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Motion de congrès de la FA contre le patriarcat

Nicolas, Dimanche, Juin 15, 2003 - 21:22

Fédération Anarchiste

La Fédération anarchiste tenait son congrès annuel il y a peu. Au nombre des motions adoptées, il y en a une qui traite spécifiquement de la lutte contre le patriarcat. À l'heure ou le CMAQ est la victime consentente d'un bombardement masculiniste, peut-être est-il sain d'amener un contre-discours.

-Nicolas

Le 60ème congrès de la Fédération Anarchiste réaffirme la nécessité de la lutte antipatriarcale, définie comme la lutte contre le système social qui organise la domination politique, économique, culturelle et sociale des hommes sur les femmes au travers des constructions sociales que sont la « féminité » et la « masculinité », intégrées à grand renfort de modèles éducatifs sexistes.

Inégalités de salaires, d'accès à la parole, domination et violence physique, psychologique et sexuelle, exploitation économique des femmes et des enfants au moyen du travail domestique, homophobie, lesbophobie et transphobie, aliénation individuelle par les schémas virilité/soumission, déni du droit des individu-e-s à disposer de leur corps, restent la triste réalité sociale.

Afin de reprendre l'offensive sur le sujet, il convient d'agir selon 2 axes :

- Sur le plan social : s'attaquer aux fondements du patriarcat et sa matérialisation, le sexisme, de manière collective et organisée : contre le publisexisme, contre les modèles sociaux masculins/féminins obligatoires, contre l'homophobie, la lesbophobie et la transphobie, contre la prostitution et la pornographie, pour le droit des femmes à disposer de leur corps, contre l'exploitation économique (utilisation du travail gratuit des femmes dans la sphère domestiques, inégalités de salaires). Pour cela, dans la mesure du possible, des outils collectifs (campagnes, affiches, autocollants) seront mis en place sur proposition notamment de la commission antipatriarcale.

- Assurer la place des femmes et des féministes au sein des organisations dans lesquelles nous sommes investi-e-s. Pour cela, nous devons être particulièrement vigilant-e-s quant à nos pratiques individuelles et collectives : remise en cause des fonctionnements et comportements sexistes intégrés du fait de l'éducation, création d'un cadre fraternel et sororal de discussion permettant un accès égale et réel des femmes à la parole. De même la féminisation des textes, autocollants et affiches produites est souhaitable, en ce que le langage est l'intermédiaire par lequel nous donnons sens aux choses et aux phénomènes sociaux, économiques, culturels, politiques, etc. Sous estimer l'importance du langage et surtout du langage genré c'est renoncer à s'attaquer à un facteur important de reproduction sociale de l'ordre patriarcal. En tant que femmes et hommes militant à la Fédération Anarchiste, nous savons que nous ne nous situons pas en dehors des rapports de dominations qui structurent cette société, même si nous aspirons à en sortir afin de réaliser la liberté réelle et l'égalité politique, économique et sociale. Nous devons donc nous donner les moyens de les déconstruire au niveau individuel et de les abolir au niveau collectif, par l'action individuelle et la lutte sociale, qui sont complémentaires et en rien contradictoires. C'est donc à l'ensemble des militants et militantes de la Fédération Anarchiste de faire exister cette problématique et ces pratiques, en ce que nous refusons toute hiérarchie entre les luttes.

FEDERATION ANARCHISTE
Secrétariat aux Relations Extérieures
rela...@federation-anarchiste.org
145, rue Amelot
75011 Paris



Sujet: 
-1 donjon...
Auteur-e: 
Anonyme
Date: 
Lun, 2003-06-16 11:02

"Inégalités de salaires, d'accès à la parole, domination et violence physique, psychologique et sexuelle, exploitation économique des femmes et des enfants au moyen du travail domestique, homophobie, lesbophobie et transphobie, aliénation individuelle par les schémas virilité/soumission, déni du droit des individu-e-s à disposer de leur corps, restent la triste réalité sociale."

trop biaisé....

serieusement....à nier l'autre côté de la médaille...ben...tu comprends


[ ]

Sujet: 
Des faits SVP...
Auteur-e: 
Anonyme
Date: 
Lun, 2003-06-16 12:37

Des belles phrases...mais où est la substance...

Tu parles de domination...d'exploitation sociale...etc

Des faits SVP....on arrête pas de demander ça aux hommes et aux femmes qui défendent les droits des hommes..

Et bien cette demande ne s'applique pas à vous ????

Sébastien Tremblay
lobbyiste pour la garde-partagée

Président-directeur général de l'institut pour l'avancement des connaissances sur la garde partagée

membre du "Ou sont les pères" ?, organisme qui étudie les implications de l'absence de la garde partagée sur les enfants et sur les hommes.


