amérique ordonna l'ouverture d'un camps de prisonniers à Guantanamo, sur l'île de Cuba. Des prisonniers afghans, provenant soit d'Afghanistan continuellement bombardé ou de la prison de Karachi au Pakistan, ont été « déportés » par avions-cargo, modernité oblige, pour y être incarcérés sans jugement ni défense, dans la négation et le mépris des lois internationales issues de la Convention de Genève. Quelque 660 afghans, même des enfants de quinze ans, sont détenus à Guantanamo. Ils sont cantonnés en l'absence de tout cadre juridique. Certains parmi eux font l'objet de tortures infligées par l'armée US, tandis que d'autres vont certainement être condamnés à la peine de mort par un tribunal d'exception américain ! Amnesty International, Défenseurs et Organisations de protection des droits de l'homme ne cessent de manifester leurs protestations, mais en vain.

Le Conseil de sécurité des Nations Unies, en réaction aux évènements du 11 septembre 2001, a voté la Résolution portant le numéro 1368. Cette Résolution précise en particulier:« Le Conseil de sécurité appelle tous les États à travailler ensemble pour traduire en justice les auteurs, organisateurs et commanditaires de ces attaques terroristes et souligne que ceux qui portent la responsabilité d'aider, soutenir et héberger les auteurs, organisateurs et commanditaires de ces actes devront rendre des comptes. » Il autorise également: « Le droit inhérent à la légitime défense individuelle ou collective conformément à la Charte des Nations Unies. »

Dans ce cadre légal et international, il appartient logiquement à tout journaliste d'investigation, ou tout organe de presse libre, d'engager des recherches et d'enquêter objectivement sur les circonstances réelles qui ont concrétisé ces attentats. Or, c'est tout le contraire qui s'est produit. La quasi-majorité des médias occidentaux s'est contentée non seulement de suivre mais aussi de brocarder, même de renouer avec les vertus ignobles de la propagande, dans le sens de la thèse officielle américaine, s'acoquinant par-là avec la plus gigantesque, la plus cruelle et la plus abjecte manipulation en ce début de vingt et unième siècle.

Que fait-on du devoir de vérité pour le respect de la condition humaine, envers tous les morts, les disparus, les blessés, les handicapés à vie, les familles et les proches, envers toutes ces victimes de « l'holocauste » du 11 septembre 2001 et de ses conséquences sur les populations du Moyen-Orient et d'Asie centrale ? Doit-on se taire avec la honte en guise de couverture? Doit-on baisser les yeux, telle une fillette violée par l'inceste, devant les répercutions qui se sont produites et qui se produiront encore et bientôt ? Doit-on abandonner le peuple américain apeuré et craintif dans l'ignorance ? Doit-on le laisser otage malgré lui du pouvoir aventuriste de l'Exécutif des États-Unis ? Le sacrilège n'est pas le fruit de nos pensées, notre culture ne s'arrête pas sur la gâchette ni sur notre compte bancaire, encore moins dans nos greniers.

Selon le quotidien de Fribourg « La Liberté » du 7 mars 2002, des scientifiques américains ont découvert récemment une nouvelle psychose collective aux États-Unis. Cette pathologie est décrite comme suit: (...) C'est une forme de pensée unique qui non seulement refuse d'accepter toute autre version des événements que la sienne, mais qui agit de façon à empêcher toute interrogation même face à des contradictions flagrantes que la pensée unique s'avère incapable d'expliquer. Ceux qui persistent à penser en dehors du groupe doivent être écartés, isolés, dénigrés, voire éliminés. (...)

Certes, la promulgation du « Patriot Act » par l'Administration américaine au lendemain des attentats de New-York et Washington, réduit sensiblement la liberté de la presse qui ne s'exprime plus que d'une seule voix, à présent, dans cette Nation où la démocratie se rétrécit chaque jour comme un pénis frigorifié. Dans les faits, Patriot Act un décret Présidentiel restrictif des libertés civiles, n'est que le préambule du « Mein Kampf » de Georges W. Bush édité en Septembre 2002 sous le titre « The National Sécurity Stratégy of the United States Of América », un programme d'actions stratégiques, politico-militaires et économiques, pour le court et moyen terme. C'est en quelque sorte un état de guerre permanent organisé selon les idées fascistes maintes fois déclarées par Zbigniew Brzezinski et Henry Kissinger. Mais il faut espérer que ce n'est pas cela qui empêchera la vérité à se frayer un chemin pour s'exposer à la lumière de l'humanité.