[ ]

Sujet: 
Pas lire en mangeant ses Corn Flakes
Auteur-e: 
Anonyme
Date: 
Lun, 2003-06-16 14:01

La fête des pères

dans

POUR LA GARDE DU PÈRE

par

Daniel Amneus Ph.D.

traduit par
Gérard Pierre LEVESQUE

(L’original
“THE CASE FOR FATHER CUSTODY”
est à
http://christianparty.net/tcffc.htm)

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LA LOI DE BRIFFAULT :

« La femelle, non pas le mâle, détermine toutes les conditions de la famille animale. Là où la femelle ne peut trouver aucun avantage d’une association avec le mâle, aucune association n’a lieu. »

-- Robert Briffault

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La FÊTE DES PÈRES

« Chère Abby » ( ) … contribue régulièrement à la destruction du patriarcat. Voici une lettre qu'elle reçoit d'un père nommé Thomas Mulder:

« CHÈRE ABBY: Je fus profondément ému et j’ai ressenti une intense satisfaction en lisant votre rubrique pour la FÊTE DES PÈRES. Je veux souligner la valeur de votre message. Vous avez écrit : « Les hommes divorcés qui n’ont jamais exprimé un seul mot désobligeant envers la mère de leurs enfants (devant les enfants en tout cas) et qui sont d’inlassables « jeannots-toujours-prêt » ( ) à payer le chèque de pension alimentaire ont droit à une salve de 21 coups de canon. »

Abby, ces mots m’ont apporté des larmes aux yeux alors que je ruminais placidement aux sept longues années que j’ai passé à célébrer la FÊTES DES PÈRES en l’absence de mes enfants. Je suis profondément attristé du fait qu’après avoir toujours avoir été là, disponible et à soutenir mes enfants – et payant toujours les frais de soutien aux enfants – je n’ai jamais reçu une seule note de remerciement. Mon moral est épuisé par des années de propagande où les pères divorcés sont stéréotypés comme pères « deadbeats » ( ).

Abby, je survivrai même si je ne reçois jamais de remerciement. Cependant la lecture de votre remerciement public sous votre rubrique qui souligne le principe que j’ai respecté non seulement pour le bien être de mes enfants, et qui vaut aussi pour tous les pères et leurs enfants, fut un remède puissant à la tristesse que j’éprouve depuis fort longtemps. À toutes les récipiendaires de soutien (i.e. la mère des enfants) et qui ont songé à dire « merci » mais ne l’ont jamais fait – je pari que cela ne ferait pas de mal.

Je vous offre un « Vous êtes la bienvenue! »

D’un père aimant et qui soutient ses enfants.

THOMAS MULDER

La réponse de Abby :

CHER THOMAS: Vous le pouvez – et merci de votre remerciement. Il est triste que ces héros ignorés – les pères divorcés qui ne manquent aucun paiement – demeurent trop souvent inappréciés. Il leur seraient si facile de s’éloigner et de fuir leurs responsabilités face à leurs enfants. Pourtant vous, et beaucoup d’autres comme vous, se sacrifient pour que vos enfants soient nourris, vêtus et instruits.

Vous devez être louangés d’aimer vos enfants de prouver que vous êtes un père responsable. »

ABBY

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Comme tout cela est beau! Comme tout cela est magnanime ! Thomas Mulder parle du « principe qu’il a respecté. » Ce qu'il a respecté c’est le matriarcat, au soutien duquel il contribue ses enfants et son revenu. Tout ce qu'il en obtient c’est la satisfaction d'être un pantin à ressort du féminisme, en s'imaginant être un chic type. En réalité, c’est un masochiste. C’est la certitude de la part des juges que le monde est rempli d’hommes beaux, nobles, magnanimes - et masochistes – tel que Thomas Mulder qui permet à ces juges de discriminer de façon coutumière contre les Thomas Mulder du monde. Si Thomas Mulder est si noble et si magnanime, pourquoi le juge ne lui a-t-il pas confié la garde de ses enfants. Le juge n’a pas confié la garde des enfants à Thomas Mulder parce qu’il sait qu’il ne peut pas se fier à la magnanimité de son ex-épouse. Le juge sait qu’elle ne pourra, ni ne voudra, assurer des services similaires au père et à ses enfants, si ceux-ci étaient placés sous sa garde à lui. L'épouse aurait tout simplement ricané au nez du juge. Thomas Mulder a obtenu ce qu’il a demandé, ce qui est l'iniquité au service de la GUERRE CONTRE LE PATRIARCAT. Le juge a remplacé la famille dirigée par le père par une famille dirigée par la mère parce qu'il a supposé qu'il soit normal de le faire. De plus, c’est la chose la plus facile à faire, puisque tous les juges le font et ce depuis plus d’un siècle. Le juge sait probablement que les familles dirigées par le père génèrent des enfants ayant un meilleur comportement, et qui réussissent mieux. Mais ce qu’il ne peut pas « voir » c’est qu'il doit garder le père comme chef de famille plutôt que de promouvoir le système de parentalité femelle.

Les chèques de pension alimentaire que reçoit l’ex-épouse de Thomas Mulder dépendent de la croyance qu’a Thomas Mulder qu'il agit de façon correcte. Cependant l'exploitation des enfants du divorce comme mendiants mutilés ( ) est devenue évidente, un moyen clair de permettre à MAMAN de rejeter la loi et l’ordre sexuels ( ) et d'expulser son mari. Cette exploitation des enfants par la mère est un expédient manifeste qui permet aux juges de continuer d'ignorer les dommages qu'ils infligent aux enfants et à la société. Les pères tel que Thomas Mulder doivent se rendre compte que leur véritable responsabilité est de mettre fin à la destruction de leur famille en reprenant la garde de leurs enfants. Ils doivent se dirent et dirent tout haut : « Vous ne me possédez pas! ( ) - Je suis fatigué de porter les chaînes que m’ont infligé mon ex-épouse et son poltron de juge dupé. » Gloria Steineim dit aux femmes qu’elles sont des usurpatrices de personnalité. Les pères qui soutiennent financièrement leur ex-épouse sont des usurpateurs de personnalité de père, qui s'accrochent abjectement à un fragment du rôle de mâle. Les « femmes », dit Betty Friedan, « sont devenues trop adultes pour se contenter du rôle de femme au foyer. » Il faut que les hommes aussi deviennent adultes. Les hommes ne doivent plus se contenter du rôle d'ex-mari qui accepte et qui finance la garde automatique par la mère.

« Je mourrais, » dit la féministe Susan B. Anthony, « avant d’abandonner l'enfant à son père. » Pourquoi Thomas Mulder ne pourrait-il commencer à se dire « Je mourrai avant d’abandonner mes enfants à leur mère, de la subventionner, et d’ainsi de lui permettre de garder mes enfants en otage? » « La propriété légale des enfants par le père », dit Phyllis Chesler, « est essentielle au patriarcat. » Tout à fait. Puisque le patriarcat est essentiel à la civilisation (voir Patriarcat plus bas) Thomas Mulder trahit ses enfants, trahit le patriarcat et trahit la civilisation lorsqu’il contribue ses enfants, son argent et sa loyauté au système de parentalité femelle.

« Notre culture » dit Wade Horn « doit remplacer l’idée du père superflu par une meilleure compréhension du rôle que jouent les pères dans la vie de leurs enfants, non pas simplement comme « chèque de soutien », mais comme modèle de discipline, comme enseignant et guide moral. Les pères doivent être physiquement présents dans la maison. Ils ne peuvent pas simplement se présenter tous les week-ends ou pour du « temps de qualité » planifié.

Thomas Mulder et les millions d'autres ex-maris qui acceptent le rôle de « chèque de soutien » imposé par la cour sont des collaborateurs qui trahissent leurs enfants, qui abandonnent la société aux problèmes du matriarcat.

Les filles disent qu'elles ne veulent pas vivre le genre de vie qu’ont mené leurs mères. Mais que vont dire les fils de Thomas Mulder – ou de Marcia Clarck ( ) ou de la féministe Adrienne Rich ou de dizaines de millions de fils privés de leur père? S’ils ont un milligramme de bon sens ils ne voudront pas mener le genre de vie qu’a mené leur père. Le cas de Thomas Mulder est une autre victoire du féminisme dans sa guerre contre le Patriarcat. C’est une guerre qui se mène et qui se perd, en grande partie, sur-le-champ de bataille qu’est l’esprit de Thomas Mulder. Mulder s’imagine faire une bonne chose en subventionnant la destruction de sa famille. Les veuves indiennes croyaient également que l’immolation par « suttee » était une bonne chose. C’était un honneur pour les épouses indiennes de s’immoler-elles mêmes sur le bûcher funéraire de leurs maris morts. La coutume a cessé lorsque les veuves se sont aperçues de l’idiotie de cette coutume et lorsque la société a cessé de l’exiger.

Pourquoi les pères doivent-ils renoncer à leurs enfants, et subventionner cette perte de leur propre salaire comme on s'y attend à ce qu’ils le fassent de nos jours? Pour être approuvés par Chère Abby et le Président Clinton? Pour que la société continue sur sa route démentielle vers le matriarcat? La garde du père est la seule façon de donner à la société les trois choses dont elle a un besoin essentiel : la stabilité de la famille, la restauration de la paternité et la restauration de l'enfance, dont la perte poussent les enfants à joindre des troupes de petits bandits, vers la délinquance et la sexualité précoce.

Des agences d’aide dans les pays du tiers monde se font infligés un traitement à la Thomas Mulder. Selon le « Los Angeles Times », les groupes d’aide font face à un dilemme moral lorsque de plus en plus souvent leur personnel est attaqué. Lorsque la nourriture et les provisions destinées aux nécessiteux sont volés par des bandits armés qui se font la guerre, les agences doivent se demander si elles font plus de mal que bien. »

Un membre d’une agence a présenté le dilemme de cette façon :

Un Seigneur de la guerre libérien m’a dit un jour, « Je peux affamer un village jusqu'à ce que les enfants meurent de faim, et vous viendrez avec de la nourriture et des médicaments que je saisirai, et personne ne peut rien y faire », a affirmé l’Américaine Martha Carey, qui travaille pour une agence d’aide. Il a raison, dit Carey, qui fut estomaqué de visiter un village dans lequel les enfants étaient morts de faim, des familles avaient été massacrées, et où les survivants les suppliaient : « N’apportez pas de nourriture, n'apportez rien, car cela rend les choses encore pires. Laissez nous seuls ».

Personne ne peut rien y faire que dit le Seigneur de la guerre, qui contrôle la situation. L’ex-épouse de Thomas Mulder contrôle tout aussi parfaitement la situation. Pourquoi les hommes ne hausseraient-ils pas leur niveau de conscience? Pourquoi tous les Thomas Mulder d'Amérique du Nord ne se réveillent-ils pas et ne mettent-ils pas fin à cette imbécillité qu’est leur subvention de leur ex-épouse, la destruction de leur famille, la chute de leurs enfants dans le système de parentalité femelle, et la ghettoïsation de la société?

Les jeunes (dit Horn) sont la partie de la population criminelle qui connaît la plus haute croissance aux Etats-Unis. Entre 1982 et 1991, le taux d’enfants arrêtés pour assassinat a augmenté de 93 %; pour assaut grave, 72 %; pour viol, 24 %; pour vol d'automobile, 97 % … On s’attend à ce que la population adolescente augmentent de 20% pendant la décennie qui vient; c’est la génération la plus susceptible d’avoir été élevé sans leur père. Cette perspective a mené beaucoup de sociologues, de criminologues, d’officiers de la loi à conclure que peu après le tournant du siècle, nous assisterons à une vague de criminalité adolescente comme nous n’en avons jamais vu.