"Car il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu."
Luc 12 :2

Qu'est devenue cette Amérique qui a tant fait rêver, qui a tant épaté et tant excité les passions ? C'est une autre Amérique qui inquiète le Monde, à présent elle fait peur ! Le 10 octobre 2002: Le général Anthony Zinni, ancien chef du Commandement central de l'armée américaine, a déclaré dans son discours au Middle East Institute de Washington : « J'ai quelques héros. L'un d'eux est George C. Marshall, un grand général qui nous a conduit, pendant une grande guerre, vers la victoire. Regardez ce que ce général a fait après la guerre. Il n'a pas cherché à mener d'autres guerres. Il n'a pas cherché à laisser les choses en l'état - un état qui génère de nouvelles guerres. Regardez le général MacArthur au Japon - un homme qui avait subi Bataan et Corregidor, qui avait perdu tant de ses soldats contre un ennemi terrifiant - et l'aide qu'il s'est efforcé d'apporter au peuple japonais, la façon dont il a utilisé d'autres moyens pour recréer la stabilité, la prospérité. Considérez les généraux Grant et Lee (de la guerre de Sécession américaine) ; Grant voulait la reddition la plus douce possible, où la dignité fut préservée, où l'amitié et les contacts puissent reprendre. Robert E. Lee n'a pas voulu se réfugier dans les collines pour mener une guérilla. Il savait que le temps était venu de guérir, et ce de la meilleure manière possible. Le général George Washington, qui évita une deuxième guerre avec l'Angleterre, en dépit de tous ceux qui le pressaient d'aller au combat une deuxième fois - un homme qui était passé par les tourments de la guerre à la tête de l'Armée continentale. Le général Eisenhower, qui ne voyait pas de solution en Indochine s'il s'y engageait, alors que les Français étaient impliqués avec le Viet Minh. Il y voyait une stratégie perdante, même si tout le monde parlait des obstacles qui tomberaient comme des dominos. »

Puis il ajouta: « Comme ces généraux, qui sont bien plus grands que moi, je ne pense pas que la violence et la guerre soient la solution. Il y a des moments où, en dernier ressort, à contre-cœur, vous devez partir en guerre.

Mais en tant que général ayant vu la guerre de près, je vous dis que je n'ai jamais vu, à l'issue du combat de mon époque, quoi que ce soit qui ait justifié ce conflit. Je suis sûr que mon frère qui a servi en Corée, mes cousins qui ont servi dans le Pacifique et en Europe pendant la Deuxième Guerre mondiale, mon père, qui avait combattu pour ce pays pendant la Première Guerre mondiale, et les autres 12% d'immigrés italiens qui étaient dans l'infanterie... ont sans doute une opinion différente de leurs guerres. Mes guerres, celles que j'ai vues, ont été mal menées. »

A travers les flammes dantesques des Twin Tower, ce mardi 11 septembre 2001, la silhouette menaçante du spectre maléfique est apparue, annonçant un désordre mondial lourd de conséquences et le chaos incontrôlable à l'échelle planétaire. Mêlant stupeur et angoisse, le monde entier paralysé par une subite léthargie se noya involontairement dans une incrédulité enfantine et irresponsable.

Ces attentats à New York et Washington, attribués trop diligemment et intentionnellement à des groupes terroristes islamistes, avaient un but bien précis, une stratégie bien établie. Ce crime odieux a été soigneusement étudié et préparé, durant plusieurs mois, par un pouvoir secret démoniaque, avide et sournois, qui influe lourdement sur l'administration d'État aux USA, mais avec la complaisance de nombreux hauts responsables du Parti Républicain, du Président Georges W. Bush, du Gouvernement des États-Unis d'Amérique et de son hérésiarque Pentagone. Le prétentieux, l'orgueilleux s'associant avec l'exécrable scélérat qui agit dans l'ombre des ténèbres.

L'histoire, souvent vraie et tragique, a une fâcheuse tendance à reproduire périodiquement et cycliquement ce qu'elle a observé et consigné dans les tables du passé, en narguant l'amnésie des peuples qui se succèdent à eux-mêmes, dans une insouciance inconsciente et naïve.
Cette histoire nous enseigne qu'aucune civilisation, depuis la création de notre univers, n'a su ou n'a pu profiter de son développement et de sa puissance, pour perdurer indéfiniment dans le temps et dans la paix. Toutes les civilisations se sont pratiquement auto-détruites en ayant chacune à son tour, tenté de régenter le monde par la force et la brutalité.

Les civilisations antiques ont elles aussi été attirées par cette jouissance, aveugle et perverse, qu'est ce sentiment irrésistible du pouvoir et de la gouvernance, ce désir insatiable du faste, de l'opulence et de l'omnipotence. Face à cela, le sacrifice humain n'était qu'une broutille, le destin accablant et perpétuel des plus faibles et des démunis.

Babylone, jadis le berceau de l'humanité, située sur la rive est de l'Euphrate, à environ 50 km au sud de la ville actuelle de Bagdad, en Irak, fut le cœur d'une des premières civilisations dominantes, plus de deux mille ans avant JC. Une des particularités, en dehors de ses magnifiques jardins suspendus dans cette splendide cité, ont été les Ziggourats, ces tours-temples atteignant des hauteurs telles qu'elles ont certainement alimenté le mythe de la tour de Babel destinée, elle, à atteindre le ciel en défiance au Créateur de l'Univers. La Bible, décrira ce symbole de la corruption et de la décadence, conservera le souvenir et le prestige qui survécurent à sa chute. Ce fut une civilisation trois fois millénaire qui s'éteignit.