Les féministes considèrent le retour vers le matriarcat comme un progrès. La déréglementation sexuelle des femmes en une génération signifie que les enfants mal socialisés sous le féminisme vont devenir des garçons à problèmes, des filles sexuellement déréglées et une autre génération d’enfants illégitimes. Ceci continuera aussi longtemps que les juges vont préjuger que les mères doivent avoir la garde des enfants et que les pères, tel Thomas Mulder, seront disposés à subventionner leur propre spoliation.

« De nos jours, les choses ont changé », dit la féministe Lynette Triere: « non seulement la définition arrangée et certaine du mariage est-elle remise en question, mais plus généralement, les femmes réexaminent les limites de ce qu'on leur a dit pouvoir s’attendre de la vie. »

Ce qu’elles attendent maintenant, dit-elle, n'est pas simplement une « nouvelle profondeur » mais également une « nouvelle largeur. » Ceci doit être interprété comme signifiant encore plus de cette promiscuité sexuelle qui caractérise le système de parentalité femelle: « en dépit de l'accent mis par les média sur les fantasmes adolescents des mâles, les femmes d’âge mûr trouvent une nouvelle profondeur et largeur dans leur expérience sexuelle. Elles rejettent les modèles fatigués qui ont exigé d’elles un comportement acceptable pour chaque age. Les femmes découvrent leurs propres chronomètres individuels dont l'exactitude dépend des émotions qu’elles ressentent. Elles apprennent à exprimer leurs besoins et n’ont nul besoin de s’en excuser. Beaucoup ont constaté que leur premier choix de partenaire, de nombreuses années auparavant, ne convenait plus. Si ce choix était adéquat au début, il ne l’était certainement plus ».

Cette mystification au sujet de « modèles fatigués qui ont exigé d’elles un comportement acceptable pour chaque age » et sur ce qu’elles « découvrent (sur) leurs propres chronomètres individuels dont l'exactitude dépend des émotions qu’elles ressentent », est tout simplement une déclaration d'indépendance des femmes du système de parentalité mâle. Mlle Triere dit la même chose que les adultères de Dalma Heyn, qui se proclament réincarnées et libérées. Riane Eisler dit la même chose lorsqu’elle dit que les femmes ont commencé à reprendre possession de leur propre sexualité - en se « libérant » des règles de conduite sexuelle. Les « femmes depuis les trois dernières décennies sont devenues non seulement plus ouvertes mais ont écrit plus ouvertement sur leur sexualité. Dans la mesure où les femmes ont commencé à acquérir plus de pouvoir personnel, économique et politique, elles sont également devenues plus ouvertes, et s’engagent encore plus activement dans des activités sexuelles. »

Ceci, affirme Mlle Eisler, est une « lutte contre l'affirmation du droit des hommes au corps de la femme … le droit d'être considéré par soi-même et par les autres comme s’appartenant à soi-même plutôt qu’à quelqu'un d'autre … le droit à l’autodétermination. »

Le droit des hommes, déclare-t-elle, sans dire si ce mâle est ou non un mari. Cette omission lui permet d’insinuer que (telle que le suggère Mlle Hoggett) que le mariage est sans signification, que la société fonctionne sous le système de parentalité femelle. Si le mariage est sans signification, il n’offre aux femmes aucun droit au chèque de paye de l’homme. Si le mariage a une signification, le partage par le mâle de la vie reproductrice de la femme (« le droit de l’homme à leur corps ») équivaut au droit de la femme au chèque de paye du mari. Le refus de la femme de partager sa vie reproductive implique le droit du mâle de retirer sa contribution. Son « contrat » est uniquement envers les enfants qu’il a procréés, et desquels en conséquence il doit avoir la garde.

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La civilisation est … patriarcale!

La vie sur la terre a plus de 3,000,000,000 d’années. Les mammifères et les primates dominent depuis plus de 70,000,000 d’années. Ce que nous pouvons appeler la « nature humaine » c’est créé pendant ces millions d’années.

Les homo sapiens se sont distingués des autres primates il y a 500,000 années. Pendant des millénaires nos ancêtres humains ont vécu en petits groupes de 20 à 30 individus. Les chasseurs-guerriers s’accouplent avec autant de belles femmes que possible : plus ils ont de progéniture, meilleurs sont leurs chances de survie génétique à long terme. Les femmes s’accouplent avec les meilleurs gagnants : ceux qui offrent les meilleures chances de survie à long terme pour elles et leur progéniture. Le but de la vie, c’est la survie génétique, la seule forme d’immortalité possible aux êtres humains. Nos ancêtres ont survécu jusqu'à nous : nous avons leurs gênes. Ils sont nous; nous sommes eux.

Pendant un demi million d’années, nous avons vécu à l’Âge de pierre, dans la parentalité femelle. Il n’y a pas de mariage. Les femmes « ont » les enfants. C’est le matriarcat : la vie humaine avant la civilisation. Le mâle doit offrir des avantages à une femelle pour l’inciter à s’associer avec lui : la Loi de Briffault. ( ) Les femmes sont hypergames : elles s’accouplent avec des mâles « supérieurs », avec des « gagnants » (le plus puissant, le plus riche possible), avec ceux qui leur offrent les meilleurs chances de survie génétique. Après avoir « positivement discriminé » les mâles vers des emplois inférieurs, les féministes geignent qu’il n’y a pas de mâles pour marier des « femmes comme nous ». La logique et la rationalité (type de connaissance de « mâles blancs décédés » (dead white males) n’a rien a y voir. C’est l’émotivité féminine (women’s way of knowing) qui prime.

La civilisation a à peine 10 000 ans (chiffre généreux). La civilisation date du moment où les hommes ont commencé à échanger, pour toute une vie, les bénéfices de leur labeur et de leur créativité avec une femme pour l’inciter à partager sa vie reproductive : i.e. sexualité, reproduction et assurance de la paternité des enfants. Une femme marié à un mâle travailleur et créateur a une meilleure vie, de plus grandes chances de survie génétique (plus d’enfants) que sous le règne du matriarcat de l’Âge de pierre : la loi de Briffault à l’œuvre. Un homme marié à une femme fidèle est ainsi assuré que les enfants de sa femme sont bien les siens : d'où l’importance de la virginité et de la fidélité de la femme. Être forcé de faire vivre les gênes d’un autre est un esclavage. Le cocu contraint est commun de nos jours.

Le mâle humain peut discipliner (i.e. sublimer) ses besoins sexuels naturels (baiser autant de femmes que possible) car il sait que ses besoins sexuels seront satisfaits et que son travail, ses sacrifices, sa créativité, ses biens vont servir à assurer le bien être et la survie de ses enfants à lui. La famille est une création et une partie essentielle de la civilisation patriarcale. La famille, tout comme la civilisation, est artificielle.

La famille patriarcale est la seule façon de motiver les hommes à harnacher leurs forces sexuelles au profit de leurs enfants, de leur femme, de la société et de la civilisation. Les hommes sont toujours la majorité (plus de 90%) des explorateurs, des créateurs, des inventeurs, des Prix Nobel (pour la science), des créateurs de richesse, et ce malgré des décennies de quotas et de favoritisme pro femmes, de discrimination « positive » (sic) anti-mâle. Au delà de la technique et de la science, nous vivons dans un univers crée par les idées mâles de liberté, d’égalité, de démocratie, de capitalisme et de libre échange. Ce sont ces idées là que le féminisme et le socialisme corrompent tous les jours.

Les hommes font toujours l’essentiel du travail de maintien de la société : plus de 95% (oui, oui) des morts au travail sont toujours des hommes. Un privilège vital des femmes que les féministes « s’efforcent » de ne pas voir. Karl Marx dirait que les hommes font le travail de création et de maintien de l’infrastructure de la société. C’est sur ce travail dur, sale et dangereux que repose la superstructure, ce vaste domaine social protégé, bâti par les hommes, où vivent et travaillent les femmes. Les hommes ont rendu la société moderne aussi sécuritaire que l’était le domaine traditionnel des femmes : la maison.

Le mâle moderne vivant sous la dictature féministe, voit sa femme garder tous les avantages du mariage (le mâle demeure travailleur et pourvoyeur) et ne pas respecter sa part du contrat séculaire : partager sa vie reproductive et donner des enfants à l’homme. C’est là que le contrat de mariage féministe (« égalité » féministe en ce qui concerne le « patrimoine » familial, malgré l’inégalité des contributions) est une expropriation scandaleuse. Le travail de l’homme n’est plus un cadeau (voir la Loi de Briffault), mais un DROIT de la femme. Mais la femme s’est arrogé le monopole sur sa contribution : sexualité, reproduction et enfants. « Tu seras père, si et quand je le veux » que nous ont dit les féminazies. « Tout ce qui est à moi est à moi. Ce qui est à toi est négociable » (un principe staliniste). Le divorce mets à nu cette extorsion : l’homme est exproprié de son pouvoir de négociation. L’homme doit continuer à travailler et à payer sans compensation : il se voit spolié de ses enfants et plus des deux tiers (pas la moitié) de ses biens. Son ex-femme n’est pas contrainte à offrir un avantage réciproque. Le mâle moderne est devenu l’esclave de son ex-femme.

Les hommes divorcés, qui ont tout misé sur leur mariage, qui ont fait leur « devoir » de mâle travailleur, pourvoyeur et protecteur, se voient floués, ridiculisés, stéréotypés, expulsés, incarcérés, expropriés de leurs biens, de leur maison et de leurs enfants. Ils sont réduits au rang d’esclave d’une maîtresse féministe arrogante et méprisante. Pas étonnant qu’ils se suicident à un rythme effrayant. Le film « Falling Down » illustre bien le cul de sac existentiel qu’est devenu la vie du mâle moderne.

Les enfants bien socialisés dans un foyer dirigé par le père deviennent eux-mêmes civilisés; ils vont eux aussi avoir des enfants civilisés. Mais les enfants socialisés dans un foyer dirigé par la mère sont moins ou pas civilisés. La civilisation est patriarcale et artificielle. Elle a besoin du soutien constant de la société.

Les enfants élevés sans un père, par une mère « monoparentale » sont plus susceptibles d’avoir et de créer des problèmes sociaux :

« Les foyers dirigés par les femmes sont une minorité (24%) des foyers; mais ils produisent plus de soixante-dix pour cent (70%) de la classe criminelle.