De Babylone à Alexandrie, de Rome à Berlin, la déchéance et la ruine ont déjà frappé aux portes. Washington et certaines capitales parmi ses Nations satellites seront-elles les prochaines à subir une telle destinée ? C'est probable si les États-Unis le Royaume-Uni et Israël, des alliés inconditionnels, ne parviennent à inhiber leur expansionnisme aventureux, belliqueux et irréfléchi.

Non, la pensée ici n'a absolument aucune prétention malveillante, anti-sémite ou anti-américaine, toute réaction contraire à cela serait malvenue et totalement absurde. La libre expression, la critique ou l'opposition à des idées, à des prises de positions, à des lobbying ou à des actes politiques et militaires, ne doivent en aucune manière permettre la réduction à une traduction primaire extrémiste ou xénophobe. A bon entendeur...

"Malheur à ceux qui méditent l'iniquité, et qui forgent le mal sur leurs couches! Au point du jour ils l'exécutent, parce - qu'ils ont le pouvoir en main. Ils convoitent des champs et s'en emparent, des maisons, et ils les enlèvent; ils oppriment l'homme et sa maison, l'homme et son héritage."
Michée 2 :-2

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En 1988, la déconfiture de l'armée Soviétique en Afghanistan a laissé un grand vide dans cette région extrêmement riche en hydrocarbures. Juste après l'effondrement de l'Union Soviétique tant souhaité par les occidentaux, la Russie, l'Iran, la Turquie, l'Inde, la Chine et les États-Unis s'adonnent à une concurrence acharnée pour asseoir leur influence politique sur cette Asie Centrale visant principalement le contrôle des richesses locales, au détriment d'un Afghanistan à la pauvreté endémique. Bizarrement, ce dernier fut choisi en priorité par la Maison Blanche pour subir la déferlante guerrière aveugle et vengeresse des américains, sans aucune forme de procès, au lendemain des attentats du 11 septembre.

Mai 2002.
La nouvelle guerre d'Afghanistan n'est toujours pas finie, loin s'en faut. Alors que les contingents US s'implantaient autour de Kandahar, les troupes de l'Alliance du Nord, commandées autrefois par Feu le Commandant Massoud, ont atteint en février l'objectif qu'elles caressaient depuis fort longtemps, la prise de Kaboul la capitale afghane, grâce à l'aide logistique et matérielle de la Russie, chassant manu-militari les affreux talibans vers le sud. Cela n'était pas pour plaire aux généraux américains, car par ce fait accompli la présence de l'armée US sur le territoire afghan redevenait politiquement et stratégiquement illégitime, même indésirable.

Avec quelques moyens, l'Alliance du nord se montrait capable de rétablir l'ordre, dans ce cimetière délabré qu'est l'Afghanistan, sans l'aide de bataillons militaires étrangers, malgré les consignes contraires qui lui avaient été dictées par les services secrets américains. A présent, les russes s'offraient l'opportunité d'installer une petite base aux portes de Kaboul. Donald Rumsfeld s'est retourné dix fois dans son fauteuil “pentagonal

Romain Guer


Sujet: 
L'HYPOCRISE DU MENSONGE.
Auteur-e: 
romain guer
Date: 
Lun, 2004-09-20 01:41

Dans l'affaire qui opposait Monica Lewinsky à Bill Clinton, se dernier avait faillit se voir démettre de ses fonction pour parjure somme toute bien banal.
Lorsque l'on constate à présent que toute l'Administration Américaine conduite par Georges W. Bush n'a cessé de mentir cyniquement depuis le 11 septembre 2001 au peuple américain et au monde entier, nous sommes en droit d'exiger sa condamnation pour mensonges ayant entrainé la guerre en Afghanistan et en Irak, mensonges et dissimulation sur le déroulement exact des évènements du 11 septembre 2001, crimes contre l'humanité, agression contre des pays souverains, encouragement à l'expansion du terrorisme islamiste international, non respect de la convention de Genève sur les prisonniers de guerre, tortures et sévices, développement de la xénophobie et de l'islamophobie aux Etats-Unis et en Europe, restriction des libertés fondamentales aux USA contraire à la constitution de l'Union.
De 2001 à 2004, le monde a tremblé devant cette Amérique fascisante et belliciste.
Les Etats-Unis et le monde ont besoin d'une Administration américaine soucieuse et respectueuse du droit international. Si par malheur le candidat Bush était réellu en Novembre prochain, le monde tremblera bien plus encore durant des années et des années au point que le sinistre nazisme fera pâle figure devant ce que Bush nous promet encore pour l'avenir.
Le monde a besoin de paix et de stabilité, il n'a que faire de fous furieux et dangereux pour diriger l'unique hyperpuissance que sont les Etats-Unis.
Il faut que les peuples du monde entier se mobilisent énergiquement et pacifiquement pour faire barrage à "Aïe hitler-Bush" !


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