Selon une étude effectuée par le Bureau de statistiques de la justice (USA), 72% des délinquants juvéniles incarcérés ont grandi dans des foyers brisés, la plupart du temps dirigé par une femme (père expulsé). De tels foyers à parent unique ne sont pourtant que 24% de tous les foyers. Le rapport statistique entre délinquance et foyers dirigés par le père et ceux dirigés par la mère démontre qu’il faut 815 foyers intacts pour produire autant de délinquance que 100 foyers brisés, la plupart du temps dirigée par une femme.

Selon « Getting Men Involved : the Newsletter of the (Francisco) Bay Area Male Involvement Network »:

- 63% des jeunes qui se suicident proviennent de foyers orphelins (de leur père);
- 90% de tous les enfants sans-abri ou en fugue (de leur foyer) viennent de foyers
orphelins (de leur père);
- 85% de tous les enfants qui exhibent des désordres de comportement viennent de
foyers orphelins (de leur père);
- 80% de tous les violeurs, qui sont motivés par de la colère déplacée, viennent de foyers
orphelins (de leur père);
- 71% de tous les enfants expulsés du secondaire viennent de foyers orphelins
(de leur père);
- 75% de tous les adolescents admis à des centres de traitements pour abus de
substances chimiques viennent de foyers orphelins (de leur père);
- 70% des jeunes qui sont dans les institutions de l’état viennent de foyers orphelins
(de leur père); et
- 85% de tous les jeunes en prison ont grandi dans des foyers orphelins (de leur père).

Selon un estimé, près des deux tiers (2/3) des hommes qui se marient de nos jours en espérant devenir père font face à ces statistiques. Ils doivent envisager la probabilité de perdre leurs enfants et de les voir catapulter dans le système parental féminin par un juge de la cour de la famille, qui va ensuite contraindre ce même père à payer le « privilège » de se voir infliger cette perte pour lui et pour ses enfants. »
Daniel Amneus, POUR LA GARDE DU PÈRE, 1999 (traduction)

Selon une autre étude, près de 40% des enfants, en Amérique du Nord, vivraient dans des foyers d’où le père a été expulsé.

« L’absence du père est définie comme enfants qui vivent indépendamment de leurs pères biologiques. On estime que l’absence du père est de 40% aux USA et ne cesse d’augmenter. Le sociologue David Popenoe dit que cela est un problème pour tous les pays industrialisés occidentaux. Ce taux atteindra 50% au tournant du siècle, si les tendances courantes continuent. Ceci implique que 50% de tous les enfants nés n'ont pas un rapport permanent avec leurs pères. Les données de Popenoe et de Blankenhorn démontrent que les USA ont le taux le plus élevé de familles sans pères de tous les pays du monde industrialisé. Les données canadiennes montrent que nous partageons ce douteux honneur avec les USA, car nous partageons des taux semblables des deux causes principales des familles sans pères – divorces ou séparations, et naissances hors mariages. Le taux de divorce aux USA est autour de 50% et le taux de natalité hors mariage est de 18%; les taux pour le Canada sont plus de 40 % et 22% respectivement. Statistiques Canada signalent également que 63% des enfants nés d’une union de droit commun vivent la séparation, comparé à 14 % des enfants dont les parents étaient mariés. » « Pères, enfants, famille et communauté : un manuel de programmation pour conseillers, éducateurs de parents, et avocats de famille », Guy Thisdelle, 2001 (traduction)

Ces enfants mal ou pas socialisés vont eux-mêmes procréer des enfants encore moins socialisés, qui vont créer plus de problèmes sociaux, etc., etc.

Les mâles non encore divorcés savent qu’ils vivent sous la menace constante du divorce : ils « filent » doux. La femme « domine » le mariage. D’autres mâles (30 %) refusent simplement de se marier et de procréer : la « liberté » à bien meilleur goût. Ils n’envient pas l’esclavage des divorcés. Ils voient le taux de divorce (60%) initié (à 90%) par la femme, où celle-ci « gagne » (à 90%; avec l’appui actif de la loi et de l’industrie corrompue du divorce) enfants, maison, fond de pension et … pension alimentaire à vie. « Ouate de phoque? » que se disent beaucoup de jeunes hommes (voir 30% plus haut).

Nous vivons une crise de civilisation. Le Québec, et l’Occident en général, qui vivent sous la tyrannie féministe sont en train de se suicider (taux de reproduction négatif). Nous retournons vers le système de parentalité de l’Âge de pierre. Sous le système de parentalité femelle, le mâle est exclu de la relation mère-enfant. Les jeunes mâles ne peuvent pas être socialisés à accepter les rôles sociaux nécessaires à la civilisation. C’est le système qui prévaut dans les ghettos (« Gangsta Rappers », Eminem …), dans les réserves indiennes, dans les familles « monoparentales », dans les matriarcats du Tiers Monde (Haïti, Jamaïque …) où règnent violence, pauvreté, ignorance et désespoir.

Que faire?

Les hommes doivent élever leur niveau de conscience (faire du « consciousness raising »), libérer leur esprit de l’idéologie féministe, cesser d’être des « collaborateurs » de leur propre spoliation, de financer leur propre expropriation et d’accepter le kidnapping de leurs enfants. Il faut lire, s’informer, admettre que nous avons été floués, admettre que nous avons collaboré à notre propre esclavage, admettre avoir fait erreur. Il faut RÉ-FLÉ-CHIR : cogiter (un travail intellectuel et émotif) est fort laborieux, mais moins onéreux que le divorce, l’esclavage ou le suicide.

Il faut cesser de récompenser le mauvais comportement : élémentaire, ma chère Yvonne. On obtient plus d’activités que l’on subventionne (e.g. divorces), et moins d’activités que l’on taxe (e.g. travail productif) : économie 101. Les hommes doivent s’éduquer, se libérer, s’unir, agir politiquement, changer les lois (travail, mariage, divorce, reproduction …), et reprendre la garde de leurs enfants.

La survie de l’existence civilisée, en Occident, est à ce prix.

Gérard Pierre LEVESQUE

FATHER’S DAY

Dear Abby similarly and regularly contributes to the undermining of patriarchy. Here is a letter she receives from a father named Thomas Mulder:

DEAR ABBY: I was so moved, and felt such appreciation for your Father’s Day column. I would like to acknowledge what a valuable message it carried. You said:

"A 21-gun salute to the divorced father who has never uttered an unkind word about the mother of his children (at least to the children) and who has always been johnny-on-the-spot with the support check."

Abby, those words brought tears to my eyes as I sat quietly reflecting on the seventh year I have celebrated Father’s Day without my children. It struck me as amazingly sad that in seven years of being there for my children—and always providing child support—I’ve never received a thank-you. My morale has been worn down over the years by the stereotyping of divorced fathers as "deadbeat dads."

Abby, if I never get a "thanks," I’ll survive. Reading the public thanks in your column for a principle I’ve upheld not only for the sake of my children, but for the sake of fathers and children everywhere, is a powerful remedy for the sadness I have carried. For any recipient of support out there who has thought of saying "thanks," but never did—I’d bet it wouldn’t hurt.
May I offer a sincere "you’re welcome" from a loving, supportive dad?
THOMAS MULDER
Abby’s reply:

DEAR THOMAS: You may—and thank you for the thank you. How sad that those unsung heroes—divorced dads who never miss a payment—are all too often unappreciated. It would be so easy to just walk away and not fulfill the responsibilities to their children. Yet you, and many like you, sacrifice to see that your children are fed, clothed and educated.

You are to be commended for loving your children enough to be a responsible father.
All so magnanimous. Thomas Mulder speaks of "the principle I’ve upheld." What he has upheld is matriarchy, to which he has contributed his children and his income. All he gets is the satisfaction of being a wind-up toy for feminism, imagining himself to be a great guy. He is being masochistic and it is the knowledge on the part of judges that the world is full of beautiful, noble, magnanimous—and masochistic—men like Thomas Mulder that causes them to routinely discriminate against them. If Thomas Mulder is so noble and magnanimous, why didn’t the judge place his children in Thomas Mulder’s custody? He didn’t because he knew he could depend on Thomas Mulder’s magnanimity and he couldn’t depend on his wife’s magnanimity to perform corresponding services for him and the kids if he placed them in his custody. The wife would simply have laughed at him. Thomas Mulder asked for what he got, which was injustice in the service of the War Against Patriarchy. The judge replaced his father headed family with a mother headed one because he supposed it was natural to do so. Also the easy thing, the thing that all judges do and have done for a century. The judge probably knows that families headed by fathers produce better behaved, higher achieving children but he can’t see that he ought to keep the father as family head rather than promote the female kinship system.

Thomas Mulder’s ex-wife’s support check depends on Mulder’s belief that he is doing the right thing. But the use of children of divorce as Mutilated Beggars has become so obviously exploitive, so clearly a means of enabling Mom to throw off sexual law-and-order and expel her husband, so manifestly a makeshift for enabling judges to continue ignoring the damage they inflict on children and society that fathers like Mulder ought to realize that their true responsibility is to end this family destruction by taking custody of their children. He should be thinking "You don’t own me!—I’m tired of wearing the chains hung on me by my ex-wife and her weakling catspaw judge." Gloria Steinem tells women they are female impersonators. Fathers who send support money to the ex-wives are father impersonators clinging to a fragment of the male role. "Women," says Betty Friedan, "have outgrown the housewife role." Men have outgrown the ex-husband role which accepts and finances automatic mother custody.

"I would die," said feminist Susan B. Anthony, "before I will give up the child to its father." Why might not Thomas Mulder say "I will die before I will give up my children to their mother and pay her so she can afford to hold them as hostages? "The male legal ownership of children," says Phyllis Chesler, "is essential to patriarchy." Quite so; and since patriarchy is essential to civilization, Thomas Mulder is betraying his children, patriarchy and civilization when he contributes his kids and his money and his loyalty to the female kinship system.

"Our culture," says Wade Horn, "needs to replace the idea of the superfluous father with a more compelling understanding of the critical role fathers play in the lives of their children, not just as ‘paychecks,’ but as disciplinarians, teachers, and moral guides. And fathers must be physically present in the home. They can’t simply show up on the weekends or for pre-arranged ‘quality time.’"
Thomas Mulder and the millions of other ex-husbands who accept the role of court-assigned "paychecks" are complicitous in betraying their children and in turning society over to the evils of matriarchy.

Daughters say they don’t want to live the kind of lives their mothers led. What will Thomas Mulder’s sons say—or Marcia Clark’s or Adrienne Rich’s or any of the tens of millions of other sons deprived of their fathers? If they have any sense they will say that they don’t want to live the kind of life their fathers led. Thomas Mulder’s case is one more victory in the War Against Patriarchy, a war partly fought and lost on the battlefield of Thomas Mulder’s own mind. He imagined himself to be doing a good thing in paying for the wrecking of his family, much as Indian wives once regarded suttee as a good thing: it was an honor to immolate themselves on the funeral pyres of their dead husbands. The custom ended when the widows woke up to the silliness of what they were doing and when society stopped expecting it.

Why should fathers give up their children, and pay to do so, as they are now expected to do? So that Dear Abby and President Clinton will approve of them? So that society can continue its roller coaster ride into matriarchy? Father custody is the only way to give society the three things it most needs, the stability of families, the restoration of fatherhood and the restoration of childhood, whose loss is now herding kids into gangs and delinquency and premature sexuality.

Relief agencies in third world countries are given the Thomas Mulder treatment. According to the Los Angeles Times, "Relief groups face crises of conscience as more and more workers are attacked. When food and supplies meant for the needy are stolen by warring gunmen, agencies must ask if they’re doing more harm than good."
One relief worker puts it this way:

"A Liberian warlord said to me one day, ‘I can starve a village until the children die, and then you will come with food and medicine which I will take, and no one can do anything about it,’" recalled American aid worker Martha Carey. He was right, said Carey, who was stunned to find one village in which children had starved, families had been massacred, and survivors begged: "Don’t bring food, don’t bring anything, it makes things worse. Just go and leave us alone."

No one can do anything about it, says the warlord, who is in the driver’s seat, as Thomas Mulder’s ex-wife is in the driver’s seat. How about men raising their consciousness? How about the Thomas Mulders of America waking up and putting a stop to the silliness of paying their ex-wives to destroy their families and drag their children into the female kinship system and ghettoizing society?

Juveniles [says Horn] are the fastest growing segment of the criminal population in the United States. Between 1982 and 1991, the rate at which children were arrested for murder increased 93 percent; for aggravated assault, 72 percent; for rape, 24 percent; and for automobile theft, 97 percent….The teen population is expected to grow by 20 percent over the next decade, and this is precisely the generation most likely to be reared without fathers. The prospect has led many sociologists, criminologists, and law enforcement agencies to conclude that shortly after the turn of the century we will see an adolescent crime wave the likes of which has never been seen before in this country.
Feminists regard the reversion to matriarchy as progress. Female de-regulation in one generation means poorly socialized children in the next, troublemaking boys and promiscuous girls and second generation illegitimacy. This will continue as long as judges suppose mothers ought to have custody of children and fathers like Thomas Mulder are willing to pay for it.

"Today things have changed," says feminist Lynette Triere:
Not only is the neat, assured definition of marriage being questioned, but more broadly, women are reexamining the boundaries of what they have been taught to expect out of life.

What they now expect, she says, is not merely "new depth" but also "new breadth," which must be interpreted to mean more of the sexual promiscuity which characterizes the female kinship system:

Despite the continuing media emphasis on adolescent male sex fantasies, mature women are finding new depth and breadth in their sexual experience. Discarding tired molds that required accepted behavior at designated ages, women are discovering their own individual time clocks whose accuracy depends on how they feel about themselves. They are learning to express their wants and need no apologies. Many have found that their original choice of a partner all those years ago no longer works out. If it was not wrong at the beginning, it certainly is now.

This mystification about "tired molds that required accepted behavior" and "individual time clocks whose accuracy depends on how they feel about themselves" is simply a declaration of female independence from the male kinship system. Ms. Triere is saying the same thing as Dalma Heyn’s adulteresses, who are reborn and released. The same thing as Riane Eisler when she says women have begun to reclaim their own sexuality—by de-regulating themselves. "Women during the last three decades have not only been talking and writing more openly about sex; as women have begun to gain more personal, economic, and political power, they have also more openly, and far more actively, been engaging in sex."

This, says Ms. Eisler, is a "struggle against the assertion of male entitlement to their bodies…the right to be seen by oneself and others as belonging to oneself rather than someone else…the right to self-determination."

Male entitlement, she says, without indicating whether the male is a husband or a non-husband, thus implying (as Ms. Hoggett implies) that marriage is meaningless, that society operates under the female kinship system. If marriage is meaningless, there is no basis for a female claim to entitlement to the male paycheck. If marriage is meaningful and the sharing by the male in the reproductive life of the female ("male entitlement to their bodies") has as its quid pro quo the sharing of the female in the male’s paycheck, then the withdrawal by the female of her sharing implies the withdrawal by the male of his. His sole obligation is to the children he has procreated, who accordingly belong in his custody.

Gérard Levesque

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Sujet: 
Le matriarcat ...c'est ce que tu veux ????
Auteur-e: 
Anonyme
Date: 
Lun, 2003-06-16 15:52

"Nous vivons une crise de civilisation. Le Québec, et l’Occident en général, qui vivent sous la tyrannie féministe sont en train de se suicider (taux de reproduction négatif). Nous retournons vers le système de parentalité de l’Âge de pierre. Sous le système de parentalité femelle, le mâle est exclu de la relation mère-enfant. Les jeunes mâles ne peuvent pas être socialisés à accepter les rôles sociaux nécessaires à la civilisation. C’est le système qui prévaut dans les ghettos (« Gangsta Rappers », Eminem …), dans les réserves indiennes, dans les familles « monoparentales », dans les matriarcats du Tiers Monde (Haïti, Jamaïque …) où règnent violence, pauvreté, ignorance et désespoir. "
Gérard Levesque


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Dossier G20
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Très beau dessin: des oiseaux s'unissent pour couper une cloture de métal, sur fonds bleauté de la ville de Toronto.
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